Balades pour tous avec le club cyclotouriste
Le 14 mai, jour de l’Ascension: c’est jour de fête pour le club cyclotouriste de Clermont. Cette journée coïncide avec l’événement Vélo pour tous. Les cyclo-route auront le choix à effectuer soit 30, soit 60, soit 80 ou soit 110 km
Les VTT, eux, sur des circuits différents pourront faire 10, 30, 45 ou 60 km et cela avec départ de 7h à 10h30.
L’après-midi, ce sera la grande balade pour tous avec une bonne dizaine de km, tout cela encadré par les organisateurs.
Renseignements ou inscriptions: 0495 27 08 56, 0494 33 00 28, 0495 54 82 31, 0495 54 82 31, 0497 05 86 36, 0478 79 18 88 ou via www.cycloclermont.be. Pas d’excuse donc!
Un tournoi de boules… carrées
Ils étaient 48 doublettes lors de la 7e journée de pétanque à boules….carrées mise sur pied par la Comune Libe dè Clérmont su l’Gau, une compétition originale se disputant au centre du village. En fin de journée, c’est en la salle communale que les participants et autres ont dégusté l’omelette à l’Orval et frites.
Le classement: 1.D.Wojtalik et J. Dossin; 2.S. Bultot et M. Evrard; 3.J. Bultot et V. Gohy; 4.G. Charlet et F. Vandendrieche; .5.H. Denorme et F. Coppin; 6.A. Gohy et Ch. Ferré; 7.Y. Ferré et J. Postol; 8.Th. Mormal et B. Gohy; 9.O. Navaux et R. Di Prima; 10.D. Dumoulin et M. Stricelle; 11.J.M. Chantry et F. Mormal; 12.D. Meunier et A. Klasser; 13.G. Dumoulin et L. Pionbi; 14.D. Meunier et B. Taets; 15.T. Bricteux et F. Denruyter; etc.
Les VTT, eux, sur des circuits différents pourront faire 10, 30, 45 ou 60 km et cela avec départ de 7h à 10h30.
L’après-midi, ce sera la grande balade pour tous avec une bonne dizaine de km, tout cela encadré par les organisateurs.
Renseignements ou inscriptions: 0495 27 08 56, 0494 33 00 28, 0495 54 82 31, 0495 54 82 31, 0497 05 86 36, 0478 79 18 88 ou via www.cycloclermont.be. Pas d’excuse donc!
Le classement: 1.D.Wojtalik et J. Dossin; 2.S. Bultot et M. Evrard; 3.J. Bultot et V. Gohy; 4.G. Charlet et F. Vandendrieche; .5.H. Denorme et F. Coppin; 6.A. Gohy et Ch. Ferré; 7.Y. Ferré et J. Postol; 8.Th. Mormal et B. Gohy; 9.O. Navaux et R. Di Prima; 10.D. Dumoulin et M. Stricelle; 11.J.M. Chantry et F. Mormal; 12.D. Meunier et A. Klasser; 13.G. Dumoulin et L. Pionbi; 14.D. Meunier et B. Taets; 15.T. Bricteux et F. Denruyter; etc.
Les T’chiquetis, le groupe de gilles clermontois, étaient en action pour marteler le pavé tout en rendant visite à quelques personnalités du cru.
Début d’après-midi, les gilles étaient rejoints par les autres participants du carnaval clermontois pour se lancer dans le grand tour. Un tour heureusement pas trop arrosé, du moins par la pluie. Rondeau sur la place du puits avant que ne soit tiré le feu d’artifice toujours apprécié des spectateurs.
Un gentil carnaval qui, certes, n’a plus aucune mesure avec ce qu’on a connu autrefois mais qui a permis à plus d’un de passer une journée de réjouissances avant de traverser les 40 journées du carême.
Les T’chiquetis, le groupe de gilles clermontois, étaient en action pour marteler le pavé tout en rendant visite à quelques personnalités du cru.
Début d’après-midi, les gilles étaient rejoints par les autres participants du carnaval clermontois pour se lancer dans le grand tour. Un tour heureusement pas trop arrosé, du moins par la pluie. Rondeau sur la place du puits avant que ne soit tiré le feu d’artifice toujours apprécié des spectateurs.
Un gentil carnaval qui, certes, n’a plus aucune mesure avec ce qu’on a connu autrefois mais qui a permis à plus d’un de passer une journée de réjouissances avant de traverser les 40 journées du carême.
Marche, cani-cross et buffet pour le Télévie
Après le VTT de dimanche dernier au profit du Télévie, on a encore fait le plein ce week-end à la salle communale. En effet, les Vieilles Matantes avaient mis le paquet pour un véritable repas brugheulien afin d’accueillir les participants.
Songez bien: des tables avec des tranches de pain aux olives, aux céréales, au soja, aux tomates séchées, aux pommes de terre, aux betteraves rouges, aux figues, aux noix, au seigle, au pain d’épice, au maïs… Soit plus de 25 sortes.
Comme accompagnement, il y avait de la confiture aux citrons confis, aux poires, aux sureaux, aux coings, aux melons, aux mûres, aux mangues, aux pommes, etc. Soit plus de 20 sortes.
À cela, vous ajoutez les omelettes au lard, du miel, les fromages, le café, le thé et le cacao; à midi un potage maison, des croque-monsieur et pour dessert des gâteaux variés, des crêpes et de la tarte. Tout cela à faire baver
Les participants, près de 200, n’avaient qu’un mot: Merci. Ils reviendront.
Pour combler l’avant-midi, il y avait une marche de 5 ou 10km et un cani-cross. Celui-ci avait réuni une bonne trentaine de chiots allant du berger allemand au lévrier, an passant par le caniche, le labrador, le boxer et autre épagneul.
Les organisateurs bénévoles ont œuvré pour le Télévie.
L’opération clermontoise se terminera le 19 avril par la grande randonnée moto.
Après le VTT de dimanche dernier au profit du Télévie, on a encore fait le plein ce week-end à la salle communale. En effet, les Vieilles Matantes avaient mis le paquet pour un véritable repas brugheulien afin d’accueillir les participants.
Comme accompagnement, il y avait de la confiture aux citrons confis, aux poires, aux sureaux, aux coings, aux melons, aux mûres, aux mangues, aux pommes, etc. Soit plus de 20 sortes.
À cela, vous ajoutez les omelettes au lard, du miel, les fromages, le café, le thé et le cacao; à midi un potage maison, des croque-monsieur et pour dessert des gâteaux variés, des crêpes et de la tarte. Tout cela à faire baver
Les participants, près de 200, n’avaient qu’un mot: Merci. Ils reviendront.
Pour combler l’avant-midi, il y avait une marche de 5 ou 10km et un cani-cross. Celui-ci avait réuni une bonne trentaine de chiots allant du berger allemand au lévrier, an passant par le caniche, le labrador, le boxer et autre épagneul.
Les organisateurs bénévoles ont œuvré pour le Télévie.
L’opération clermontoise se terminera le 19 avril par la grande randonnée moto.
300 courageux à Clermont
Ce week-end, le petit village de Clermont-lez-Walcourt organisait la 17e édition de la randonnée VTT du Télévie. Depuis toutes ces années, quelques bénévoles mettent la main à la pâte pour proposer cinq parcours différents à un large public, de 7 à 70 ans: «Cette année, nous avons opté pour cinq tracés de 20, 30, 35, 40 et 45 kilomètres pour les plus téméraires.
Marcel Gohy : stop ou encore ?
Durant des décennies, Marcel Gohy a été un des pions majeurs de la troupe. Un véritable personnage dont l’allure nonchalante et le regard incertain faisaient éclater la salle dès l’entrée sur scène.
Son talent naturel l’a amené à souvent endosser le costume des premiers rôles et les spectateurs l’attendaient avec un plaisir tout particulier. Il était à la ville comme à la scène ou inversement, on ne sait plus…
Véritable personnage aussi de la vie clermontoise puisqu’élu haut la main en qualité de mayeur de la commune libre de «Clérmont su l’Gau».
C’est lors d’une dernière répétition que Marcel a fait part à ses amis de sa décision de quitter les planches, quelques pépins de santé motivant sa décision. Celle-ci sera-t-elle définitive?
On devrait le savoir bientôt lors de la revue de l’effectif disponible pour préparer la prochaine saison.
Une décision sans doute pas facile pour Marcel mais que chacun doit respecter. Qu’il sache, dans ce cas, qu’ils seront nombreux à le regretter…
Véritable personnage aussi de la vie clermontoise puisqu’élu haut la main en qualité de mayeur de la commune libre de «Clérmont su l’Gau».
C’est lors d’une dernière répétition que Marcel a fait part à ses amis de sa décision de quitter les planches, quelques pépins de santé motivant sa décision. Celle-ci sera-t-elle définitive?
On devrait le savoir bientôt lors de la revue de l’effectif disponible pour préparer la prochaine saison.
Une décision sans doute pas facile pour Marcel mais que chacun doit respecter. Qu’il sache, dans ce cas, qu’ils seront nombreux à le regretter…
Va-t-on continuer en « chuvant l’Gau» ?
Depuis 30 ans, les séances théâtrales clermontoises sont précédées d’une revue satirique «En chuvant l’Gau». Demain encore?
Cette année, comme toutes celles qui ont précédé, c’est avec la revue «En chuvant l’Gau» que démarrent les soirées clermontoises. Pour cette édition 2014-2015, 30e anniversaire de la revue oblige, Albert Scohy a repris les grands moments vécus tout au long des trois décennies. La dernière page de la revue de cette année a cependant interloqué plus d’un spectateur: «Madame Cabas», en quelque sorte la meneuse de revue déguisée en vieille mégère acariâtre, a fait sous-entendre qu’elle ne reviendrait peut-être plus l’an prochain.
Interrogé, Albert Scohy, à la fois auteur des satires rappelant les heurts et malheurs et autres anecdotes des voisins de Clermont mais aussi acteur puisqu’incarnant la fameuse Madame Cabas, nous a fait comprendre que cette revue est un boulot d’amplitude parfois difficilement gérable. Aussi bien pour lui-même, auteur, que pour les acteurs. Des acteurs qui, déjà lancés dans les répétitions de leur pièce, doivent se soumettre à de nouvelles contraintes de mémorisation et de répétition.
Pour l’instant, le groupe se tâte mais force est de reconnaître que la disparition de Madame Cabas et de sa revue en décevrait bien plus d’un. annuelle des AGN. On verra qui sera d’attaque pour la prochaine pièce et qui voudra poursuivre avec la revue. Et Madame Cabas de conclure: «Il faut quand même se rappeler qu’au tout début, on avait 30 ans de moins…» Ceci peut-il expliquer ceD’ici quelques jours, ce sera la première réunion la?
Interrogé, Albert Scohy, à la fois auteur des satires rappelant les heurts et malheurs et autres anecdotes des voisins de Clermont mais aussi acteur puisqu’incarnant la fameuse Madame Cabas, nous a fait comprendre que cette revue est un boulot d’amplitude parfois difficilement gérable. Aussi bien pour lui-même, auteur, que pour les acteurs. Des acteurs qui, déjà lancés dans les répétitions de leur pièce, doivent se soumettre à de nouvelles contraintes de mémorisation et de répétition.
Pour l’instant, le groupe se tâte mais force est de reconnaître que la disparition de Madame Cabas et de sa revue en décevrait bien plus d’un. annuelle des AGN. On verra qui sera d’attaque pour la prochaine pièce et qui voudra poursuivre avec la revue. Et Madame Cabas de conclure: «Il faut quand même se rappeler qu’au tout début, on avait 30 ans de moins…» Ceci peut-il expliquer ceD’ici quelques jours, ce sera la première réunion la?
Pour le Télévie de Clermont
Ce dimanche 8 février, Clermont va vivre à l’heure d’une nouvelle journée Télévie. Dès 7h30, deux balades de 5 ou 10 km dans la campagne clermontoise sont programmées avec un parcours accessible aux voitures d’enfants et aux petits vélos (2,50€ et gratuit pour les enfants de moins de 6 ans).
Les chiens ne sont pas oubliés puisqu’à partir de 11 h, un canicross est prévu pour une modique participation de 2,50€.
Mais avant tout ce programme, il y aura le petit-déjeuner clermontois des «Vieilles Matantes». Sollicitées depuis trois ans pour concocter plus de 250 repas lors de la randonnée moto du Télévie de Clermont, Monique, Martine et Christine pensent qu’elles peuvent encore en faire plus pour cette noble cause. Elles ont donc décidé d’organiser une marche et proposeront un petit-déjeuner artisanal. Ces dévouées seront aidées par leur sœur cadette Jeannine qui mettra au four plus de trente sortes de pains (soja, seigle, olives, maïs, noix, betteraves, chocolat, etc.)
Vingt sortes de confitures maison seront disponibles (poires, citron confit, banane, noisettes, fraise, cerise, orange, tomates vertes, coings, etc.), des recettes de confiture réalisées avec des produits naturels et régionaux. Les fromages et les œufs seront également au menu pour les amateurs de petits-déjeuners salés.
Dès 11 h, et le retour des promenades, une petite restauration est prévue (croque-monsieur, tartes, gâteaux, crêpes, confection maison).
Ce dimanche 8 février, Clermont va vivre à l’heure d’une nouvelle journée Télévie. Dès 7h30, deux balades de 5 ou 10 km dans la campagne clermontoise sont programmées avec un parcours accessible aux voitures d’enfants et aux petits vélos (2,50€ et gratuit pour les enfants de moins de 6 ans).
Les chiens ne sont pas oubliés puisqu’à partir de 11 h, un canicross est prévu pour une modique participation de 2,50€.
Mais avant tout ce programme, il y aura le petit-déjeuner clermontois des «Vieilles Matantes». Sollicitées depuis trois ans pour concocter plus de 250 repas lors de la randonnée moto du Télévie de Clermont, Monique, Martine et Christine pensent qu’elles peuvent encore en faire plus pour cette noble cause. Elles ont donc décidé d’organiser une marche et proposeront un petit-déjeuner artisanal. Ces dévouées seront aidées par leur sœur cadette Jeannine qui mettra au four plus de trente sortes de pains (soja, seigle, olives, maïs, noix, betteraves, chocolat, etc.)
Vingt sortes de confitures maison seront disponibles (poires, citron confit, banane, noisettes, fraise, cerise, orange, tomates vertes, coings, etc.), des recettes de confiture réalisées avec des produits naturels et régionaux. Les fromages et les œufs seront également au menu pour les amateurs de petits-déjeuners salés.
Dès 11 h, et le retour des promenades, une petite restauration est prévue (croque-monsieur, tartes, gâteaux, crêpes, confection maison).
Mais avant tout ce programme, il y aura le petit-déjeuner clermontois des «Vieilles Matantes». Sollicitées depuis trois ans pour concocter plus de 250 repas lors de la randonnée moto du Télévie de Clermont, Monique, Martine et Christine pensent qu’elles peuvent encore en faire plus pour cette noble cause. Elles ont donc décidé d’organiser une marche et proposeront un petit-déjeuner artisanal. Ces dévouées seront aidées par leur sœur cadette Jeannine qui mettra au four plus de trente sortes de pains (soja, seigle, olives, maïs, noix, betteraves, chocolat, etc.)
Vingt sortes de confitures maison seront disponibles (poires, citron confit, banane, noisettes, fraise, cerise, orange, tomates vertes, coings, etc.), des recettes de confiture réalisées avec des produits naturels et régionaux. Les fromages et les œufs seront également au menu pour les amateurs de petits-déjeuners salés.
Dès 11 h, et le retour des promenades, une petite restauration est prévue (croque-monsieur, tartes, gâteaux, crêpes, confection maison).
Bientôt le carnaval à Clermont ( 21 février 2015)
Bientôt le carnaval à Clermont La société de gilles clermontois «Les Tchequettis» vient de participer à sa soumonce en visitant ses amis commerçants de Strée avant de revenir à Clermont.
Le 7 février, en la salle Désirée de Strée, ils mettront sur pied leur souper annuel avant la grande journée du 21 février avec, cette fois, la présence de la musique, des tambours et, qui sait, d’autres groupes folkloriques. Après plusieurs rondeaux, dans le village, ils assisteront au traditionnel feu d’artifice sur la place du Puits. Le dimanche, comme le veut la tradition, ils organiseront leur dernière soumonce.Ch.C.
Expo pour se souvenir de 14-18
C’est à l’initiative de l’amicale des groupements patriotiques de Clermont que durant tout le week-end, une belle exposition a été proposée au public à la salle communale.
Une expo que l’on doit plus particulièrement à Yves Tevel, le président de l’amicale et à Jean-Pol Poiret, Henri Gilles, Jacques Lamendin, Raymond Roger, Bernard Mascaux et Roger Godimus qui se sont démenés en tous sens pour rassembler bon nombre de documents en tous genres se rapportant au premier conflit mondial. Accent mis tout spécialement sur Clermont avec les faits et gestes des clermontois durant cette période bien difficile.
Pour compléter cette exposition, plusieurs diaporamas que l’on doit à Yves Tevel, tournaient en boucle, projetant des images que beaucoup découvraient pour la première fois. Si Clermont en ce temps-là constituait la partie importante de l’exposition, soulignons qu’il était aussi question des villages environnants. Par exemple, l’épisode des soldats français retenus à Thy-le-Château.
Autre facette de ce rendez-vous proposé par l’amicale clermontoise, les batailles de Charleroi et de Gozée en août 1914. Philippe Wille qui est l’auteur de «L’affaire oubliée de Charleroi – Gozée, août 1914» était présent à Clermont pour proposer son ouvrage.
Les visiteurs ont été nombreux à franchir la porte de la salle communale et beaucoup ont pris le temps de décortiquer les nombreux documents originaux qui garnissaient les cimaises de l’exposition. La grande guerre en long et en large, un fameux travail dont on doit féliciter les initiateurs.
Pour compléter cette exposition, plusieurs diaporamas que l’on doit à Yves Tevel, tournaient en boucle, projetant des images que beaucoup découvraient pour la première fois. Si Clermont en ce temps-là constituait la partie importante de l’exposition, soulignons qu’il était aussi question des villages environnants. Par exemple, l’épisode des soldats français retenus à Thy-le-Château.
Autre facette de ce rendez-vous proposé par l’amicale clermontoise, les batailles de Charleroi et de Gozée en août 1914. Philippe Wille qui est l’auteur de «L’affaire oubliée de Charleroi – Gozée, août 1914» était présent à Clermont pour proposer son ouvrage.
Les visiteurs ont été nombreux à franchir la porte de la salle communale et beaucoup ont pris le temps de décortiquer les nombreux documents originaux qui garnissaient les cimaises de l’exposition. La grande guerre en long et en large, un fameux travail dont on doit féliciter les initiateurs.
Le mini-foot de Clermont organise son 13eme Clermont gourmand.
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Dégustation de produits artisanaux, du terroir...(crochons, flam's, foie gras, fromage, huitres et crustacés, pralines, miel, jus de pomme...)
Avec: Couleur Chocolat, poissonnerie Mouvier, la chèvrerie du plat de bois, le havre de castillon, la ferme de la sauveniere et Belgique gourmande
Sans oublier notre bar à bières spéciales...(orval, chimay, leffe...)
Le tout dans une ambiance conviviale et feutrée...
Hommage aux prisonniers et combattants
Il est à peine 9h ce dimanche et déjà, ils sont quelques dizaines à se rassembler aux abords de la salle communale, à un jet de pierre du monument aux victimes des deux guerres devant lequel virevolte la flamme du relais sacré.
Et quand retentissent les neuf coups au clocher de l’église, Yves Tevel et son équipe, organisateurs des festivités commémoratives, invitent l’assemblée à entourer le monument pour le traditionnel hommage.
On reconnait la députée-bourgmestre Christine Poulin, le député provincial Philippe Bultot, les échevins Vincent Bedoret et Karine Vandeneucker ainsi que la conseillère Odette Gobert. Autour de cette délégation du conseil communal de Walcourt, on retrouve, entre autres, des représentants des mouvements patriotiques, des pompiers clermontois, des citoyens clermontois et quelques enfants qui ont fait l’effort de quitter un peu plus tôt leur lit pour affronter les frimas de novembre. Des enfants à qui on a confié une rose qu’ils auront mission en fin d’hommage de déposer sur les tombes des anciens combattants et prisonniers au cimetière local.
Mais avant cela, Yves Tevel rappelle les noms des différentes victimes. Dépôt de fleurs de la bourgmestre, Brabançonne et salve d’honneur tirée par un petit peloton de marcheurs yvetois. Avant de rejoindre le cimetière, une autre halte devant la salle communale pour se souvenir de l’ancien bourgmestre, Vital Matis, qui ne reviendra jamais du camp de Buchenwald.
Le cortège se dirige alors vers le cimetière où chaque enfant se chargera de la mission symbolique qui lui a été confiée.
On reconnait la députée-bourgmestre Christine Poulin, le député provincial Philippe Bultot, les échevins Vincent Bedoret et Karine Vandeneucker ainsi que la conseillère Odette Gobert. Autour de cette délégation du conseil communal de Walcourt, on retrouve, entre autres, des représentants des mouvements patriotiques, des pompiers clermontois, des citoyens clermontois et quelques enfants qui ont fait l’effort de quitter un peu plus tôt leur lit pour affronter les frimas de novembre. Des enfants à qui on a confié une rose qu’ils auront mission en fin d’hommage de déposer sur les tombes des anciens combattants et prisonniers au cimetière local.
Mais avant cela, Yves Tevel rappelle les noms des différentes victimes. Dépôt de fleurs de la bourgmestre, Brabançonne et salve d’honneur tirée par un petit peloton de marcheurs yvetois. Avant de rejoindre le cimetière, une autre halte devant la salle communale pour se souvenir de l’ancien bourgmestre, Vital Matis, qui ne reviendra jamais du camp de Buchenwald.
Le cortège se dirige alors vers le cimetière où chaque enfant se chargera de la mission symbolique qui lui a été confiée.
Expo : la Grande Guerre en long et en large
À l’initiative de l’amicale des groupements patriotiques clermontois, la salle communale accueille une intéressante exposition sur la Première Guerre mondiale.
Le président Yves Tevel et son équipe, le secrétaire Jean-Pol Poiret, le trésorier Henri Gilles et les membres Jacques Lamandin, Raymond Roger, Bernard Mascaux et Roger Godimus ont récolté de très nombreux documents qui retraceront les grandes lignes du premier conflit mondial. On parlera de Sarajevo, des forces en présence, du roi Albert mais aussi du gaz moutarde ou de la grosse Bertha.
Mais ce qui pourrait intéresser plus particulièrement les visiteurs de l’exposition clermontoise, c’est justement les documents relatant les faits et gestes des citoyens du village durant cette période de guerre. Les combattants, les défunts mais aussi les écoliers dans la vie de tous les jours. On fera aussi allusion aux localités des environs comme, par exemple, l’histoire des soldats français retenus à Thy-le-Château.
L’exposition sera aussi l’occasion, pour Philippe Wille, de présenter son livre «L’affaire oubliée de Charleroi – Gozée, août 1914». Un ouvrage qui a la particularité de présenter le combat vu par les troupes allemandes avec, entre autres, la bataille de Gozée le 23 août 1914.
Plusieurs reportages vidéo montés par Yves Tevel tourneront aussi en boucle afin de compléter cette exposition qui sera accessible, moyennant 2€, le vendredi 7 novembre, de 20hà 22 h, le samedi 8 novembre, de 18hà 21 h, ainsi que le dimanche 9 novembre.
Mais ce qui pourrait intéresser plus particulièrement les visiteurs de l’exposition clermontoise, c’est justement les documents relatant les faits et gestes des citoyens du village durant cette période de guerre. Les combattants, les défunts mais aussi les écoliers dans la vie de tous les jours. On fera aussi allusion aux localités des environs comme, par exemple, l’histoire des soldats français retenus à Thy-le-Château.
L’exposition sera aussi l’occasion, pour Philippe Wille, de présenter son livre «L’affaire oubliée de Charleroi – Gozée, août 1914». Un ouvrage qui a la particularité de présenter le combat vu par les troupes allemandes avec, entre autres, la bataille de Gozée le 23 août 1914.
Plusieurs reportages vidéo montés par Yves Tevel tourneront aussi en boucle afin de compléter cette exposition qui sera accessible, moyennant 2€, le vendredi 7 novembre, de 20hà 22 h, le samedi 8 novembre, de 18hà 21 h, ainsi que le dimanche 9 novembre.
le club cyclo-touriste a effectué sa dernière sortie
Sous le thème du Vintage à Clermont
C’est sous le signe de la Vintage que le club cyclo-touriste a effectué sa dernière sortie de la saison en attendant la remise des prix de son challenge et ont ainsi de voyager dans le temps. Ils ont sorti de leur grenier vieux vélos, vieux maillots, vieux casques, vieilles casquettes, etc. Ils ont partagé des instants uniques entre amis lors d’une randonnée de quarante km autour de Clermont. Une belle matinée dans une ambiance sans pareil et une atmosphère singulière qu’ils ont terminé en leur local en dégustant la traditionnelle soupe aux oignons offerte par Paul-Henri, le tenancier. C’est ça l’esprit du CCT Clermont.
Souper de quartier
Après la création de la commune libre de «Clermont su’l’Gau», la nomination d’un mayeur, le concours des boules carrées (une première dans l’ESM), voici le premier souper de quartier programmé par les Amis du centre-ville.
Il faut dire que cette appellation est née lors de la naissance de la commune libre et que ce quartier participe chaque année aux fêtes communales en se présentant aux jeux inter-quartiers.
Cette soirée se déroulera en la salle paroissiale le mercredi 30 avril à partir de 18h30, avec au menu: apéro; barbecue (4 viandes) et couscous; dessert.
PAF: 12€ adulte; 8€ enfant (de 4 à 12ans). Réservation: Pharmacie Manon, rue de l’église, pour le 14 avril au plus tard.Ch.C.
Après la création de la commune libre de «Clermont su’l’Gau», la nomination d’un mayeur, le concours des boules carrées (une première dans l’ESM), voici le premier souper de quartier programmé par les Amis du centre-ville.
Il faut dire que cette appellation est née lors de la naissance de la commune libre et que ce quartier participe chaque année aux fêtes communales en se présentant aux jeux inter-quartiers.
Cette soirée se déroulera en la salle paroissiale le mercredi 30 avril à partir de 18h30, avec au menu: apéro; barbecue (4 viandes) et couscous; dessert.
PAF: 12€ adulte; 8€ enfant (de 4 à 12ans). Réservation: Pharmacie Manon, rue de l’église, pour le 14 avril au plus tard.Ch.C.
Il faut dire que cette appellation est née lors de la naissance de la commune libre et que ce quartier participe chaque année aux fêtes communales en se présentant aux jeux inter-quartiers.
Cette soirée se déroulera en la salle paroissiale le mercredi 30 avril à partir de 18h30, avec au menu: apéro; barbecue (4 viandes) et couscous; dessert.
PAF: 12€ adulte; 8€ enfant (de 4 à 12ans). Réservation: Pharmacie Manon, rue de l’église, pour le 14 avril au plus tard.Ch.C.
Un carnaval ensoleillé mais en demi-teinte
Il y a peu d’années encore, Clermont reconnu pour son dynamisme tout particulier, faisait de son cortège carnavalesque un spectacle qui méritait le déplacement. Mais force est de reconnaître que ce n’est plus tout à fait le cas aujourd’hui.
Le groupe des AN ayant renoncé, les gilles se trouvaient quelque part orphelins, ces deux formations constituant l’épine dorsale de la manifestation clermontoise. Heureusement, un groupe de pirates venu en droite ligne de Strée palliait l’absence des Amis du Goûter de Noël. C’est avec quelques autres individualités que pirates et gilles ont déambulé dans Clermont avant de clôturer au grand feu. trois gilles ont été décorés: Marc Thomas, Philippe Manon et Paulin Jouniaux.J. L.
Il y a peu d’années encore, Clermont reconnu pour son dynamisme tout particulier, faisait de son cortège carnavalesque un spectacle qui méritait le déplacement. Mais force est de reconnaître que ce n’est plus tout à fait le cas aujourd’hui.
Le groupe des AN ayant renoncé, les gilles se trouvaient quelque part orphelins, ces deux formations constituant l’épine dorsale de la manifestation clermontoise. Heureusement, un groupe de pirates venu en droite ligne de Strée palliait l’absence des Amis du Goûter de Noël. C’est avec quelques autres individualités que pirates et gilles ont déambulé dans Clermont avant de clôturer au grand feu. trois gilles ont été décorés: Marc Thomas, Philippe Manon et Paulin Jouniaux.J. L.
Le groupe des AN ayant renoncé, les gilles se trouvaient quelque part orphelins, ces deux formations constituant l’épine dorsale de la manifestation clermontoise. Heureusement, un groupe de pirates venu en droite ligne de Strée palliait l’absence des Amis du Goûter de Noël. C’est avec quelques autres individualités que pirates et gilles ont déambulé dans Clermont avant de clôturer au grand feu. trois gilles ont été décorés: Marc Thomas, Philippe Manon et Paulin Jouniaux.J. L.
En selle pour la saison
- Ils étaient plus de 100 ce dimanche matin sur la place de Clermont. Eux, c’étaient les cyclos de Clermont qui reprennent leur vélo pour une nouvelle saison, bientôt la 40e.
Très vite, ils se sont répartis dans un des quatre groupes, correspondant à leur niveau et forme du moment.
Cette année, le programme sera dynamique, enthousiaste et varié tant au niveau sportif que festif.
Avec les sorties hebdomadaires, ils annoncent le challenge interne, la régularité, le contre-la-montre, les 8 heures et le rallye.
Le jeudi de l’Ascension sera la 34e journée Vélo pour tous avec des circuits VTT, des circuits routiers et la randonnée familiale de l’après-midi.
La grande sortie sera à Vianden (Luxembourg) fin août.
La journée Gentleman sera organisée en septembre.
Niveau festif: la 3e soirée photos le vendredi 14 mars et le souper fin de saison le 1er novembre. Un beau programme.Ch.C.
Très vite, ils se sont répartis dans un des quatre groupes, correspondant à leur niveau et forme du moment.
Cette année, le programme sera dynamique, enthousiaste et varié tant au niveau sportif que festif.
Avec les sorties hebdomadaires, ils annoncent le challenge interne, la régularité, le contre-la-montre, les 8 heures et le rallye.
Le jeudi de l’Ascension sera la 34e journée Vélo pour tous avec des circuits VTT, des circuits routiers et la randonnée familiale de l’après-midi.
La grande sortie sera à Vianden (Luxembourg) fin août.
La journée Gentleman sera organisée en septembre.
Niveau festif: la 3e soirée photos le vendredi 14 mars et le souper fin de saison le 1er novembre. Un beau programme.Ch.C.
Cette année, le programme sera dynamique, enthousiaste et varié tant au niveau sportif que festif.
Avec les sorties hebdomadaires, ils annoncent le challenge interne, la régularité, le contre-la-montre, les 8 heures et le rallye.
Le jeudi de l’Ascension sera la 34e journée Vélo pour tous avec des circuits VTT, des circuits routiers et la randonnée familiale de l’après-midi.
La grande sortie sera à Vianden (Luxembourg) fin août.
La journée Gentleman sera organisée en septembre.
Niveau festif: la 3e soirée photos le vendredi 14 mars et le souper fin de saison le 1er novembre. Un beau programme.Ch.C.
Vente d’un terrain agricole : collège divisé
WALCOURT - À l’exception de Vincent Bedoret, le collège décide de vendre un terrain agricole. Le fonds sera réinvesti dans l’extension de l’hôtel de ville.
La séance publique de ce conseil communal de février s’est ouverte par une minute de silence en mémoire de Pascale Van Loo, une institutrice des écoles communales de l’entité récemment décédée à la fleur de l’âge. Parmi les nombreux points inscrits à l’ordre du jour, c’est la vente d’une parcelle agricole de 10 ha, au lieu-dit «Bois de Mertenne », à Castillon, qui a suscité le débat.
Vincent Bedoret (MR-EC), échevin de l’Agriculture et du Patrimoine, présente le point. «En tant qu’échevin de l’Agriculture, je ne peux approuver cette vente car elle va défavoriser les agriculteurs de l’entité; d’autant plus que c’est peut-être quelqu’un de l’extérieur qui va l’acheter », déclare-t-il.
La bourgmestre Christine Poulin (PS) reprend la main et précise: «Nous vendons ce terrain pour en réinvestir le produit dans l’extension de l’hôtel de ville qui constitue un problème à régler une fois pour toute ».
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq propose de vendre les 56 ha de bois situé à proximité des lacs de l’Eau d’Heure, sur l’entité de Cerfontaine. «Les ventes de bois rapportent, chaque année, bien plus que des locations de terrains agricoles », rétorque la bourgmestre.
Le vote du point est très disparate: Vincent Bedoret et Daniel Vandersmissen (indépendant) s’abstiennent, tandis que le groupe cdH-SC et Laurent Leclercq émettent un vote négatif sur cette vente.
Dans la foulée, le conseil décide d’exclure le droit de chasse de cette parcelle. À la demande du directeur financier, Christine Poulin fait ajouter, en urgence, la demande d’approbation par le conseil, de la convention de location de droit de chasse de gré à gré pour la période 2014-2023. Celles-ci doivent être signées, pour le 19 mars, par les soumissionnaires, pour entrer en application au 1er avril.
SDER : avis négatif
Le conseil est ensuite invité à émettre un avis sur le projet de Schéma de développement de l’espace régional (SDER), ainsi que sur son évaluation. Pour rappel, ce document a fait l’objet d’une enquête publique au cours de laquelle les citoyens avaient la possibilité de donner leur avis.
À Walcourt, cinq lettres de réclamation et/ou d’observations sont parvenues à l’administration communale. Elles avaient trait à l’éolien, à la gestion des paysages et aux transports. Pour sa part, le collège maintient sa décision du 31 janvier 2013, date à laquelle il avait déjà émis un avis négatif.
«Nous estimons que les territoires ruraux sont laissés pour compte dans le SDER et que certains éléments sont inacceptables. Nous ne trouvons, par exemple, pas normal que ce soit la Région qui détermine, seule, les territoires centraux présents sur son territoire », détaille l’échevin Bedoret.
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq trouve que le conseil devrait plutôt émettre un avis positif, accompagné de réserves. Le groupe Autrement s’est abstenu sur ce point.
WALCOURT - À l’exception de Vincent Bedoret, le collège décide de vendre un terrain agricole. Le fonds sera réinvesti dans l’extension de l’hôtel de ville.
La séance publique de ce conseil communal de février s’est ouverte par une minute de silence en mémoire de Pascale Van Loo, une institutrice des écoles communales de l’entité récemment décédée à la fleur de l’âge. Parmi les nombreux points inscrits à l’ordre du jour, c’est la vente d’une parcelle agricole de 10 ha, au lieu-dit «Bois de Mertenne », à Castillon, qui a suscité le débat.
Vincent Bedoret (MR-EC), échevin de l’Agriculture et du Patrimoine, présente le point. «En tant qu’échevin de l’Agriculture, je ne peux approuver cette vente car elle va défavoriser les agriculteurs de l’entité; d’autant plus que c’est peut-être quelqu’un de l’extérieur qui va l’acheter », déclare-t-il.
La bourgmestre Christine Poulin (PS) reprend la main et précise: «Nous vendons ce terrain pour en réinvestir le produit dans l’extension de l’hôtel de ville qui constitue un problème à régler une fois pour toute ».
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq propose de vendre les 56 ha de bois situé à proximité des lacs de l’Eau d’Heure, sur l’entité de Cerfontaine. «Les ventes de bois rapportent, chaque année, bien plus que des locations de terrains agricoles », rétorque la bourgmestre.
Le vote du point est très disparate: Vincent Bedoret et Daniel Vandersmissen (indépendant) s’abstiennent, tandis que le groupe cdH-SC et Laurent Leclercq émettent un vote négatif sur cette vente.
Dans la foulée, le conseil décide d’exclure le droit de chasse de cette parcelle. À la demande du directeur financier, Christine Poulin fait ajouter, en urgence, la demande d’approbation par le conseil, de la convention de location de droit de chasse de gré à gré pour la période 2014-2023. Celles-ci doivent être signées, pour le 19 mars, par les soumissionnaires, pour entrer en application au 1er avril.
SDER : avis négatif
Le conseil est ensuite invité à émettre un avis sur le projet de Schéma de développement de l’espace régional (SDER), ainsi que sur son évaluation. Pour rappel, ce document a fait l’objet d’une enquête publique au cours de laquelle les citoyens avaient la possibilité de donner leur avis.
À Walcourt, cinq lettres de réclamation et/ou d’observations sont parvenues à l’administration communale. Elles avaient trait à l’éolien, à la gestion des paysages et aux transports. Pour sa part, le collège maintient sa décision du 31 janvier 2013, date à laquelle il avait déjà émis un avis négatif.
«Nous estimons que les territoires ruraux sont laissés pour compte dans le SDER et que certains éléments sont inacceptables. Nous ne trouvons, par exemple, pas normal que ce soit la Région qui détermine, seule, les territoires centraux présents sur son territoire », détaille l’échevin Bedoret.
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq trouve que le conseil devrait plutôt émettre un avis positif, accompagné de réserves. Le groupe Autrement s’est abstenu sur ce point.
Vincent Bedoret (MR-EC), échevin de l’Agriculture et du Patrimoine, présente le point. «En tant qu’échevin de l’Agriculture, je ne peux approuver cette vente car elle va défavoriser les agriculteurs de l’entité; d’autant plus que c’est peut-être quelqu’un de l’extérieur qui va l’acheter », déclare-t-il.
La bourgmestre Christine Poulin (PS) reprend la main et précise: «Nous vendons ce terrain pour en réinvestir le produit dans l’extension de l’hôtel de ville qui constitue un problème à régler une fois pour toute ».
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq propose de vendre les 56 ha de bois situé à proximité des lacs de l’Eau d’Heure, sur l’entité de Cerfontaine. «Les ventes de bois rapportent, chaque année, bien plus que des locations de terrains agricoles », rétorque la bourgmestre.
Le vote du point est très disparate: Vincent Bedoret et Daniel Vandersmissen (indépendant) s’abstiennent, tandis que le groupe cdH-SC et Laurent Leclercq émettent un vote négatif sur cette vente.
Dans la foulée, le conseil décide d’exclure le droit de chasse de cette parcelle. À la demande du directeur financier, Christine Poulin fait ajouter, en urgence, la demande d’approbation par le conseil, de la convention de location de droit de chasse de gré à gré pour la période 2014-2023. Celles-ci doivent être signées, pour le 19 mars, par les soumissionnaires, pour entrer en application au 1er avril.
SDER : avis négatif
Le conseil est ensuite invité à émettre un avis sur le projet de Schéma de développement de l’espace régional (SDER), ainsi que sur son évaluation. Pour rappel, ce document a fait l’objet d’une enquête publique au cours de laquelle les citoyens avaient la possibilité de donner leur avis.
À Walcourt, cinq lettres de réclamation et/ou d’observations sont parvenues à l’administration communale. Elles avaient trait à l’éolien, à la gestion des paysages et aux transports. Pour sa part, le collège maintient sa décision du 31 janvier 2013, date à laquelle il avait déjà émis un avis négatif.
«Nous estimons que les territoires ruraux sont laissés pour compte dans le SDER et que certains éléments sont inacceptables. Nous ne trouvons, par exemple, pas normal que ce soit la Région qui détermine, seule, les territoires centraux présents sur son territoire », détaille l’échevin Bedoret.
Pour le groupe Autrement, Laurent Leclercq trouve que le conseil devrait plutôt émettre un avis positif, accompagné de réserves. Le groupe Autrement s’est abstenu sur ce point.
460 VTT pour le Télévie
À la salle communale, lieu de rendez-vous, plusieurs bénévoles assistaient le comité à la cuisine, à la buvette, aux inscriptions ou à la caisse, aux ravitaillements pendant que l’équipe de Luc Vande velde accueillait les participants.
Prochain projet: une balade motos tous terrains mais non accessibles aux quads. Renseignements au 071/589454.Ch. C.
À la salle communale, lieu de rendez-vous, plusieurs bénévoles assistaient le comité à la cuisine, à la buvette, aux inscriptions ou à la caisse, aux ravitaillements pendant que l’équipe de Luc Vande velde accueillait les participants.
Prochain projet: une balade motos tous terrains mais non accessibles aux quads. Renseignements au 071/589454.Ch. C.
Prochain projet: une balade motos tous terrains mais non accessibles aux quads. Renseignements au 071/589454.Ch. C.
Des AGN meilleurs que jamais
/P>
Depuis le samedi 4 janvier, chaque week-end, plus moyen de trouver le moindre strapontin libre dans la salle communale de Clermont.
C’est qu’on vient de loin pour déguster, comme chaque année, l’entrée puis le plat de résistance des AGN, entendez la revue et la pièce qu’ont préparées les «Amis du Goûter de Noël», la troupe de théâtre clermontoise.
Qui pou qwè
«Qui et pourquoi?» Voilà la question qui va tenir en haleine les spectateurs durant plus de deux heures.
C’est que cette année, l’homme-orchestre des AGN, Albert Scohy, n’a pas cherché midi à quatorze heures pour trouver une comédie digne de mettre à mal les zygomatiques. Tout simplement, il est allé rechercher une pièce qu’il avait écrite et montée, il y a une vingtaine d’années: «Qui pou qwè».
Et comme il a eu raison. Mais qu’on se rassure, il ne s’agit pas d’un simple «copier-coller» pour reprendre un terme que le monde de l’informatique a introduit dans le langage usuel.
«Bien entendu, s’empresse-t-il de préciser, j’ai dû apporter pas mal de modifications aux répliques originelles. J’ai même créé trois nouveaux personnages afin que tout le potentiel comédien dont je disposais cette année, puisse se retrouver sur scène».
Mais, que ce soient les répliques d’il y a 2 décennies, les situations de la création ou celles de cette année, ce délicieux mélange a fait mouche et même davantage.
Distribution
De la première, seuls deux comédiens sont toujours de service. Les autres ont pris le train en marche, parfois, il y a déjà de nombreuses années pour camper les hommes et les femmes de cette comédie qui a pour cadre la ferme d’un certain Artûr.
L’agriculteur qui se croit un artiste rockeur en devenir veut vendre sa ferme. L’une de ses 5 sœurs tente de refaire sa vie. Et l’un comme l’autre passe une annonce.
On le comprend vite, quand quelqu’un se présente, c’est pour qui et pourquoi?
Pour servir les répliques d’Albert Scohy, on a retrouvé Jean-Pol Briclet, Françoise Gohy, Chantal Poiret, Nancy De Vos, Marie-Thérèse Dropsy, Monique Quertinmont, Mélise Briclet, Marcel Gohy, Daniel Wojtalik, Benoît Malengreaux, Eddy Parent et Eddy Lorenzin. Et dans l’ombre, il y avait Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen, Mauricette Cuignet et bien entendu Albert Scohy, auteur et metteur en scène.
Mentions
Si tous sont à applaudir avec la même intensité, qu’il nous soit permis quelques mentions spéciales.
À Eddy Lorenzin, alias Gaston Dubus dont chaque apparition faisait éclater la salle de rires.
Il y a aussi Jean-Pol Briclet qui campe le fameux agriculteur et qui s’est farci un monologue d’exception à donner la chair de poule. Bravo aussi à la mise en scène et aux éclairages qui, à un moment bien déterminé, ont pu mettre en valeur les éléments de l’intrigue.
Une mention spéciale enfin à Mélise Briclet, toute jeune comédienne issue de l’école des jeunes des AGN et dont c’était la toute première prestation dans la cour des grands.
Les AGN se produiront encore les 18, 19, 24 et 25 janvier.
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Depuis le samedi 4 janvier, chaque week-end, plus moyen de trouver le moindre strapontin libre dans la salle communale de Clermont.
C’est qu’on vient de loin pour déguster, comme chaque année, l’entrée puis le plat de résistance des AGN, entendez la revue et la pièce qu’ont préparées les «Amis du Goûter de Noël», la troupe de théâtre clermontoise.
Qui pou qwè
«Qui et pourquoi?» Voilà la question qui va tenir en haleine les spectateurs durant plus de deux heures.
C’est que cette année, l’homme-orchestre des AGN, Albert Scohy, n’a pas cherché midi à quatorze heures pour trouver une comédie digne de mettre à mal les zygomatiques. Tout simplement, il est allé rechercher une pièce qu’il avait écrite et montée, il y a une vingtaine d’années: «Qui pou qwè».
Et comme il a eu raison. Mais qu’on se rassure, il ne s’agit pas d’un simple «copier-coller» pour reprendre un terme que le monde de l’informatique a introduit dans le langage usuel.
«Bien entendu, s’empresse-t-il de préciser, j’ai dû apporter pas mal de modifications aux répliques originelles. J’ai même créé trois nouveaux personnages afin que tout le potentiel comédien dont je disposais cette année, puisse se retrouver sur scène».
Mais, que ce soient les répliques d’il y a 2 décennies, les situations de la création ou celles de cette année, ce délicieux mélange a fait mouche et même davantage.
Distribution
De la première, seuls deux comédiens sont toujours de service. Les autres ont pris le train en marche, parfois, il y a déjà de nombreuses années pour camper les hommes et les femmes de cette comédie qui a pour cadre la ferme d’un certain Artûr.
L’agriculteur qui se croit un artiste rockeur en devenir veut vendre sa ferme. L’une de ses 5 sœurs tente de refaire sa vie. Et l’un comme l’autre passe une annonce.
On le comprend vite, quand quelqu’un se présente, c’est pour qui et pourquoi?
Pour servir les répliques d’Albert Scohy, on a retrouvé Jean-Pol Briclet, Françoise Gohy, Chantal Poiret, Nancy De Vos, Marie-Thérèse Dropsy, Monique Quertinmont, Mélise Briclet, Marcel Gohy, Daniel Wojtalik, Benoît Malengreaux, Eddy Parent et Eddy Lorenzin. Et dans l’ombre, il y avait Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen, Mauricette Cuignet et bien entendu Albert Scohy, auteur et metteur en scène.
Mentions
Si tous sont à applaudir avec la même intensité, qu’il nous soit permis quelques mentions spéciales.
À Eddy Lorenzin, alias Gaston Dubus dont chaque apparition faisait éclater la salle de rires.
Il y a aussi Jean-Pol Briclet qui campe le fameux agriculteur et qui s’est farci un monologue d’exception à donner la chair de poule. Bravo aussi à la mise en scène et aux éclairages qui, à un moment bien déterminé, ont pu mettre en valeur les éléments de l’intrigue.
Une mention spéciale enfin à Mélise Briclet, toute jeune comédienne issue de l’école des jeunes des AGN et dont c’était la toute première prestation dans la cour des grands.
Les AGN se produiront encore les 18, 19, 24 et 25 janvier.
Depuis le samedi 4 janvier, chaque week-end, plus moyen de trouver le moindre strapontin libre dans la salle communale de Clermont.
C’est qu’on vient de loin pour déguster, comme chaque année, l’entrée puis le plat de résistance des AGN, entendez la revue et la pièce qu’ont préparées les «Amis du Goûter de Noël», la troupe de théâtre clermontoise.
Qui pou qwè
«Qui et pourquoi?» Voilà la question qui va tenir en haleine les spectateurs durant plus de deux heures.
C’est que cette année, l’homme-orchestre des AGN, Albert Scohy, n’a pas cherché midi à quatorze heures pour trouver une comédie digne de mettre à mal les zygomatiques. Tout simplement, il est allé rechercher une pièce qu’il avait écrite et montée, il y a une vingtaine d’années: «Qui pou qwè».
Et comme il a eu raison. Mais qu’on se rassure, il ne s’agit pas d’un simple «copier-coller» pour reprendre un terme que le monde de l’informatique a introduit dans le langage usuel.
«Bien entendu, s’empresse-t-il de préciser, j’ai dû apporter pas mal de modifications aux répliques originelles. J’ai même créé trois nouveaux personnages afin que tout le potentiel comédien dont je disposais cette année, puisse se retrouver sur scène».
Mais, que ce soient les répliques d’il y a 2 décennies, les situations de la création ou celles de cette année, ce délicieux mélange a fait mouche et même davantage.
Distribution
De la première, seuls deux comédiens sont toujours de service. Les autres ont pris le train en marche, parfois, il y a déjà de nombreuses années pour camper les hommes et les femmes de cette comédie qui a pour cadre la ferme d’un certain Artûr.
L’agriculteur qui se croit un artiste rockeur en devenir veut vendre sa ferme. L’une de ses 5 sœurs tente de refaire sa vie. Et l’un comme l’autre passe une annonce.
On le comprend vite, quand quelqu’un se présente, c’est pour qui et pourquoi?
Pour servir les répliques d’Albert Scohy, on a retrouvé Jean-Pol Briclet, Françoise Gohy, Chantal Poiret, Nancy De Vos, Marie-Thérèse Dropsy, Monique Quertinmont, Mélise Briclet, Marcel Gohy, Daniel Wojtalik, Benoît Malengreaux, Eddy Parent et Eddy Lorenzin. Et dans l’ombre, il y avait Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen, Mauricette Cuignet et bien entendu Albert Scohy, auteur et metteur en scène.
Mentions
Si tous sont à applaudir avec la même intensité, qu’il nous soit permis quelques mentions spéciales.
À Eddy Lorenzin, alias Gaston Dubus dont chaque apparition faisait éclater la salle de rires.
Il y a aussi Jean-Pol Briclet qui campe le fameux agriculteur et qui s’est farci un monologue d’exception à donner la chair de poule. Bravo aussi à la mise en scène et aux éclairages qui, à un moment bien déterminé, ont pu mettre en valeur les éléments de l’intrigue.
Une mention spéciale enfin à Mélise Briclet, toute jeune comédienne issue de l’école des jeunes des AGN et dont c’était la toute première prestation dans la cour des grands.
Les AGN se produiront encore les 18, 19, 24 et 25 janvier.
La 29e de « En chuvant l’Gau »
Tous les ratages, toutes les situations farfelues 2013 sont l’occasion de sentir les pieds de leurs auteurs. Ses cibles favorites, les gens de Strée mais aussi les habitants de Donstiennes quand ce ne sont les autorités communales du grand Walcourt.
Cette revue où se retrouve toute la troupe des AGN, y compris Albert Scohy qui campe Madame Cabas, est l’occasion à de tout jeunes comédiens de faire leurs premières armes. C’est ainsi qu’on a reconnu Séraphin Mathieu, Clément Laloyaux, Aline Lechevin et Morgane Briclet. De jeunes talents qu’on risque bien de retrouver dans les prochaines années dans «le plat de résistance» des soirées clermontoises des Amis du Goûter de Noël.J.L.
Tous les ratages, toutes les situations farfelues 2013 sont l’occasion de sentir les pieds de leurs auteurs. Ses cibles favorites, les gens de Strée mais aussi les habitants de Donstiennes quand ce ne sont les autorités communales du grand Walcourt.
Cette revue où se retrouve toute la troupe des AGN, y compris Albert Scohy qui campe Madame Cabas, est l’occasion à de tout jeunes comédiens de faire leurs premières armes. C’est ainsi qu’on a reconnu Séraphin Mathieu, Clément Laloyaux, Aline Lechevin et Morgane Briclet. De jeunes talents qu’on risque bien de retrouver dans les prochaines années dans «le plat de résistance» des soirées clermontoises des Amis du Goûter de Noël.J.L.
Cette revue où se retrouve toute la troupe des AGN, y compris Albert Scohy qui campe Madame Cabas, est l’occasion à de tout jeunes comédiens de faire leurs premières armes. C’est ainsi qu’on a reconnu Séraphin Mathieu, Clément Laloyaux, Aline Lechevin et Morgane Briclet. De jeunes talents qu’on risque bien de retrouver dans les prochaines années dans «le plat de résistance» des soirées clermontoises des Amis du Goûter de Noël.J.L.
« Qui pou qwè ? » avec les AGN
Ca y est, c’est reparti pour un tour! Dès le samedi 4 janvier, aux environs de 19h30, les trois coups du brigadier retentiront pour ouvrir la saison 2013-2014 des soirées théâtrales des Amis du Goûter de Noël, plus souvent appelés les AGN. Une saison qui a déjà connu son avant-première le jour de Noël, avec la représentation destinée aux aînés de la localité, raison d’être originelle de la troupe clermontoise. Homme-orchestre des AGN, Albert Scohy ne se contentera pas, cette année, d’encore enfiler la tenue de soirée de «Madame Cabas », ni d’assurer la mise en scène. Il est tout simplement l’auteur de la comédie en trois actes proposée pour la nouvelle saison: Qui pou qwè?
Sans vouloir dévoiler toutes les intrigues, disons tout simplement que se trouvent en présence Artûr, un cultivateur, et ses cinq sœurs. Si d’un côté, le fermier passe une annonce pour vendre ses terres, d’un autre côté, la plus jeune sœur a, elle aussi, passé une annonce pour trouver… chaussure à son pied. Alors quand surgit un quelconque visiteur, c’est pour qui et pour quoi?
Vingt ans plus tard
On le devine, les quiproquos seront légions, tous prétextes à donner du fil à retordre aux zygomatiques des spectateurs de la salle communale clermontoise. Cette comédie n’est pas sortie tout récemment de la plume d’Albert Scohy. Comme il nous le précisait, il s’agit d’une pièce jouée, il y a deux décennies. Mais n’allez pas croire qu’il s’agisse d’un simple copié-collé comme on dit maintenant. L’auteur, metteur en scène s’est permis diverses adaptations qui ne feront qu’ajouter un «plus » à ce qui fut mis sur planches au début des années 90.
Côté distribution, s’il reste bien des comédiens de l’époque, avec certes quelques belles rides en plus, d’autres sont venus étoffer le groupe. Ceci dit, on ne trouve que des têtes connues évoluant sur les planches clermontoises déjà depuis quelques années.
C’est donc avec un bonheur certain que les spectateurs retrouveront Jean-Pol Briclet dans le rôle de l’agriculteur. Il sera entouré de ses sœurs, Louwisète (Françoise Gohy), Roseline (Chantal Poiret), Mirèye (Nancy De Vos), Julia (Marie-Thérèse Dropsy) et Réjane (Monique Quertinmont).
Côté masculin, Marcel Gohy sera le chevilleur Zéfir Dubois, Daniel Wojtalik incarnera le notaire Félicyin Durand, Benoît Malengreaux se présentera sous les traits du garagiste Oswald Dupont. Quant à Eddy Parent, vous le découvrirez en banquier, il sera Léopold Durant et Eddy Lorenzin sera Gaston Dubus, un ouvrier. Au milieu de tout ce beau monde, on remarquera Amélie, une jeune étudiante incarnée par Mélise Briclet. Ce sera sa première au milieu des ténors des AGN. N’oublions pas les acteurs de l’ombre, Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen et Mauricette Guignet. Vingt ans plus tard, ça risque encore de rire aux éclats. Et c’est finalement le seul objectif de la soirée.
Ca y est, c’est reparti pour un tour! Dès le samedi 4 janvier, aux environs de 19h30, les trois coups du brigadier retentiront pour ouvrir la saison 2013-2014 des soirées théâtrales des Amis du Goûter de Noël, plus souvent appelés les AGN. Une saison qui a déjà connu son avant-première le jour de Noël, avec la représentation destinée aux aînés de la localité, raison d’être originelle de la troupe clermontoise. Homme-orchestre des AGN, Albert Scohy ne se contentera pas, cette année, d’encore enfiler la tenue de soirée de «Madame Cabas », ni d’assurer la mise en scène. Il est tout simplement l’auteur de la comédie en trois actes proposée pour la nouvelle saison: Qui pou qwè?
Sans vouloir dévoiler toutes les intrigues, disons tout simplement que se trouvent en présence Artûr, un cultivateur, et ses cinq sœurs. Si d’un côté, le fermier passe une annonce pour vendre ses terres, d’un autre côté, la plus jeune sœur a, elle aussi, passé une annonce pour trouver… chaussure à son pied. Alors quand surgit un quelconque visiteur, c’est pour qui et pour quoi?
Vingt ans plus tard
On le devine, les quiproquos seront légions, tous prétextes à donner du fil à retordre aux zygomatiques des spectateurs de la salle communale clermontoise. Cette comédie n’est pas sortie tout récemment de la plume d’Albert Scohy. Comme il nous le précisait, il s’agit d’une pièce jouée, il y a deux décennies. Mais n’allez pas croire qu’il s’agisse d’un simple copié-collé comme on dit maintenant. L’auteur, metteur en scène s’est permis diverses adaptations qui ne feront qu’ajouter un «plus » à ce qui fut mis sur planches au début des années 90.
Côté distribution, s’il reste bien des comédiens de l’époque, avec certes quelques belles rides en plus, d’autres sont venus étoffer le groupe. Ceci dit, on ne trouve que des têtes connues évoluant sur les planches clermontoises déjà depuis quelques années.
C’est donc avec un bonheur certain que les spectateurs retrouveront Jean-Pol Briclet dans le rôle de l’agriculteur. Il sera entouré de ses sœurs, Louwisète (Françoise Gohy), Roseline (Chantal Poiret), Mirèye (Nancy De Vos), Julia (Marie-Thérèse Dropsy) et Réjane (Monique Quertinmont).
Côté masculin, Marcel Gohy sera le chevilleur Zéfir Dubois, Daniel Wojtalik incarnera le notaire Félicyin Durand, Benoît Malengreaux se présentera sous les traits du garagiste Oswald Dupont. Quant à Eddy Parent, vous le découvrirez en banquier, il sera Léopold Durant et Eddy Lorenzin sera Gaston Dubus, un ouvrier. Au milieu de tout ce beau monde, on remarquera Amélie, une jeune étudiante incarnée par Mélise Briclet. Ce sera sa première au milieu des ténors des AGN. N’oublions pas les acteurs de l’ombre, Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen et Mauricette Guignet. Vingt ans plus tard, ça risque encore de rire aux éclats. Et c’est finalement le seul objectif de la soirée.
Ils seront tous de la revue…
- En lever de rideau, une vieille habitude des AGN, on pourra passer en revue les cancans, les bourdes, les âneries et autres maladresses dont se sont rendus coupables quelques Clermontois mais surtout les voisins de Strée, de Donstiennes ou de Walcourt.
D’autres victimes? «Madame Cabas » n’a rien voulu divulguer, ce qui ne rassure personne! Dans son traditionnel accoutrement, la mégère clermontoise va de nouveau pointer sa canne vers toutes celles et tous ceux qui ne lui reviennent pas. Cette revue intitulée «En chuvant l’Gau » (ruisseau local) en sera à son 29e épisode. Et si on y retrouve toutes les têtes d’affiche, c’est aussi l’occasion de découvrir les jeunes talents comme Séraphin Mathieu, Clément Laloyaux, Aline Lechevin et Morgane Briclet. Sous la jupe de «Madame Cabas », on retrouvera Albert Scohy: décidément, ces deux-là ne se séparent jamais… J.L.
D’autres victimes? «Madame Cabas » n’a rien voulu divulguer, ce qui ne rassure personne! Dans son traditionnel accoutrement, la mégère clermontoise va de nouveau pointer sa canne vers toutes celles et tous ceux qui ne lui reviennent pas. Cette revue intitulée «En chuvant l’Gau » (ruisseau local) en sera à son 29e épisode. Et si on y retrouve toutes les têtes d’affiche, c’est aussi l’occasion de découvrir les jeunes talents comme Séraphin Mathieu, Clément Laloyaux, Aline Lechevin et Morgane Briclet. Sous la jupe de «Madame Cabas », on retrouvera Albert Scohy: décidément, ces deux-là ne se séparent jamais… J.L.
Méfaits de la tempête à Clermont et dans la Botte
- Il y a quelque 35 années, un ancien groupement local avait décidé de garnir les maisons du village de Clermont à l’occasion de la Noël.
Il en fit part à Claude Labilloy qui dessina une crèche, presque grandeur nature, la découpa et la peignit pour orner le balcon de la maison communale.
C’est ainsi que, chaque année, une crèche ornée d’une guirlande lumineuse garnit l’édifice public.
Malheureusement, la nuit précédant Noël, des rafales de vent ont eu prise sur cette ancienne décoration. Elle s’est abattue comme un jeu de cartes sur la devanture, heureusement sans faire de dégâts. Avec l’aide de riverains, elle a été remisée en un endroit sûr, attendant une réparation éventuelle.
D’autre part, les deux ruisseaux du village, le Gau et le Brule, sont sortis de leur lit et ont provoqué des inondations dans les prairies, les jardins avoisinants voire même à plusieurs routes. Ce mercredi, tout semblait s’apaiser.
Les pompiers de Beaumont, eux, ont réalisé plusieurs interventions à la suite de la crue des cours d’eau de la Botte du Hainaut.
Des inondations limitées ont touché les villages de Leval-Chaudeville, Solre-Saint-Géry et Solre-sur-Sambre.
Plusieurs rues étaient également inondées, le niveau d’eau n’atteignant toutefois que quelques centimètres.Ch.C. et Belga
- Il y a quelque 35 années, un ancien groupement local avait décidé de garnir les maisons du village de Clermont à l’occasion de la Noël.
Il en fit part à Claude Labilloy qui dessina une crèche, presque grandeur nature, la découpa et la peignit pour orner le balcon de la maison communale.
C’est ainsi que, chaque année, une crèche ornée d’une guirlande lumineuse garnit l’édifice public.
Malheureusement, la nuit précédant Noël, des rafales de vent ont eu prise sur cette ancienne décoration. Elle s’est abattue comme un jeu de cartes sur la devanture, heureusement sans faire de dégâts. Avec l’aide de riverains, elle a été remisée en un endroit sûr, attendant une réparation éventuelle.
D’autre part, les deux ruisseaux du village, le Gau et le Brule, sont sortis de leur lit et ont provoqué des inondations dans les prairies, les jardins avoisinants voire même à plusieurs routes. Ce mercredi, tout semblait s’apaiser.
Les pompiers de Beaumont, eux, ont réalisé plusieurs interventions à la suite de la crue des cours d’eau de la Botte du Hainaut.
Des inondations limitées ont touché les villages de Leval-Chaudeville, Solre-Saint-Géry et Solre-sur-Sambre.
Plusieurs rues étaient également inondées, le niveau d’eau n’atteignant toutefois que quelques centimètres.Ch.C. et Belga
C’est ainsi que, chaque année, une crèche ornée d’une guirlande lumineuse garnit l’édifice public.
Malheureusement, la nuit précédant Noël, des rafales de vent ont eu prise sur cette ancienne décoration. Elle s’est abattue comme un jeu de cartes sur la devanture, heureusement sans faire de dégâts. Avec l’aide de riverains, elle a été remisée en un endroit sûr, attendant une réparation éventuelle.
D’autre part, les deux ruisseaux du village, le Gau et le Brule, sont sortis de leur lit et ont provoqué des inondations dans les prairies, les jardins avoisinants voire même à plusieurs routes. Ce mercredi, tout semblait s’apaiser.
Les pompiers de Beaumont, eux, ont réalisé plusieurs interventions à la suite de la crue des cours d’eau de la Botte du Hainaut.
Des inondations limitées ont touché les villages de Leval-Chaudeville, Solre-Saint-Géry et Solre-sur-Sambre.
Plusieurs rues étaient également inondées, le niveau d’eau n’atteignant toutefois que quelques centimètres.Ch.C. et Belga
Des pompiers à motiver avant de sauver…
- Le chef du service répond au chef d’équipe. Le lieutenant Yves Bertrand estime que le poste avancé de Clermont doit davantage se motiver…
Dans notre édition de lundi, nous évoquions les paroles de l’adjudant Jacquiez, qui dirige le poste avancé des pompiers de Florennes à Clermont. À l’occasion de la Sainte-Barbe, il a évoqué le manque de moyens matériel et humain dont il bénéficie pour travailler.
À Florennes, son chef de service bondit sur sa chaise. D’après lui, les premières responsabilités de cette situation sont à trouver au sein du poste avancé lui-même! Et de dénombrer des déconfitures clermontoises, ces derniers temps:
1. Le matérielL’adjudant se plaint de ne plus avoir à sa disposition qu’une autopompe de 1982.«C’est l’équipement demandé pour un poste avancé: une autopompe. Nous avions fourni une voiture de commandement en plus: elle s’est vite retrouvée au fossé, énumère le lieutenant Bertrand.La citerne que nous leur avons déposée était assez vieille: le pont arrière est cassé et elle a été déclassée. La camionnette de 5 ans et 15 000 km a vu son moteur casser: l’expertise a conclu que l’on avait roulé sans huile. Quand à la motopompe, après 12hde fonctionnement, la pompe à essence a cassé parce que l’on n’y avait pas remis de liquide de refroidissement… Alors oui, en effet, il ne reste qu’une autopompe. Mais ce n’est pas faute d’avoir essayé d’équiper le poste davantage. Et remplacer un matériel aussi coûteux ne se fait pas si facilement, surtout pour si peu d’interventions…»
2. Les hommes«Il n’y a plus que six pompiers? Plusieurs phénomènes jouent. D’abord, la motivation des troupes. Sur cinq nouveaux, deux seulement sont arrivés au bout du cursus. Je pense qu’ils n’ont pas été assez poussés et motivés. Quant à ceux qui sont là, leur motivation est au ras de pâquerettes. Ils vivent encore comme vivait jadis un poste avancé. Or, l’exercice mensuel ne se limite pas à un tour en camion. Et tous doivent participer. La plupart du temps, Clermont ne sait pas organiser ses gardes mais aucune solution n’est proposée pour améliorer la situation ou sauver le poste. Parmi les pompiers, certains n’avaient pas le permis B. Plusieurs ne savent pas utiliser les appareils respiratoires et rechignent à se former: que voulez-vous faire avec des gens qui ne savent pas conduire ni secourir les gens? Leur vie à eux-mêmes peut être mise en danger.»
On le sent, il y a nettement un manque de communication entre les deux services, voire même un jeu de bras de fer parmi la hiérarchie. «On crie au loup mais que la population se rassure: elle est mieux protégée qu’avant, depuis l’instauration de l’aide adéquate la plus rapide. Suivant le lieu d’une intervention, Beaumont, Florennes ou Philippeville peuvent intervenir au plus vite», tempère Yves Bertrand. Mais sur la survie du poste avancé, point de garantie.
- Le chef du service répond au chef d’équipe. Le lieutenant Yves Bertrand estime que le poste avancé de Clermont doit davantage se motiver…
Dans notre édition de lundi, nous évoquions les paroles de l’adjudant Jacquiez, qui dirige le poste avancé des pompiers de Florennes à Clermont. À l’occasion de la Sainte-Barbe, il a évoqué le manque de moyens matériel et humain dont il bénéficie pour travailler.
À Florennes, son chef de service bondit sur sa chaise. D’après lui, les premières responsabilités de cette situation sont à trouver au sein du poste avancé lui-même! Et de dénombrer des déconfitures clermontoises, ces derniers temps:
1. Le matérielL’adjudant se plaint de ne plus avoir à sa disposition qu’une autopompe de 1982.«C’est l’équipement demandé pour un poste avancé: une autopompe. Nous avions fourni une voiture de commandement en plus: elle s’est vite retrouvée au fossé, énumère le lieutenant Bertrand.La citerne que nous leur avons déposée était assez vieille: le pont arrière est cassé et elle a été déclassée. La camionnette de 5 ans et 15 000 km a vu son moteur casser: l’expertise a conclu que l’on avait roulé sans huile. Quand à la motopompe, après 12hde fonctionnement, la pompe à essence a cassé parce que l’on n’y avait pas remis de liquide de refroidissement… Alors oui, en effet, il ne reste qu’une autopompe. Mais ce n’est pas faute d’avoir essayé d’équiper le poste davantage. Et remplacer un matériel aussi coûteux ne se fait pas si facilement, surtout pour si peu d’interventions…»
2. Les hommes«Il n’y a plus que six pompiers? Plusieurs phénomènes jouent. D’abord, la motivation des troupes. Sur cinq nouveaux, deux seulement sont arrivés au bout du cursus. Je pense qu’ils n’ont pas été assez poussés et motivés. Quant à ceux qui sont là, leur motivation est au ras de pâquerettes. Ils vivent encore comme vivait jadis un poste avancé. Or, l’exercice mensuel ne se limite pas à un tour en camion. Et tous doivent participer. La plupart du temps, Clermont ne sait pas organiser ses gardes mais aucune solution n’est proposée pour améliorer la situation ou sauver le poste. Parmi les pompiers, certains n’avaient pas le permis B. Plusieurs ne savent pas utiliser les appareils respiratoires et rechignent à se former: que voulez-vous faire avec des gens qui ne savent pas conduire ni secourir les gens? Leur vie à eux-mêmes peut être mise en danger.»
On le sent, il y a nettement un manque de communication entre les deux services, voire même un jeu de bras de fer parmi la hiérarchie. «On crie au loup mais que la population se rassure: elle est mieux protégée qu’avant, depuis l’instauration de l’aide adéquate la plus rapide. Suivant le lieu d’une intervention, Beaumont, Florennes ou Philippeville peuvent intervenir au plus vite», tempère Yves Bertrand. Mais sur la survie du poste avancé, point de garantie.
À Florennes, son chef de service bondit sur sa chaise. D’après lui, les premières responsabilités de cette situation sont à trouver au sein du poste avancé lui-même! Et de dénombrer des déconfitures clermontoises, ces derniers temps:
1. Le matérielL’adjudant se plaint de ne plus avoir à sa disposition qu’une autopompe de 1982.«C’est l’équipement demandé pour un poste avancé: une autopompe. Nous avions fourni une voiture de commandement en plus: elle s’est vite retrouvée au fossé, énumère le lieutenant Bertrand.La citerne que nous leur avons déposée était assez vieille: le pont arrière est cassé et elle a été déclassée. La camionnette de 5 ans et 15 000 km a vu son moteur casser: l’expertise a conclu que l’on avait roulé sans huile. Quand à la motopompe, après 12hde fonctionnement, la pompe à essence a cassé parce que l’on n’y avait pas remis de liquide de refroidissement… Alors oui, en effet, il ne reste qu’une autopompe. Mais ce n’est pas faute d’avoir essayé d’équiper le poste davantage. Et remplacer un matériel aussi coûteux ne se fait pas si facilement, surtout pour si peu d’interventions…»
2. Les hommes«Il n’y a plus que six pompiers? Plusieurs phénomènes jouent. D’abord, la motivation des troupes. Sur cinq nouveaux, deux seulement sont arrivés au bout du cursus. Je pense qu’ils n’ont pas été assez poussés et motivés. Quant à ceux qui sont là, leur motivation est au ras de pâquerettes. Ils vivent encore comme vivait jadis un poste avancé. Or, l’exercice mensuel ne se limite pas à un tour en camion. Et tous doivent participer. La plupart du temps, Clermont ne sait pas organiser ses gardes mais aucune solution n’est proposée pour améliorer la situation ou sauver le poste. Parmi les pompiers, certains n’avaient pas le permis B. Plusieurs ne savent pas utiliser les appareils respiratoires et rechignent à se former: que voulez-vous faire avec des gens qui ne savent pas conduire ni secourir les gens? Leur vie à eux-mêmes peut être mise en danger.»
On le sent, il y a nettement un manque de communication entre les deux services, voire même un jeu de bras de fer parmi la hiérarchie. «On crie au loup mais que la population se rassure: elle est mieux protégée qu’avant, depuis l’instauration de l’aide adéquate la plus rapide. Suivant le lieu d’une intervention, Beaumont, Florennes ou Philippeville peuvent intervenir au plus vite», tempère Yves Bertrand. Mais sur la survie du poste avancé, point de garantie.
Des gardes ambulances à Clermont ?
- Yves Bertrand n’abandonne pas Clermont. Son idée? Une garde ambulance sous toit. Mais il manque du personnel.
Un petit coup d’œil sur le tableau des disponibilités des pompiers clermontois est assez révélateur. Sur cette semaine, seules les gardes de deux nuits sont assurées par le poste avancé, avec seulement quatre hommes au lieu de six légalement. Le reste? C’est Florennes qui assumera: Clermont n’a pas quatre pompiers disponibles.
D’après Yves Bertrand, cette situation est courante. «Finalement, quand on fait le compte, on n’arrive pas à dix sorties de Clermont sur l’année. Et des nids de guêpes, on peut assumer cela sans problème depuis Florennes. In fine, on en vient à se dire que Clermont coûte de l’argent: maintenir l’infrastructure pour huit interventions, cela coûte évidemment cher.»
La règle de l’aide adéquate urgente dessert Clermont, qui ne peut rivaliser avec Beaumont et Thuin, tous deux à moins de 10 km, qui comptent des équipes dix fois plus fournies. «Clermont est un reliquat de l’époque où l’on fonctionnait strictement par zones. Maintenant que l’on envoie les pompiers qui sont les plus proches en temps d’intervention, le poste avancé n’est presque plus sollicité…»
Le lieutenant n’abandonne cependant par les Clermontois. Il planche en ce moment sur l’instauration d’une garde ambulance dans le petit arsenal walcourien, qui devrait alors être aménagé en ce sens.«Actuellement, il n’y a pas d’ambulance à Clermont. Cela veut dire que cette zone est couverte par Beaumont, Philippeville ou Cerfontaine suivant les endroits. Puis nous, à Florennes, nous intervenons alors en soutien de Philippeville s’ils sont déjà partis à Walcourt. L’idée est donc de créer un départ de Clermont, ce qui soulagera aussi les services voisins…»
Une fois de plus, ce service pourra être créé qu’à la seule condition que le personnel clermontois accepte aussi de se former davantage. Et que l’infrastructure puisse être aménagée. Cela sauvera-t-il Clermont? Rien n’est encore sûr. «Nous avançons progressivement dans la réforme et nul ne sait exactement si sa caserne sera toujours là dans quelques années. Clermont survivra-t-il à cela? Devra-t-on déplacer le poste avancé dans un autre village de Walcourt pour répondre à de nouvelles exigences émises par les autorités? Nous ne pouvons pas répondre à la question…»
Ce qui est certain, par contre, c’est que huit sorties sur une année, ça ne justifiera pas le maintien d’un service à l’avenir. Les gardes ambulances, c’est sûr, pourraient gonfler les statistiques et accroître la rentabilité du poste avancé, puisque les missions des secouristes sont facturées…
- Yves Bertrand n’abandonne pas Clermont. Son idée? Une garde ambulance sous toit. Mais il manque du personnel.
Un petit coup d’œil sur le tableau des disponibilités des pompiers clermontois est assez révélateur. Sur cette semaine, seules les gardes de deux nuits sont assurées par le poste avancé, avec seulement quatre hommes au lieu de six légalement. Le reste? C’est Florennes qui assumera: Clermont n’a pas quatre pompiers disponibles.
D’après Yves Bertrand, cette situation est courante. «Finalement, quand on fait le compte, on n’arrive pas à dix sorties de Clermont sur l’année. Et des nids de guêpes, on peut assumer cela sans problème depuis Florennes. In fine, on en vient à se dire que Clermont coûte de l’argent: maintenir l’infrastructure pour huit interventions, cela coûte évidemment cher.»
La règle de l’aide adéquate urgente dessert Clermont, qui ne peut rivaliser avec Beaumont et Thuin, tous deux à moins de 10 km, qui comptent des équipes dix fois plus fournies. «Clermont est un reliquat de l’époque où l’on fonctionnait strictement par zones. Maintenant que l’on envoie les pompiers qui sont les plus proches en temps d’intervention, le poste avancé n’est presque plus sollicité…»
Le lieutenant n’abandonne cependant par les Clermontois. Il planche en ce moment sur l’instauration d’une garde ambulance dans le petit arsenal walcourien, qui devrait alors être aménagé en ce sens.«Actuellement, il n’y a pas d’ambulance à Clermont. Cela veut dire que cette zone est couverte par Beaumont, Philippeville ou Cerfontaine suivant les endroits. Puis nous, à Florennes, nous intervenons alors en soutien de Philippeville s’ils sont déjà partis à Walcourt. L’idée est donc de créer un départ de Clermont, ce qui soulagera aussi les services voisins…»
Une fois de plus, ce service pourra être créé qu’à la seule condition que le personnel clermontois accepte aussi de se former davantage. Et que l’infrastructure puisse être aménagée. Cela sauvera-t-il Clermont? Rien n’est encore sûr. «Nous avançons progressivement dans la réforme et nul ne sait exactement si sa caserne sera toujours là dans quelques années. Clermont survivra-t-il à cela? Devra-t-on déplacer le poste avancé dans un autre village de Walcourt pour répondre à de nouvelles exigences émises par les autorités? Nous ne pouvons pas répondre à la question…»
Ce qui est certain, par contre, c’est que huit sorties sur une année, ça ne justifiera pas le maintien d’un service à l’avenir. Les gardes ambulances, c’est sûr, pourraient gonfler les statistiques et accroître la rentabilité du poste avancé, puisque les missions des secouristes sont facturées…
D’après Yves Bertrand, cette situation est courante. «Finalement, quand on fait le compte, on n’arrive pas à dix sorties de Clermont sur l’année. Et des nids de guêpes, on peut assumer cela sans problème depuis Florennes. In fine, on en vient à se dire que Clermont coûte de l’argent: maintenir l’infrastructure pour huit interventions, cela coûte évidemment cher.»
La règle de l’aide adéquate urgente dessert Clermont, qui ne peut rivaliser avec Beaumont et Thuin, tous deux à moins de 10 km, qui comptent des équipes dix fois plus fournies. «Clermont est un reliquat de l’époque où l’on fonctionnait strictement par zones. Maintenant que l’on envoie les pompiers qui sont les plus proches en temps d’intervention, le poste avancé n’est presque plus sollicité…»
Le lieutenant n’abandonne cependant par les Clermontois. Il planche en ce moment sur l’instauration d’une garde ambulance dans le petit arsenal walcourien, qui devrait alors être aménagé en ce sens.«Actuellement, il n’y a pas d’ambulance à Clermont. Cela veut dire que cette zone est couverte par Beaumont, Philippeville ou Cerfontaine suivant les endroits. Puis nous, à Florennes, nous intervenons alors en soutien de Philippeville s’ils sont déjà partis à Walcourt. L’idée est donc de créer un départ de Clermont, ce qui soulagera aussi les services voisins…»
Une fois de plus, ce service pourra être créé qu’à la seule condition que le personnel clermontois accepte aussi de se former davantage. Et que l’infrastructure puisse être aménagée. Cela sauvera-t-il Clermont? Rien n’est encore sûr. «Nous avançons progressivement dans la réforme et nul ne sait exactement si sa caserne sera toujours là dans quelques années. Clermont survivra-t-il à cela? Devra-t-on déplacer le poste avancé dans un autre village de Walcourt pour répondre à de nouvelles exigences émises par les autorités? Nous ne pouvons pas répondre à la question…»
Ce qui est certain, par contre, c’est que huit sorties sur une année, ça ne justifiera pas le maintien d’un service à l’avenir. Les gardes ambulances, c’est sûr, pourraient gonfler les statistiques et accroître la rentabilité du poste avancé, puisque les missions des secouristes sont facturées…
Avec des pompiers ambulanciers ?
- Jean-Marc Jacquiez, chef de l’équipe clermontoise, se défend d’avoir voulu attaquer qui que ce soit dans son discours de la Sainte-Barbe: «J’ai juste dressé un constat sur le fonctionnement du service, face à toute la population.»
Il reconnaît une certaine démotivation chez ses hommes: «On a perdu du charroi et, dans certains cas, on a eu l’impression qu’il était vite déclassé. Cela démotive l’équipe de n’avoir plus qu’un vieux camion. N’étant pas nombreux, tous volontaires, il suffit de l’une ou l’autre absence pour nous empêcher d’intervenir. Nous ne sortons donc presque plus, ce qui démotive encore plus.»
Cette spirale sera-t-elle interrompue par l’instauration d’une garde ambulance à Clermont? «C’est possible. L’idée n’est pas mauvaise. Mais il faut alors nous envoyer des pompiers ambulanciers qui puissent renforcer aussi les départs au feu quand cela est nécessaire. Ils gonfleront nos équipes pour nous permettre de sortir plus souvent.»
Le dialogue semble difficile, entre les deux casernes. Une réunion sera organisée prochainement, avec les autorités communales, pour évoquer les solutions à apporter à la problématique.
Mais Clermont sera-t-il sauvé par les communes? Non. C’est la nouvelle zone de secours DinaPhi qui décidera de l’avenir du petit poste avancé où l’on est bien conscient d’une situation géographique qui ne correspond plus du tout à l’organisation actuelle des services de secours, trop près de Beaumont, Thuin et Cerfontaine.
Il reconnaît une certaine démotivation chez ses hommes: «On a perdu du charroi et, dans certains cas, on a eu l’impression qu’il était vite déclassé. Cela démotive l’équipe de n’avoir plus qu’un vieux camion. N’étant pas nombreux, tous volontaires, il suffit de l’une ou l’autre absence pour nous empêcher d’intervenir. Nous ne sortons donc presque plus, ce qui démotive encore plus.»
Cette spirale sera-t-elle interrompue par l’instauration d’une garde ambulance à Clermont? «C’est possible. L’idée n’est pas mauvaise. Mais il faut alors nous envoyer des pompiers ambulanciers qui puissent renforcer aussi les départs au feu quand cela est nécessaire. Ils gonfleront nos équipes pour nous permettre de sortir plus souvent.»
Le dialogue semble difficile, entre les deux casernes. Une réunion sera organisée prochainement, avec les autorités communales, pour évoquer les solutions à apporter à la problématique.
Mais Clermont sera-t-il sauvé par les communes? Non. C’est la nouvelle zone de secours DinaPhi qui décidera de l’avenir du petit poste avancé où l’on est bien conscient d’une situation géographique qui ne correspond plus du tout à l’organisation actuelle des services de secours, trop près de Beaumont, Thuin et Cerfontaine.
Cette spirale sera-t-elle interrompue par l’instauration d’une garde ambulance à Clermont? «C’est possible. L’idée n’est pas mauvaise. Mais il faut alors nous envoyer des pompiers ambulanciers qui puissent renforcer aussi les départs au feu quand cela est nécessaire. Ils gonfleront nos équipes pour nous permettre de sortir plus souvent.»
Le dialogue semble difficile, entre les deux casernes. Une réunion sera organisée prochainement, avec les autorités communales, pour évoquer les solutions à apporter à la problématique.
Mais Clermont sera-t-il sauvé par les communes? Non. C’est la nouvelle zone de secours DinaPhi qui décidera de l’avenir du petit poste avancé où l’on est bien conscient d’une situation géographique qui ne correspond plus du tout à l’organisation actuelle des services de secours, trop près de Beaumont, Thuin et Cerfontaine.
À Clermont, les pompiers supplient Barbe de les sauver
CLERMONT - La semaine dernière était celle de tous les patrons. Les saints patrons. Les enfants voyaient Nicolas mais les parents, eux, fêtaient Barbe, Cécile ou Éloi.
Les têtes blondes tremblaient encore à l’idée de croiser saint Nicolas que les grands, eux, fêtaient déjà leur saint patron à eux. Barbe et Éloi ont eu les faveurs de nombreux fermiers et ouvriers pendant que quelques mélomanes retardataires festoyaient encore Cécile.
Le corps des sapeurs pompiers de Clermont, lui, a fêté sa sainte Barbe samedi dernier. Mais ce fut l’occasion d’évoquer les menaces qui pèsent sur ce petit poste avancé.
Les sapeurs ont d’abord assisté à l’office religieux et, à l’issue de la messe, ils ont eu la surprise d’entendre quelques notes jouées à l’orgue «avec les pompons, avec les pompiers».
En la salle communale, ils ont assisté au repas de corps en présence de Madame Poulin, bourgmestre de Walcourt, du député permanent Bultot, de l’échevin Bedoret, des anciens membres, des anciens responsables et des amis et sympathisants.
Avant de se mettre à table, Jean-Marc Jacquiez, responsable du poste, a pris la parole.
Pour lui, cette année ne fut pas la meilleure. Le service incendie a en effet déploré le déclassement du camion-citerne et de la camionnette; il reste juste une vieille autopompe de 1982!
Quel avenir pour le poste avancé de Clermont ?
Point de vue personnel, ce n’est pas beaucoup mieux: défection des sapeurs Alain Bultot, Yann Louis et reconduction du contrat d’engagement de Denys Dumoulin; Darot et Scohy suivent les cours de sergent; François-Xavier Bricteux et Fabian Lechevin ont réussi à l’école du feu.
Le chef de service clôturait par un constat pour le moins alarmant: « Nous restons seulement à six hommes pour faire fonctionner le poste, sans compter les nouvelles directives dues à la réorganisation des services d’incendie qui sont de plus en plus exigeantes et qui n’aideront pas à la survie de notre petit service d’incendie; espérons quand même».
Dans ces perspectives peu réjouissantes, les sapeurs se sont mis à table et ont dégusté de très bonnes cochonnailles, dans une bonne ambiance malgré tout: cela reste la Sainte-Barbe!
CLERMONT - La semaine dernière était celle de tous les patrons. Les saints patrons. Les enfants voyaient Nicolas mais les parents, eux, fêtaient Barbe, Cécile ou Éloi.
Les têtes blondes tremblaient encore à l’idée de croiser saint Nicolas que les grands, eux, fêtaient déjà leur saint patron à eux. Barbe et Éloi ont eu les faveurs de nombreux fermiers et ouvriers pendant que quelques mélomanes retardataires festoyaient encore Cécile.
Le corps des sapeurs pompiers de Clermont, lui, a fêté sa sainte Barbe samedi dernier. Mais ce fut l’occasion d’évoquer les menaces qui pèsent sur ce petit poste avancé.
Les sapeurs ont d’abord assisté à l’office religieux et, à l’issue de la messe, ils ont eu la surprise d’entendre quelques notes jouées à l’orgue «avec les pompons, avec les pompiers».
En la salle communale, ils ont assisté au repas de corps en présence de Madame Poulin, bourgmestre de Walcourt, du député permanent Bultot, de l’échevin Bedoret, des anciens membres, des anciens responsables et des amis et sympathisants.
Avant de se mettre à table, Jean-Marc Jacquiez, responsable du poste, a pris la parole.
Pour lui, cette année ne fut pas la meilleure. Le service incendie a en effet déploré le déclassement du camion-citerne et de la camionnette; il reste juste une vieille autopompe de 1982!
Quel avenir pour le poste avancé de Clermont ?
Point de vue personnel, ce n’est pas beaucoup mieux: défection des sapeurs Alain Bultot, Yann Louis et reconduction du contrat d’engagement de Denys Dumoulin; Darot et Scohy suivent les cours de sergent; François-Xavier Bricteux et Fabian Lechevin ont réussi à l’école du feu.
Le chef de service clôturait par un constat pour le moins alarmant: « Nous restons seulement à six hommes pour faire fonctionner le poste, sans compter les nouvelles directives dues à la réorganisation des services d’incendie qui sont de plus en plus exigeantes et qui n’aideront pas à la survie de notre petit service d’incendie; espérons quand même».
Dans ces perspectives peu réjouissantes, les sapeurs se sont mis à table et ont dégusté de très bonnes cochonnailles, dans une bonne ambiance malgré tout: cela reste la Sainte-Barbe!
Le corps des sapeurs pompiers de Clermont, lui, a fêté sa sainte Barbe samedi dernier. Mais ce fut l’occasion d’évoquer les menaces qui pèsent sur ce petit poste avancé.
Les sapeurs ont d’abord assisté à l’office religieux et, à l’issue de la messe, ils ont eu la surprise d’entendre quelques notes jouées à l’orgue «avec les pompons, avec les pompiers».
En la salle communale, ils ont assisté au repas de corps en présence de Madame Poulin, bourgmestre de Walcourt, du député permanent Bultot, de l’échevin Bedoret, des anciens membres, des anciens responsables et des amis et sympathisants.
Avant de se mettre à table, Jean-Marc Jacquiez, responsable du poste, a pris la parole.
Pour lui, cette année ne fut pas la meilleure. Le service incendie a en effet déploré le déclassement du camion-citerne et de la camionnette; il reste juste une vieille autopompe de 1982!
Quel avenir pour le poste avancé de Clermont ?
Point de vue personnel, ce n’est pas beaucoup mieux: défection des sapeurs Alain Bultot, Yann Louis et reconduction du contrat d’engagement de Denys Dumoulin; Darot et Scohy suivent les cours de sergent; François-Xavier Bricteux et Fabian Lechevin ont réussi à l’école du feu.
Le chef de service clôturait par un constat pour le moins alarmant: « Nous restons seulement à six hommes pour faire fonctionner le poste, sans compter les nouvelles directives dues à la réorganisation des services d’incendie qui sont de plus en plus exigeantes et qui n’aideront pas à la survie de notre petit service d’incendie; espérons quand même».
Dans ces perspectives peu réjouissantes, les sapeurs se sont mis à table et ont dégusté de très bonnes cochonnailles, dans une bonne ambiance malgré tout: cela reste la Sainte-Barbe!
Les écoles communales de l’entité de Walcourt se portent bien
Enseignement maternel
Berzée : 26; Chastrès : 24; Clermont : 32; Fraire : 32; Gourdinne : 31; Laneffe : 36; Tarcienne : 30; Thy-le-Château : 74; Somzée : 72.
Enseignement primaire
Berzée : 46; Chastrès : 52; Clermont : 52; Fraire : 51; Laneffe : 56; Tarcienne : 59; Thy-le-Château : 142; Somzée : 112.
Total par implantation
Berzée : 72; Chastrès : 56; Clermont : 84; Fraire : 83; Gourdinne : 31; Laneffe : 92; Tarcienne : 89; Thy-le-Château : 216; Somzée : 184.
Ch. C.
Le marché de Clermont revit, Walcourt est à la peine
Les habitants de Clermont ne peuvent que s’en réjouir : depuis le 23 octobre, chaque mercredi, le marché a effectué son grand retour sur la place du Puits. De 8hà 13 h, les marchands (fruits-légumes; charcuterie-fromage; textiles, rôtissoire) occupent les lieux avec leurs marchandises.
Voici trois ans, un rendez-vous commercial hebdomadaire existait déjà dans ce village. Mais il avait périclité petit à petit avant de disparaître. Il y a peu, un des commerçants a toutefois émis l’idée de relancer le modeste marché de Clermont. Une demande qui a été acceptée sans difficulté par le collège communal de Walcourt.
Mais cette renaissance est l’arbre qui cache la forêt. De fait, les deux autres marchés de l’entité (à Walcourt le mardi matin sur la Grand-Place et à Thy-le-Château le vendredi matin sur la place de la Poste) ne se portent pas bien. C’est d’ailleurs le cas en de nombreux endroits.
Ce mardi, à Walcourt, il n’y avait que cinq détaillants sur la Grand-Place (pour une dizaine pendant la belle saison). «Le gros problème de Walcourt est que les travaux de la basilique perturbent fortement le marché, insiste Patricia Degraux, de l’Agence de Développement Local. En raison de ces aménagements, une rue entière qui accueillait des ambulants n’est plus accessible. Et l’espace restant est fortement en pente et peu adapté pour installer des échoppes. Et le problème ne risque pas d’être résolu rapidement puisque les travaux de la basilique, entamés depuis six mois, sont prévus pour durer deux années. »
À Thy-le-Château, le marché hebdomadaire vivote également avec, en moyenne, deux ou trois marchands chaque semaine. Mais il ne semble pas en danger.
Les cyclos dans les Vosges
Ils étaient 103 (66 membres et 37 accompagnants) à participer à ce séjour marqué par la convivialité, l’amitié et le sport, le plaisir de l’effort, la passion du vélo, l’amour de la nature, le partage des bons moments et le plein d’énergie.
Le samedi, trois parcours étaient proposés avec des kilométrages variant de 70 à 150 km et proposant jusqu’à 3 200 m de dénivelé, avec le Vieil Armand, le Grand Ballon, la route des Crètes, etc. Tous ces cols ont vu des maillots verts du CTT Clermont et ont compté les gouttes de sueur laissés par les cyclos de Clermont.
Le dimanche, les sportifs ont participé à un contre-la-montre sur les pentes du Markstein, sur une distance de 14 km. Avant bien sûr de prendre l’apéro.
Cerise sur le gâteau, la météo était radieuse et l’hôtel parfait.
L’an prochain? La Normandie, le Calvados? Qui sait?
Signalons qu’une vingtaine de cyclos avaient fait l’aller en vélo, en trois ou quatre jours, soit un périple de 517km avec 6 000 m de dénivelé.
Mais la saison n’est pas terminée pour autant. Il reste les sorties dominicales, le Gentlemen, le Vintage et le traditionnel souper du 2 novembre.
Ch. C.
Clermont : les absents ont eu tort
- Les absents ont eu tort diront tous les participants en rentrant de la marche ADEPS mise sur pied par la Comune libe de Clérmont Su’l’Gau.
Avec des parcours non encore découverts, passant par les lieux-dits Planty, Pachy, le Tronquois, les bois et le lac, ils ont arpenté prairies, sous-bois, sentiers, chemins de campagne et même longé des mares et des étangs.
Ainsi donc, ils étaient quelque 250 participants (72 pour le 5 km; 121 pour les 10; 30 pour le 15 et 29 pour les 20km) à rallier, tôt le matin, la salle communale, malgré un ciel parfois menaçant.
Ch. C.
La Comune Libe de Clérmont su’l Gau
L’association ne se considère pas comme une confrérie mais veut, par ce geste, défendre les traditions clermontoises. Elle a à sa tête Marcel Gohy, mayeur, Jean-Marc Jacquier, cantonnier, Jean-Pierre Bricteux, champèt' et Albert Scohy, secrétaire perpétuel.
Il faut dire que cette Comune Libe, depuis sa création, en 2006, n’a cessé de faire parler d’elle. Elle s’est déplacée à de nombreuses reprises à Liège, Thuin, Strée, Lessines… On se souviendra en plus de ses pralines à l’Orval (autorisées par les moines d’Orval), des concours à boules carrées (une première dans la région), des jeux inter Gau, du sponsoring des joggeurs de Clermont, de deux élections en plein air devant plus de 550 personnes, de la marche Adeps (héritière de Mont clair), de la présence à tous les événements locaux, des vœux de bonne année avec une page illustrée et en wallon, etc.
Pour la fin de l’année, le collège communal nous promet d’autres actions. Lesquelles? On verra!
Ch. C.
Les huit heures des cyclos
En voici les résultats.
Groupe A (29 classés)
1. ConstantH(261 km); 2. Soenen X (261); 3. Badot J_F (261); 4. Thibaut F (261); 5. Thaels T (261); 6. Amant N (257); 7. Monkerhey (252); 8. ThibautH(248); 9. Leotard B (248); 10. Bohain B (248). Il y eut 29 classés
Groupe A: B. Corbugy F (251); 2.Minsier L (248); 3. Keuxez D (248); 4. Delaby B (244); 5. Laloyaux JL (244); 6. Lambert J (244); 7. Regnier Ph (239); 8. Minet F (235); 9. Brasseur J (204);.10. Delhoye E (200); il y eut 24 classés.
Groupe B : 1. Pieropan L (226); 2. Clippe F (222); 3. Degrave D (222); 4. Léotard N (218); 5. Decock M (213); 6. Wardenier L (204); 7. Dumoulin D (204); 8. Ruykens J (200); 9. Sans A (196); 10. Dumoulin G (196); il y eut 33 classés.
Groupe C : 1. Navez J (126); 2. Wardenier C (117.); 3. Devallée F (117); 4. Bortels F (117); 5. Delorge F (113); 6. Mathieu S (100); 7. Poelaert A (100); 8. Devallée C (100); 9. Soenen C (100); 10. Wardenier E (96).
Ch.C.
Entre parenthèses : le nombre de km parcourus
Groupe A (29 classés)
1. ConstantH(261 km); 2. Soenen X (261); 3. Badot J_F (261); 4. Thibaut F (261); 5. Thaels T (261); 6. Amant N (257); 7. Monkerhey (252); 8. ThibautH(248); 9. Leotard B (248); 10. Bohain B (248). Il y eut 29 classés
Groupe A: B. Corbugy F (251); 2.Minsier L (248); 3. Keuxez D (248); 4. Delaby B (244); 5. Laloyaux JL (244); 6. Lambert J (244); 7. Regnier Ph (239); 8. Minet F (235); 9. Brasseur J (204);.10. Delhoye E (200); il y eut 24 classés.
Groupe B : 1. Pieropan L (226); 2. Clippe F (222); 3. Degrave D (222); 4. Léotard N (218); 5. Decock M (213); 6. Wardenier L (204); 7. Dumoulin D (204); 8. Ruykens J (200); 9. Sans A (196); 10. Dumoulin G (196); il y eut 33 classés.
Groupe C : 1. Navez J (126); 2. Wardenier C (117.); 3. Devallée F (117); 4. Bortels F (117); 5. Delorge F (113); 6. Mathieu S (100); 7. Poelaert A (100); 8. Devallée C (100); 9. Soenen C (100); 10. Wardenier E (96).
Ch.C.
Entre parenthèses : le nombre de km parcourus
=======================
Bravo pour la balade
Présents à une bonne vingtaine, avec d’autres cyclos, les
cyclistes ont rallié Thuin et Estinnes et parcouru les 50 deniers Km du
parcours des professionnels avec une double escalade du mur de Thuin.
Les cyclos, aussitôt sentis concernés, se sont mobilisés avec une seule motivation: «Nous avons la chance de pouvoir pratiquer notre sport favori; pratiquons le aussi pour diffuser un message».
Présents à une bonne vingtaine, avec d’autres cyclos, ils ont rallié Thuin et Estinnes et parcouru les 50 deniers Km du parcours des professionnels avec une double escalade du mur de Thuin.
Au terme de la grimpette, ils se sont arrêtés au stand Bike for Life pour faire la promotion de cette action arborant Tee Shirt, Bracelet, Cocarde….en attendant l’arrivée des coureurs.
Bravo pour cette bonne cause et leur soutien moral aux malades qui tous les jours relèvent le défi de vaincre leur cancer.
Un beau trophée à épingler et à mettre à leur tableau de chasse.
Ch. C.
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Tout un week-end volley sous la canicule
Les examens oubliés, les valises pas encore
bouclées pour l’exode estival, ce week-end, ils ont été des centaines à
prendre la direction de Clermont pour le traditionnel rendez-vous de
tout début de vacances, deux journées consacrées au volley. Une
organisation qui en est à sa 31e édition et que l’on doit au comité de
la salle paroissiale que préside Vincent Bedoret.
Et ils sont
venus en nombre pour ce tournoi que certains prennent très au sérieux,
d’autres un peu moins. Mais qu’importe, si le folklore a son mot à dire
au sein de pas mal d’équipes, l’organisation se doit de tourner comme
une montre suisse. Il n’est en effet pas évident de gérer 147 matches
sur 10 terrains et près de 500 joueurs. Mais pour cela, le comité
organisateur peut compter sur l’habituel responsable sportif en la
personne de Philippe Manon. Une mission qu’une nouvelle fois, l’ancien
commissaire divisionnaire a mené de main de maître.
Les
participants étaient répartis en 4 catégories, les seniors, les dames,
les amateurs et les enfants. Nous passerons sur les modalités des
qualifications comme sur le palmarès, l’essentiel n’étant pas là, les
seuls vainqueurs de ce 31e tournoi étant de nouveau le sport et
l’amitié.
Amitié et… coups de soleil
Du vendredi à
17h jusqu’au samedi, bien tard dans la nuit, les rencontres se sont
suivies sans le moindre temps mort pour l’organisation. Et si les cris
de joie ou de déception jaillissaient des terrains par contre pour les
sportifs un moment au repos, c’était tout le bonheur de se retrouver sur
le terrain de foot de Clermont, théâtre des opérations.
Le
président du comité de la salle, Vincent Bedoret pouvait se montrer
satisfait de la tournure des événements faits de sport, d’amitié et de
coups de soleil…
J.L.
Tout un week-end volley sous la canicule
Et ils sont venus en nombre pour ce tournoi que certains prennent très au sérieux, d’autres un peu moins. Mais qu’importe, si le folklore a son mot à dire au sein de pas mal d’équipes, l’organisation se doit de tourner comme une montre suisse. Il n’est en effet pas évident de gérer 147 matches sur 10 terrains et près de 500 joueurs. Mais pour cela, le comité organisateur peut compter sur l’habituel responsable sportif en la personne de Philippe Manon. Une mission qu’une nouvelle fois, l’ancien commissaire divisionnaire a mené de main de maître.
Les participants étaient répartis en 4 catégories, les seniors, les dames, les amateurs et les enfants. Nous passerons sur les modalités des qualifications comme sur le palmarès, l’essentiel n’étant pas là, les seuls vainqueurs de ce 31e tournoi étant de nouveau le sport et l’amitié.
Amitié et… coups de soleil
Du vendredi à 17h jusqu’au samedi, bien tard dans la nuit, les rencontres se sont suivies sans le moindre temps mort pour l’organisation. Et si les cris de joie ou de déception jaillissaient des terrains par contre pour les sportifs un moment au repos, c’était tout le bonheur de se retrouver sur le terrain de foot de Clermont, théâtre des opérations.
Le président du comité de la salle, Vincent Bedoret pouvait se montrer satisfait de la tournure des événements faits de sport, d’amitié et de coups de soleil…
J.L.
juin 2013
Du Cap de Bonne-Espérance à Clermont
À première vue rien, si ce n’est la route
qu’on lui a fait prendre pour atterrir à Clermont. Car il est bon de
préciser que ses propriétaires ne sont pas venus en voisins, loin de là!
Dawid Botha et son épouse Patricia habitent le Cap en Afrique du Sud, ville à quelques encablures seulement du célèbre Cap de Bonne-Espérance. Avec leur «ancêtre», ils ont décidé de parcourir la France et la Belgique durant un bon mois. Débarquée à Marseille, la Peugeot a retrouvé ses propriétaires pour rejoindre Toulouse, Clermont-Ferrand, la Champagne et Anvers, siège du club Peugeot belge. Il faut savoir que Dawid Botha est président du club similaire pour l’Afrique du Sud. Alors, au détour de ces grandes villes, il y a eu Clermont, tout heureux d’accueillir ces hôtes du bout de l’Afrique.
Dawid Botha et son épouse Patricia habitent le Cap en Afrique du Sud, ville à quelques encablures seulement du célèbre Cap de Bonne-Espérance. Avec leur «ancêtre», ils ont décidé de parcourir la France et la Belgique durant un bon mois. Débarquée à Marseille, la Peugeot a retrouvé ses propriétaires pour rejoindre Toulouse, Clermont-Ferrand, la Champagne et Anvers, siège du club Peugeot belge. Il faut savoir que Dawid Botha est président du club similaire pour l’Afrique du Sud. Alors, au détour de ces grandes villes, il y a eu Clermont, tout heureux d’accueillir ces hôtes du bout de l’Afrique.
Succès pour la 10e concentration
d’ancêtres
10e édition
Ce grand rassemblement de véhicules ancêtres, on le doit à Claudy Debels, président de l’organisation. Assisté d’une belle palette de bénévoles et avec l’appui indispensable de généreux sponsors, Claudy était un homme heureux au vu du déroulement de la journée. Les voitures étaient là, les spectateurs étaient là et le bon temps également.
Dès 8 h, les premiers véhicules débouchaient du tournant de l’église ou de la route de Barbençon pour venir s’installer sur la place du village. Des Opel, des Peugeot, de Renault, des Fiat, enfin de toutes les marques connues mais aussi des noms presque oubliés comme la Morgan, la Studebaker.
Si l’âge minimal requis était fixé à 25 ans, il faut bien souligner que plus d’un exemplaire en comptaient bien davantage, la doyenne, une Citroën étant sortie des chaînes de montage en 1922. Bien entendu, pour la circonstance, chaque véhicule avait fait l’objet d’un soin tout particulier.
Circuits
Des ancêtres qui blinquent mais des ancêtres qui roulent. Deux circuits, l’un en matinée et l’autre après le dîner avaient été programmés soit en allure libre, soit à allure modérée. L’occasion de découvrir la région car certains étaient venus de loin comme ces Français ayant parcouru 250 bornes depuis le Pas de Calais à bord de leur Morgan. À noter aussi la belle délégation du Club Peugeot de Belgique venue d’Anvers.
Une réussite totale pour cet anniversaire.
J.L.
mai2013
Merci, mesdames les professeurs…
C’est par la voix de Benjamin Domange, élève
de sixième primaire, que ces enseignantes se sont vues remettre un petit
cadeau prouvant ainsi leur attachement à l’école communale.
Les autres membres du personnel (garderie, nettoyage, réfectoire, etc.) ont reçu également un souvenir de ses élèves à l’école.
Ch.C.
Les autres membres du personnel (garderie, nettoyage, réfectoire, etc.) ont reçu également un souvenir de ses élèves à l’école.
Ch.C.
Succès fou pour « Vélo pour tous » à
Clermont
La randonnée de l’après-midi avait regroupé près de 150 participants de tous âges. Innovation : chaque participant recevait un ballon, offert par Eco-Chaleur pour un lâcher en fin de parcours.
Ch. C.
Team building à la base de florennes
Huit ateliers à thème étaient proposés : piste d’obstacle, la rivière polluée, la mission spéciale, le camp romain, le parcours de survie, space hockey, multi-ball et le fil rouge où les enfants ont pu tracter une jeep à la simple force de leur bras.
Ch.C.
Libération des camps
- À l’occasion de l’anniversaire de la libération des camps de
prisonniers, les groupements patriotiques locaux ont assisté à une messe
à la mémoire des disparus.
On notait la présence d’une délégation des
autorités communales, des enfants des écoles, du corps de pompiers, de
la commune libe de Clermont su’l’Gau et des drapeaux patriotiques. C’est
André Gohy, président du Groupement, qui a rappelé le but de la
cérémonie. Après l’office, un hommage a été rendu au monument et à la
plaque commémorative pendant que la Brabançonne et la sonnerie Aux
champs étaient interprétées. Des fleurs ont aussi été déposées.Ch.C.
Un tournoi de boules carrées à Clermont
En fait, c'est un jeu de pétanque avec... des boules carrées. Il se pratique avec des cubes en bois.
La Comune Libe dè Clérmont su l'Gau a profité de l'aubaine pour installer ce jeu dans le village. On en est déjà à la cinquième édition et cela a l'air de plaire puisque, ce samedi, 26 équipes se sont confrontées, sur la place du Puits et les alentours... et ce n'est qu'un début.
Le classement: 1. R.Vanderhaegen-G.Senko; 2. P.Charloteaux-A.Clippe; 3. V.Gohy-C.Scohy; 4. P. et A.Clippe; 5. C.Clippe-Xavier Coppée; 6. Mimi et Ninch; 7. Medhi Debeukekaer-Jibi Briclet; 8. Jérémy Charloteaux-Samuel Spinosa; 9. Olivier François-Pierre Coppée;10. Gérard Charlet-Matt Renard; 11. Tom's et One Txo; 12. Roland Fondu-Annie Steeno; 13. P'Tilou-Fliri Denvoy ; 14. Anne Goly-Choé Ferré; 15. Lucas Meunier-Arthur Senko ; 16. J.P.Bricteux-J.M.Jacquiez ; 17. J.Paillard-J.Jacquiez ; 18. M.Devergnies-N.Verenne ; 19. C.Ferré-M.Debeukelaere ; 20. A.Labilloy-P.m Meunier ; 21. J.Postol-A.Lust ; 22. G.Dumoulin-M.Stricelle ; 23. B.et Z Devos ; 24. V.Scohy-J.J.Boeckx ; 25. D.Dumoulin-C.Dupuis; 26. O.Navaux-C.Timmerman.
À l’issue de la compétition, les prix à tous les participants furent remis par le bourgmestre de la Comun Libe, Marcel Gohy, assisté de ses deux compères.
Notons pour info que le championnat du monde de la spécialité se déroulera dans les Alpes Maritimes (fr) durant la seconde quinzaine de juillet, et pour ceux que cela intéresse, le championnat de Belgique aura lieu dans le petit village de Suxy le 7 juillet prochain.
¦ Ch.C.
Ecole communale de Clermont
Le 17 avril 2013, la Flèche wallonne empruntait les rues de l'entité de Walcourt.
Les élèves des classes de maternelles et primaires avaient confectionné des banderoles et des drapeaux en vue du passage des cyclistes.
Bravo aux petits supporters et à leurs institutrices!
En balade pour Télévie
Tout au long de la journée, les pétarades se sont fait entendre, le matin, sur l’entité de Walcourt, les barrages de l’Eau d’Heure et Froidchapelle.
Puis, l’après-midi, grâce à l’équipe de Jean-François Dorignaux, deux points-spectacle étaient organisés : un à la Graveline, l’autre au Lorroir.
À midi, une pause avait lieu en la salle Cantignaux, pour laisser refroidir les moteurs mais aussi pour le repas et la dégustation du gâteau.
Forts de cette belle journée, tous se sont donné rendez-vous pour la prochaine édition, en 2 014!
Une belle récompense, que cette affluence, pour les organisateurs (service intendance, secrétariat, bénévoles, gâteau et cuisine, etc.) qui poursuivent ainsi l’œuvre entreprise par feu Paulette Cantignaux voici plus de dix ans. Après le VTT et cette journée motos, une coquette somme peut ainsi à nouveau être remise à l’opération Télévie. Depuis sa création, ce comité a offert 122 550 € à l’opération.
Ch. C.
Clermont : il est 9 heures, en selle !
Les sportifs sont prêts à avaler des bornes, prêts à mouliner, prêts à gicler, certains à coincer, d’autres à sucer les roues. Mais tour à tour, ils dévoilent leurs ambitions : l’étape du Tour, la Marmotte, l’Ardéchoise, le Ventoux…
L’an dernier, ils étaient 130. Cette année, ils seront encore là, avec en plus, un nouveau groupe (quatre cette année) avec des programmes bien différents : la Thudinie, le col de Landelies, le M de Bomerée, les Lacs de l’Eau d’Heure, la vallée de la Molignée, la vallée de la Meuse, la vallée de la Thure, la citadelle de Namur, la randonnée des trois lacs, le triple mur à Lustin… bref à chacun à son rythme.
Leurs échappées dominicales les emmèneront, guidés par leurs capitaines, à la découverte de la beauté, du charme et des saveurs de la région.
Les cols vosgiens seront leur objectif lors de la grande sortie annuelle. Mais bien d’autres rendez-vous seront au programme.
Cette première sortie, après les quelques mots du président rappelant la philosophie du club, s’est donc déroulée sans le moindre «pépin». À leur retour, comme le veut la tradition, les cyclos ont savouré la traditionnelle soupe à l’oignon offerte par Myriam et Paul-Henri. Alors, c’est sûr, dimanche, à 9 heures, devant la salle communale, on sera avec eux! Bonne saison
.
Ch.C.
Clermont : les archives de l’état-civil
Depuis peu, le centre d’archives est accessible au public tous les derniers jeudis du mois, entre 9 et 12 h. Les différents recueils et actes des localités de Walcourt, Berzée, Fontenelle, Thy-le-Château et Clermont y sont entreposés.
La liste complète des volumes et documents à consulter est d’ailleurs détaillée sur le site à l’hôtel de ville de Walcourt www.walcourt.be
D’autre part, les registres d’actes d’état-civil datant de moins de 100 ans peuvent être consultés directement en l’hôtel de ville de Walcourt tandis que les actes d’état-civil de la ville de la fin du 18e siècle jusqu’en 1913 ont été scannés et répertoriés dans une base de données informatisées reprenant l’intitulé de l’acte, les noms et prénoms ainsi que la date.
Si vous le souhaitez, vous pouvez effectuer une recherche d’actes à partir de différents mots désirés.
La délivrance d’une de ces copies est fixée à 2 € et s’effectuera après versement sur le compte bancaire de l’état-civil du montant adéquat majoré des frais d’expédition.
Service communication 071/610 625.
février 2013
Temps doux mais heures parfois dures
C’est donc déjà pas mal sous l’emprise de la fatigue et… d’autres choses que tout ce beau monde s’est retrouvé aux abords de la place du Puits pour le grand rondeau final. Ne restait plus qu’à attendre le feu d’artifice, couronnement d’une journée bien dure pour plus d’un.
J.L.
Comme un poisson dans l’eau
C’est en présence des membres du Conseil
d’administration que la fédération halieutique de l’E.S.M, (Jean-Marie
Goblet de Laneffe, Francis Magotteaux de Biesme, Frédéric Hallet de
Vierves et Jacques Fraiture de Florennes) et de Myriam Hanson,
représentant le service de pêche, que Jean-Claude Marchand, président, a
tenu son assemblée générale en la salle Cantigneaux et cela devant 22
représentants de sociétés (sur 30).
En ce qui concerne 2012, on doit constater une très légère augmentation du nombre de permis de pêche pour la Région Wallonne. D’autre part, la réforme dans laquelle on avait fondé de grands espoirs, et notamment concernant les cours d’eau navigables et les plans de gestion piscicoles pour l’ensemble des cours d’eau, est toujours au point mort. En effet, le conseil d’état ayant été consulté, après le passage en première lecture devant le parlement wallon, a formulé toute une série de remarques. Quelles sont – elles? Personne ne le sait.
Et le président de poursuivre :
«En ce qui concerne les Lacs de l’Eau d’Eure (LEDH), on peut dire que le bras de fer continue avec les responsables de l’ASBL, gestionnaire des lacs. En effet, un projet mettant la pêche en avant de manière significative a été proposé par les 3 organisateurs des pêcheurs (la Fd Sportive, l’UWP et la MPW). Force est de constater que, de la part des gestionnaires des LEDH, il n’est jamais mention de quelconque façon que ce soit, de l’activité de pêche sur les lacs. On évoque les planches à voile, les jetsky, du téléski, du crocodile rouge mais au grand jamais de la pêche.
D’autre part, un projet équivalent à celui que l’on avait proposé, va être mis à l’étude par l’ASBL des lacs. Cela va prendre beaucoup de temps, entre la recherche du consultant, la mise sur papier du projet, les prises de décisions, trouver les financements, etc.»
Au niveau de la représentation des pêcheurs, le groupe de travail est en place. Il étudiera les possibilités de rapprochement entre la MPW, l’UWP et la FD Sportive.
Autres points débattus
1. Les stages de pêche se sont très bien déroulés
2. L’inscription des pêcheurs de carnassiers a été allongée au 15 octobre. Il en est de même pour les cotisations.
3. La date pour la rentrée des justificatifs liés aux subsides travaux locaux est fixée au 31 août.
4. Une dérogation pour l’élimination partielle du cormoran a été renouvelée pour cette année mais pour l’an prochain, la demande devra être introduite pour le 31 juillet.
5. Cartes de société : 100 € maximum.
6. Les subsides travaux locaux : on pourra satisfaire les sociétés à hauteur de leur demande.
7. Il y a obligation envers l’Afsca de solliciter l’agréation.
En ce qui concerne 2012, on doit constater une très légère augmentation du nombre de permis de pêche pour la Région Wallonne. D’autre part, la réforme dans laquelle on avait fondé de grands espoirs, et notamment concernant les cours d’eau navigables et les plans de gestion piscicoles pour l’ensemble des cours d’eau, est toujours au point mort. En effet, le conseil d’état ayant été consulté, après le passage en première lecture devant le parlement wallon, a formulé toute une série de remarques. Quelles sont – elles? Personne ne le sait.
Et le président de poursuivre :
«En ce qui concerne les Lacs de l’Eau d’Eure (LEDH), on peut dire que le bras de fer continue avec les responsables de l’ASBL, gestionnaire des lacs. En effet, un projet mettant la pêche en avant de manière significative a été proposé par les 3 organisateurs des pêcheurs (la Fd Sportive, l’UWP et la MPW). Force est de constater que, de la part des gestionnaires des LEDH, il n’est jamais mention de quelconque façon que ce soit, de l’activité de pêche sur les lacs. On évoque les planches à voile, les jetsky, du téléski, du crocodile rouge mais au grand jamais de la pêche.
D’autre part, un projet équivalent à celui que l’on avait proposé, va être mis à l’étude par l’ASBL des lacs. Cela va prendre beaucoup de temps, entre la recherche du consultant, la mise sur papier du projet, les prises de décisions, trouver les financements, etc.»
Au niveau de la représentation des pêcheurs, le groupe de travail est en place. Il étudiera les possibilités de rapprochement entre la MPW, l’UWP et la FD Sportive.
Autres points débattus
1. Les stages de pêche se sont très bien déroulés
2. L’inscription des pêcheurs de carnassiers a été allongée au 15 octobre. Il en est de même pour les cotisations.
3. La date pour la rentrée des justificatifs liés aux subsides travaux locaux est fixée au 31 août.
4. Une dérogation pour l’élimination partielle du cormoran a été renouvelée pour cette année mais pour l’an prochain, la demande devra être introduite pour le 31 juillet.
5. Cartes de société : 100 € maximum.
6. Les subsides travaux locaux : on pourra satisfaire les sociétés à hauteur de leur demande.
7. Il y a obligation envers l’Afsca de solliciter l’agréation.
En attendant le grand jour
En attendant le grand jour Il y a belle lurette, à Clermont, on parlait de «Grand feu». Pour des raisons de sécurité, il a été remplacé par une journée «Carnaval». Après la répétition de batterie, ce samedi, c’était la soumonce en musique. Pour suivre, il y aura le souper le 2 février en la salle Désirée à Strée. La grande journée aura lieu le 16 février avec ramassage des gilles de la société «les Tchèquetis». Dès le matin : visite du village et rondeaux, suivi de la réception à midi, au salon communal. L’après-midi, cortège dans les rues du village. À 19 h, rendez-vous à l’arsenal pour le départ du cortège du soir qui amènera les participants sur la place du Puits pour le traditionnel feu d’artifice et le rondeau final.
Ch.C.
janvier 2013
Dans l’ombre mais si important
Un travail de forçat mais il sait qu’il peut compter sur d’autres acteurs de l’ombre : Jean-Jacques Boeckx et Olivier Navaux à la régie générale, Valérie Scohy au son, Catherine Van Eylen aux maquillages et aux coiffures, André Gohy, le répétiteur et Mauricette Cuignet qui passe ses soirées dans le trou du souffleur et rassure les gais lurons qui déambulent sur les planches.
C’est tout cela les Amis du Goûter de Noël, certains éblouis par les projecteurs, certains à tirer les bonnes ficelles dans presque l’anonymat pour que tout arrive au bon moment. Ils sont là à chaque représentation oubliés du public : en un mot comme en cent, ce sont les coulisses.
Un dernier acteur de l’ombre mais qui profite bien des lumières pour que soit mis en évidence son travail. Yannick Brie, de son état peintre-décorateur à Strée, s’est surpassé lui aussi pour imaginer et créer le décor 2013. Une autre pièce importante du grand puzzle AGN clermontois.
J.L.
Huit soirées théâtrales
Ch.C.
Rés. : 071/53.32.62. 6 €; – 12 ans : 2 €.
Ch.C.
Paulette Clocherieux s’en est allée
C’est avec une grande tristesse que Clermont a appris
le décès, à l’âge de 76 ans, de Paulette. Un prénom, c’était bien
suffisant pour désigner cette figure emblématique du village de Clermont
car durant des décennies, Paulette Cantigneaux-Clocherieux s’est donné
sans compter dans le monde associatif et dans le monde politique de son
village, puis de sa commune.
Après le décès de son mari, le
regretté Pierre Cantigneaux qui a été conseiller communal lors de la
toute première législature après les fusions, Paulette Clocherieux a
pris le relais pour s’engager en politique à son tour. La politique du
Grand Walcourt, chose pas si aisée quand on représente le village gaulois
de l’entité. Mais, toute aussi déterminée à veiller aux intérêts de son
village, elle savait s’ouvrir à tous les espaces qui lui étaient
confiés par son engagement politique.
Engagement politique où elle
sera active une trentaine d’années, tantôt dans l’opposition, tantôt
dans la majorité sous l’aile protectrice de ses chefs de file et amis,
Marcel Leclercq ou Christine Poulin. Elle intégrera le collège qu’on
appelait encore alors échevinal pour devenir échevine de 1983 à
1994, avant de poursuivre en qualité de conseillère communale. Paulette
sera également impliquée dans le domaine culturel de l’entité, assumant
la présidence du conseil culturel. Un beau parcours politique local
auquel elle avait décidé de mettre un terme en ne se présentant plus
lors des élections communales d’octobre.
Mais Clermont restera
toute sa vie et toute sa carrière le centre de ses préoccupations. Que
de fois ne l’avons nous rencontrée à la salle Cantigneaux, «sa
salle», où elle mettait sur pied bien des manifestations. Toujours
motivée par le souci des autres, elle s’était aussi engagée dans les
opérations Télévie.
Pour l’ancien mayeur de Walcourt, Marcel
Leclercq comme pour Christine Poulin, actuelle bourgmestre, c’est avant
tout une amie qui s’en est allée. Et nul doute que Clermont se
souviendra encore longtemps de sa Paulette. Notre journal
présente ses sincères condoléances à sa famille, à ses proches et plus
particulièrement à son frère Charles, collaborateur de L’Avenir depuis des lustres.
- Clermont : sur les voies d’eau du Hainaut
Les
élèves de 5e et 6e années de l’école communale, sous la direction de
Mme Angélique, leur institutrice, se sont rendus sur les voies d’eau du
Hainaut pour une journée inoubliable. Au programme : une balade en
bateau incluant le franchissement de plusieurs ascenseurs hydrauliques;
l’ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu avec sa dénivellation de 73
mètres; le plan incliné de Ronquières (vue très impressionnante du
panorama à une hauteur de 150 mètres). Toute cette journée aura permis
aux enfants de découvrir le génie civil belge.
Ch.C.
Paulette Clocherieux s’en est allée
C’est avec une grande tristesse que Clermont a appris
le décès, à l’âge de 76 ans, de Paulette. Un prénom, c’était bien
suffisant pour désigner cette figure emblématique du village de Clermont
car durant des décennies, Paulette Cantigneaux-Clocherieux s’est donné
sans compter dans le monde associatif et dans le monde politique de son
village, puis de sa commune.
Après le décès de son mari, le regretté Pierre Cantigneaux qui a été conseiller communal lors de la toute première législature après les fusions, Paulette Clocherieux a pris le relais pour s’engager en politique à son tour. La politique du Grand Walcourt, chose pas si aisée quand on représente le village gaulois de l’entité. Mais, toute aussi déterminée à veiller aux intérêts de son village, elle savait s’ouvrir à tous les espaces qui lui étaient confiés par son engagement politique.
Engagement politique où elle sera active une trentaine d’années, tantôt dans l’opposition, tantôt dans la majorité sous l’aile protectrice de ses chefs de file et amis, Marcel Leclercq ou Christine Poulin. Elle intégrera le collège qu’on appelait encore alors échevinal pour devenir échevine de 1983 à 1994, avant de poursuivre en qualité de conseillère communale. Paulette sera également impliquée dans le domaine culturel de l’entité, assumant la présidence du conseil culturel. Un beau parcours politique local auquel elle avait décidé de mettre un terme en ne se présentant plus lors des élections communales d’octobre.
Mais Clermont restera toute sa vie et toute sa carrière le centre de ses préoccupations. Que de fois ne l’avons nous rencontrée à la salle Cantigneaux, «sa salle», où elle mettait sur pied bien des manifestations. Toujours motivée par le souci des autres, elle s’était aussi engagée dans les opérations Télévie.
Pour l’ancien mayeur de Walcourt, Marcel Leclercq comme pour Christine Poulin, actuelle bourgmestre, c’est avant tout une amie qui s’en est allée. Et nul doute que Clermont se souviendra encore longtemps de sa Paulette. Notre journal présente ses sincères condoléances à sa famille, à ses proches et plus particulièrement à son frère Charles, collaborateur de L’Avenir depuis des lustres.
Après le décès de son mari, le regretté Pierre Cantigneaux qui a été conseiller communal lors de la toute première législature après les fusions, Paulette Clocherieux a pris le relais pour s’engager en politique à son tour. La politique du Grand Walcourt, chose pas si aisée quand on représente le village gaulois de l’entité. Mais, toute aussi déterminée à veiller aux intérêts de son village, elle savait s’ouvrir à tous les espaces qui lui étaient confiés par son engagement politique.
Engagement politique où elle sera active une trentaine d’années, tantôt dans l’opposition, tantôt dans la majorité sous l’aile protectrice de ses chefs de file et amis, Marcel Leclercq ou Christine Poulin. Elle intégrera le collège qu’on appelait encore alors échevinal pour devenir échevine de 1983 à 1994, avant de poursuivre en qualité de conseillère communale. Paulette sera également impliquée dans le domaine culturel de l’entité, assumant la présidence du conseil culturel. Un beau parcours politique local auquel elle avait décidé de mettre un terme en ne se présentant plus lors des élections communales d’octobre.
Mais Clermont restera toute sa vie et toute sa carrière le centre de ses préoccupations. Que de fois ne l’avons nous rencontrée à la salle Cantigneaux, «sa salle», où elle mettait sur pied bien des manifestations. Toujours motivée par le souci des autres, elle s’était aussi engagée dans les opérations Télévie.
Pour l’ancien mayeur de Walcourt, Marcel Leclercq comme pour Christine Poulin, actuelle bourgmestre, c’est avant tout une amie qui s’en est allée. Et nul doute que Clermont se souviendra encore longtemps de sa Paulette. Notre journal présente ses sincères condoléances à sa famille, à ses proches et plus particulièrement à son frère Charles, collaborateur de L’Avenir depuis des lustres.
- Clermont : sur les voies d’eau du Hainaut
Les
élèves de 5e et 6e années de l’école communale, sous la direction de
Mme Angélique, leur institutrice, se sont rendus sur les voies d’eau du
Hainaut pour une journée inoubliable. Au programme : une balade en
bateau incluant le franchissement de plusieurs ascenseurs hydrauliques;
l’ascenseur funiculaire de Strépy-Thieu avec sa dénivellation de 73
mètres; le plan incliné de Ronquières (vue très impressionnante du
panorama à une hauteur de 150 mètres). Toute cette journée aura permis
aux enfants de découvrir le génie civil belge.
Ch.C.
À la découverte des sentiers de Clermont
l’opération «Ça vous botte!», en collaboration avec le
centre culturel de Walcourt, les enfants de l’école communale ont
effectué une promenade guidée dans le village. Ils étaient accompagnés
de leurs maîtresses, de Marc Préat et Abel Gouverneur, échevins et de
nombreux parents.
Ainsi
tout au long de leur balade, ils ont découvert ou redécouvert le beau
patrimoine du village, avec ses nombreuses potales et chapelles, les
ruisseaux, l’église, la pierre du diable, les fermes, les chasse-roues
et bien d’autres.
Cette balade était l’aboutissement de nombreuses heures de travail dans les classes et sur le terrain.
(septembre 2012)
Grande sortie des cyclos de Clermont
Une bonne soixantaine de cyclos et une trentaine d’accompagnants sont donc partis découvrir cette région riche en vignobles prestigieux dont les noms évocateurs font scintiller les yeux. La Côte d’Or porte bien son nom.
Tout au long de cette randonnée allant jusqu’à 165 km, ils ont rejoué la Grande Vadrouille à Meursault, dépensé leurs forces dans les Hautes Côtes avant de se lancer dans la vallée de l’Ourche. Ensuite, ils ont plongé vers Gevrey Chambertin pour descendre «les Champs Élysées de la vigne» jusqu’à Beaune en traversant des villages connus dans le monde entier : Clos Vougeot, Chambolle Musigny, Vosne Romanée, Nuit Saint-Georges, Savigny, Pommard…
Le week-end fut agrémenté d’une belle dégustation vinicole à Echevronne. À noter que 18 d’entre eux avaient choisi de rejoindre Beaune… en vélo en 3 étapes de 180 km au départ de Clermont.
La saison se clôturera le samedi 3 novembre par le grand souper en la salle Désirée à Strée.
Ch.C.
En selle pour huit heures ( août 2012)
En selle pour huit heures ( août 2012)
Les résultats (les dix premiers de chaque groupe) :
– Groupe A : 1. J.J. Badot (256 km); 2. L. Thibaut (256); 3. F. Thibaut (256); 4. O. Delvallée (256); 5. D. Poelaert (256); 6. H. Constant (256); 7. H. Amant (252); 8. N. Adam (244); 9. B. Bohain (244); 10. G. Senko (244), etc.
– Groupe B : 1. B. Bockholz (244); 2. F. Kasser (211); 4. L. Hardat (211); 5. N. Léotard (204); 6. O. Verchueren (203); 7. F. Minet (203); 8. C. Charlet (195); 9. J. Bultot (192); 10. J. Ruykens (187), etc.
– Groupe C (5 heures) 1. A. Sans (113); 2. F. Bortels (109); 3. D. Delhoye (109); 4. C. Wardenier (95); 5. F. Delvallée (91); 6. A. Mathieu (91); 7. S. Mathieu (78); 8. C. Delvallée (61); 9. A. Mikaloo (56); 10. Mikalaloo (43), etc.
Ch.C.
Petits échos d’une grande fête
Au lendemain des fêtes locales au cours desquelles a eu lieu l’élection du mayeur de la commune libre de Clérmont su’l Gau, nous voudrions jeter un coup d’œil ce qui nous semble positif.
1. Samedi soir, le groupe du Centre-Ville s’est rendu au pont du Gau, à la route de Barbençon pour «soi-disant» le faire sauter, image séparant ainsi le Pachi du centre du village.
2. La fanfare communale de Solre-sur-Sambre a honoré les organisateurs et le public d’une belle prestation.
3. Chaque groupe avait sa devise. Pour l’Agaisse : A la conquête des quartiers à l’ouest; pour le blanc Vivier : Plus belle la vie au Blanc Vivi; pour le Pachi : On ne change pas une équipe qui gagne; pour le centre-ville : Pour le changement, nous avons les arguments…
4. Le dépouillement du scrutin, pour sa part, était public; il s’agissait, comme au bon vieux temps, de compter les scores.
5. Soulignons l’enthousiasme du comité de coordination qui a mené à bien ces festivités et assisté de bénévoles dévoués.
6. À l’entrée du bureau de vote, deux MP montaient la garde!
7. Une fois élu, Marcel II a traversé la foule flanqué de ses gardes-du-corps.
8. Chaque groupe s’est présenté costume.
Blanc vivi : en Madame Soleil (bleu). Agaisse : en cow-boy (brun-gris). Centre-ville : en nouveau mayeur (blanc-mauve). Pachi : en «pachistanais (blanc-vert)
9. Les clés de Clermont et les attributs du mayeur ont été gardés, pendant la vacance de l’emploi, soit un jour, par la jeune Nora Mazy, la plus jeune «majeure» du village.
10. Le concours de pétanque du lundi a vu la victoire de Patrick Boecks associé à Guy Mascaux, devançant ainsi une soixantaine d’équipes.
¦ Ch. C.
Jogging: Julien Thonnart succède à Barbier à La Clermontoise
La Clermontoise est l’un des temps forts de la ducasse de Clermont, et ce depuis 14 ans. Si les joggeurs chevronnés y trouvent leur compte, les coureurs occasionnels y ont également leur place, tant l’organisation est de qualité. La 15e édition de La Clermontoise a été enlevée par Julien Thonnart.
Rédaction en ligne
Publié le Mercredi 8 Août 2012 à 18h30
Il est vrai qu’avec Didier Garbar aux manettes, il pourrait difficilement en être autrement. C’est que celui-ci a su insuffler son dynamisme à ses amis du comité organisateur. Ils furent 330 à s’élancer, en ce compris les enfants. La 15e édition de La Clermontoise a été enlevée par Julien Thonnart qui a couvert les 12,6 km d’un parcours campagnard et boisé en 44.18. Ses principaux concurrents étant Michaël Hardy (45.27), Christophe Lust (46.33), Benoît Gouverneur (47.11), Pierre Rivez (47.15) et Didier Henin (48.41).
“ Une victoire facile ”
Le vainqueur savourait naturellement son succès: “ Une victoire relativement facile et qui me fait d’autant plus plaisir que je succède au palmarès à Christian Nemeth et Benjamin Barbier. Je me suis détaché au train vers le 4e km. C’est une course que j’apprécie particulièrement et que j’avais déjà remportée il y a quelques années. Il faut dire que le parcours, varié à souhait, me convient bien. ” Julien Thonnart n’avait plus gagné un jogging depuis deux ans, étant plutôt abonné à la deuxième place.
Les organisateurs avaient également programmé un 5 km que Pol Blanchard a gagné devant Adrien Rullens, à une seconde, Clément Joly, Emile Vandevelde et Jean-Philippe Draux.
Si La Clermontoise est autant prisée des joggeurs, c’est aussi en raison de son ravitaillement “ Orval ” du 11e km. “ La plupart des coureurs s’y arrêtent, excepté peut-être les tout premiers ”, remarque Didier Garbar. “ Mais après avoir franchi la ligne, ils font demi-tour et viennent se désaltérer à leur tour. Ils profitent aussi de l’occasion pour commenter leur course. ”
L’an prochain, La Clermontoise fera partie du challenge Vals & Châteaux, la chose étant acquise à 99,9 %.
Marcel II, nouveau mayeur de Clermont
Le village de Clermont que l’on dit «gaulois» a devancé de deux mois les élections communales mais ici c’est pour la bonne cause et la survie du village.
Ce dimanche, on a élu le nouveau mayeur de la «comune libe dè Clérmont su’l’Gau».
L’événement était de taille.
Chaque quartier se présentait donc en «grande pompe» sur la place du Puits, afin de montrer ses aspirations pour les années à venir.
Deux isoloirs, pendant plusieurs heures, ont fonctionné à temps plein.
On en retiendra la réflexion d’un électeur : «ne nous trompons pas; c’est pour six ans». C’est dire si tout le monde prenait la chose au sérieux. Et, pendant ce temps, des arguèdennes étaient interprétées par la fanfare de Solre-sur-Sambre.
L’animation montait d’un cran et, lorsque le décompte final a débuté, tout le monde a retenu son souffle. On n’entendait plus que des «Oh» et des «Ah!» fusant de toutes parts.
Le «score» final donnait : Marcel : 377 voix; Françoise : 96; François-Xavier : 62; Geoffrey : 50; blanc et nul : 7; soit 562 votants.
À l’issue du scrutin, le nouveau mayeur devait faire une courte allocution dans laquelle il se disait prêt à collaborer avec les autres candidats dans l’intérêt de la population. La cérémonie «officielle» prenait fin par l’exécution de la Brabançonne.
C’est sous la bruine que s’est clôturée cette belle fête dont seule une méchante averse a perturbé le bon déroulement, forçant les organisateurs à terminer le vote à la salle des fêtes.
Les clefs et les désignations
Deux actes consécutifs au scrutin restaient à poser : la remise des clefs de Clermont au mayeur par la jeune Nora Mazy, 18 ans, nouvelle «majeure» du village; et désigner le champèt (Jean-Pierre Bricteux) et le cantonnier (Jean-Marc Jaquiez), avant que ne débute la grande soirée dansante, lancée par «Micro-Climat».
Longue vie donc à «la comune libe dè Clérmont su’l’Gau»!
(Photos: Bénédicte Vivier)
(.juillet 2012)
Dernier acte "officiel"
Le programme :
Vendredi 3 août, à 20 h : concert en l’église avec «The University of the Philippines Singing Ambassadors». Samedi 4 août : 15e jogging «La Clermontoise»; le soir, plein air avec Micro-Climat. Dimanche 5 août : élection du mayeur de la «Comune Libe»; le soir : plein air avec Micro-Climat.
Ch.C.
C’est la fête et… les élections
Le premier week-end d’août, le village «gaulois» de Clermont vivra des journées mémorables. Il s’agira d’élire le nouveau mayeur de la «comune libe dè Clérmont su’l’Gau». Cette élection coïncidera avec les fêtes locales dont le programme a déjà été élaboré par le comité de coordination des sociétés locales.
Vendredi 3 août, à 20 h : concert exceptionnel en l’église avec le concours «The University of the Philippines Singing Ambassadors» (plus de trente choristes et deux heures de chants et de spectacle en philippin, anglais et français).
Samedi 4 août : 15e jogging «La Clermontoise»; jeunes foulées : 500-1000-1500 m; mini-Clermontoise : 5 km; La Clermontoise : 12 km 600. Le soir, plein air avec Micro-Climat. Dimanche 5 août : élection du mayeur de la «Comune Libe ».
Le soir : plein air avec micro-Climat.
Les paris sont ouverts : six ans déjà qu’un premier mayeur a été élu. Faut-il le garder, le changer? Les différents quartiers préparent la campagne électorale. Les bookmakers ont ouvert leurs agences.
Dans chaque état-major, on se tâte : les réunions semblent… secrètes, mais vont bon train et les candidats examinent leurs projets. Qui représentera le Moulin, le Centre, le Pachis, le Blanc Vivier?
Derrière le comptoir et dans les couloirs, on parle d’un certain Marcel qui pourrait être reconduit mais aussi d’une certaine Françoise, candidate malheureuse lors de la dernière élection. Mais tout cela n’est que supposition! Attendons ce jour-là et nous verrons qui sera ceint de l’écharpe mayorale.
De toute manière, le comité organisateur a décidé que tout citoyen de plus de 12 ans pourra prendre part au vote, qu’il soit Clermontois ou non !
Ch.C.
Fête au Blanc Vivier
Pour les adultes, la palme est revenue à l’équipage «Le roi Arthur » (Geoffrey et Arthur), suivi de «Ivoy» (Quentin, Maxime et Nicolas). Ont aussi terminé la course : «Le Blanc Vivier» (Caroline et Marie) et «la jeunesse de Strée» (Nico, Benoît, Vincent et Antoine).
Pour ce qui est de la course vélo enfants, on notera dans l’ordre : 1. Corentin Boudru; 2. Jean Léotard; 3. Simon Poiret; 4. Arthur Senco.
Signalons que d’autres épreuves, pour plus jeunes et moins jeunes, se sont aussi déroulées, avant que le barbecue ne soit allumé à la grande joie des participants.
Ch.C.
Quand les pompiers reçoivent leurs jumeaux
Ensemble, ils ont découvert les nouveautés de l’arsenal et la distillerie de Biercée, le vendredi après-midi. Samedi, en début de journée, ils ont rendu visite aux collègues de Thuin, puis à la base aérienne de Florennes, avant de participer au repas officiel, à Walcourt, en compagnie des autres jumeaux.
Avant de repartir, Jean-Marc Jacquiez, commandant le poste de Clermont, a remis, aux deux groupes, un souvenir sur socle ainsi qu’un diminutif à chaque membre présent.
Ch. C.
30e édition du tournoi de volley
Ils sont nombreux les jeunes, non seulement de Clermont mais de toute la région, à pouvoir se retrouver, ce week-end, à Clermont, à l’occasion du bien connu tournoi de volley. Et comment mieux fêter les vacances qui prennent leur envol, comment mieux célébrer la fin des examens en s’inscrivant à cette compétition sportive où personne ne se prend trop au sérieux?
C’est une belle histoire que l’on doit à l’ASBL de la salle paroissiale clermontoise. L’association décidait, il y 30 ans, de mettre sur pied quelques rencontres de volley entre amis. Il ne fallait guère d’investissements et un bout de jardin allait faire le bonheur des quelques équipes du cru.
Ce que chaque participant en a alors raconté, a vite fait le tour de toute la région et, rapidement, Philippe Manon, l’homme-orchestre du tournoi et toute son équipe de bénévoles, ont dû s’adapter : déménager vers les abords du foot pour pourvoir loger un nombre croissant de terrains et accueillir de plus en plus de joueurs.
Des joueurs venus, avant tout, pour s’amuser, sans pour autant négliger la qualité du jeu. On fait du sport, on n’oublie pas de s’hydrater, on vit deux journées incomparables entre amis. C’est tout cela le tournoi de volley de Clermont où les spectateurs sont aussi les bienvenus.
Vendredi 6 juillet
Dès 17 h : début des éliminatoires. Et en soirée, le concert des «Mouêt Mazout», suivi d’une boum animée par «Event Music». Point non négligeable : l’entrée est libre.
Samedi 7 juillet
À partir de 10 h : reprise du tournoi.
21 h : finale aux abords de la salle paroissiale et remise des trophées. Une fois la nuit tombée, nouvelle boum toujours avec «Event Music» et toujours l’entrée gratuite.
J.L.
Quatrième tournoi de boules carrées
Les résultats
Jeunes : 1. Coraline-Sean Van Bellegem; 2. Nicolas Mascaux-Lucas Meunier; 3. Benjamin Crowin-Thomas Mascaux; 4. Arthur-Ylénia Senko.
Adultes : 1. David Cassel – Denis Dumoulin; 2. Vincent Gohy – Cédrix Scohy; 3. Nancy De Vos – Mary-Anne Gohy; 4. Geoffrey – Nathan Senko; 5. Olivier Navaux – Valérie Scohy; 6. Roland Fondu – Annie Steeno; 7. Jean-Marc Chantry – Thierry Mormal; 8. Mérédith Boudru – Laure Kumps; 9. Simon Bultot – Jérôme Levecq; 10. Emmanuel Goffaux – Catherine Marcandella; 11. Yves Ferré – Marie Elichiri; 12. Alain Clippe – Pascal Charloteaux; 13. Quentin Boudru – Nicolas Lentini; 14. Jason – Christian Lambotte; 15. Daniel Wojtalik – Antoine Lust; 16. Julien Jacquiez – Nicolas Malengraux; 17. Benjamin Crowin – Thomas Mascaux; 18. Jonathan Lambotte – Michel Loïc; 19. Samuel Spinosa – Jérémy Charloteaux; 20. Gérard Charlet – Danielle Nalinnes; 21. Jérôme Jacquiez – Aurélie Brogniet; 22. Marie Elise Lurquin.
Ch.C.
Les ancêtres ont toujours fière allure
Dès le début de la matinée, Clermont et plus spécialement sa place du puits était envahi par bon nombre de véhicules automobiles d’un autre âge. Au total, plus d’une centaine de voitures et autres utilitaires de plus de 25 années pour pouvoir rentrer dans la catégorie des ancêtres. Une nouvelle édition du rassemblement annuel de ces vieilles voitures que l’on doit au comité des ancêtres épaulé par le comité des gilles clermontois.
Profitant d’une météo enfin un peu plus clémente, ils étaient venus de Mons comme de La Louvière, de Sivry comme de Chimay ou encore de Villers-la-Ville comme de Quiévrain avec leur Peugeot, leur Morris, leur Citroën et autres Opel ou Mercedes que les moins de 20 ans n’ont pas connues.
Quelques beaux spécimens attiraient tous les regards : très remarqués, une Citroën B2 Torpédo de 1922 d’Eddy Gillard de Thuin ou encore le camion Chevrolet de 1929 appartenant à Edmond Jourdain de Sivry, un des membres du CVASR, le club des véhicules ancêtres de Sivry, le club le plus représenté lors de ce rendez-vous clermontois.
Et s’ils étaient tous là, c’est avant tout pour rouler. Le matin comme l’après-midi, les organisateurs avaient concocté deux belles boucles, soit en défilé entouré des motards ou en parcours libre tantôt au sud, tantôt au nord de Clermont.
Des prix ont été remis à quelques participants : la coupe du véhicule le plus original, une Renault R4 Touring Secours de 1985 à Émile Willain d’Attre, la coupe véhicule le plus âgé, la Citroën B2 Torpédo de 1922 à Eddy Gillard de Thuin ou encore la coupe du club le mieux représenté, le CVASR chevrotin.
Un succès qui, on l’espère, sera renouvelé en 2013.
Profitant d’une météo enfin un peu plus clémente, ils étaient venus de Mons comme de La Louvière, de Sivry comme de Chimay ou encore de Villers-la-Ville comme de Quiévrain avec leur Peugeot, leur Morris, leur Citroën et autres Opel ou Mercedes que les moins de 20 ans n’ont pas connues.
Quelques beaux spécimens attiraient tous les regards : très remarqués, une Citroën B2 Torpédo de 1922 d’Eddy Gillard de Thuin ou encore le camion Chevrolet de 1929 appartenant à Edmond Jourdain de Sivry, un des membres du CVASR, le club des véhicules ancêtres de Sivry, le club le plus représenté lors de ce rendez-vous clermontois.
Et s’ils étaient tous là, c’est avant tout pour rouler. Le matin comme l’après-midi, les organisateurs avaient concocté deux belles boucles, soit en défilé entouré des motards ou en parcours libre tantôt au sud, tantôt au nord de Clermont.
Des prix ont été remis à quelques participants : la coupe du véhicule le plus original, une Renault R4 Touring Secours de 1985 à Émile Willain d’Attre, la coupe véhicule le plus âgé, la Citroën B2 Torpédo de 1922 à Eddy Gillard de Thuin ou encore la coupe du club le mieux représenté, le CVASR chevrotin.
Un succès qui, on l’espère, sera renouvelé en 2013.
La zone de police Flowal(Florennes Walcourt) remporte le challenge sécurité routière
Laurine, Margot Meunier de Clermont,
Thomas, Lola et Amandine ont obtenu 93 %.
La zone de police Flowal vient de remporter le challenge sécurité routière pour la troisième fois. Les cinq enfants sélectionnés et coachés par les inspecteurs Detillieux, Lambert et Henry ont remporté brillamment la compétition qui les opposait à des enfants issus de 16 autres zones de police locale francophones.
walcourt
Trois Clermontois à Thuin pour la Saint-Roch
Puis, Charles Gonze et Alfred Clocherieux, les petits-fils, continuèrent, puis une autre génération avec Charles Antoine, Gaston Antoine et Paul Walbrecq.
Alexandre, par-delà sa tombe, doit sourire : cette tradition dure depuis presque un siècle, et ce n’est pas fini !
La Saint-Roch de Thuin a retrouvé, cette année, trois de ses descendants : Maxime Garbar, comme fifre et tambour ; Benjamin Domange, également comme fifre et tambour, et Didier Garbar, en qualité de sapeur. Ils sont tous trois originaires de Clermont.
Ch.C.
mai 2012
Des chansons qui vous ont fait danser
Après le repas, les enfants ont présenté, sur la scène, des chansons du bon vieux temps, des airs que les grands-parents fredonnaient lors des soirées entre amis, ou à la fête du village…
Mais la journée n’était pas terminée pour autant : il fallait prendre le dessert, le café et déguster l’une ou l’autre bonne pâtisserie préparée par les parents et enseignantes.
Ch.C.
Souper pour Télévie.
Samedi, à l’aéroport de Liège, les responsables ont remis une promesse de 12 117€.
Pour clôturer cette action 2012, le comité met sur pied un souper en la salle Cantigneaux le vendredi 11 mai, à partir de 19 h 30. Au menu : boulettes sauce tomate, frites.
PAF : adulte : 10 €; enfant : 6 €. Inscription obligatoire : 071 53 41 26 ou 0478/600.806.
Pour clôturer cette action 2012, le comité met sur pied un souper en la salle Cantigneaux le vendredi 11 mai, à partir de 19 h 30. Au menu : boulettes sauce tomate, frites.
PAF : adulte : 10 €; enfant : 6 €. Inscription obligatoire : 071 53 41 26 ou 0478/600.806.
initiation à la photographie
Ch.C.
Pétarades pour le Télévie
Ch.C.
Au Conseil d’État contre les éoliennes
Même si l’ordre du jour de la séance publique du
conseil communal ne présentait rien de bien particulier, on a assisté,
lundi soir, à quelques échanges d’idées intéressants sur différents
sujets. Ainsi, la bourgmestre Christine Poulin a demandé l’ajout d’un
point en urgence en vue d’introduire un recours au Conseil d’État contre
la décision du ministre Écolo Philippe Henry qui a donné un avis
favorable au projet éolien de Cour-sur-Heure-Thuillies. « Même si ce
projet ne nous concerne pas directement car il n’est pas implanté notre
territoire, notre avis ainsi que celui de la Ville de Beaumont a été
requis car nous sommes limitrophes », explique-t-elle. « Nous avions émis un avis défavorable en raison de l’impact paysager et de l’importance de l’avifaune dans cette zone »,
rappelle-t-elle. De leur côté, les fonctionnaires techniques et
délégués de la Région wallonne avaient, eux aussi, émis un avis
défavorable sur ce projet. D’ordinaire, le ministre suit cet avis mais
dans ce cas, il est allé contre et il a donné un avis favorable à la SPE
POWER COMPANY, promoteur du projet. Les communes de Thuin et
Ham-sur-Heure-Nalinnes ont donc décidé d’introduire, auprès du Conseil
d’État, une requête en suspension et en annulation de la décision du
ministre. « Ces communes nous ont demandé de nous joindre à elles dans le cadre de ce recours », poursuit Christine Poulin.
Biernaux contre
« Qu’est-ce qui justifie le soutien à ces deux communes alors que vous avez émis un avis favorable à l’extension du parc éolien de Tarcienne ? », s’interroge Jean-Luc Liessens (cdH-Solidarité Communale). « Nous préférons concentrer dans un seul parc l’ensemble des éoliennes plutôt que de les disséminer un peu partout et de miner ainsi notre paysage », répond-elle. Et de poursuivre : « Les habitants de Clermont ont déjà le parc d’Erpion dans le dos. Si on laisse faire, ils auront celui-ci dans la vue ». Et Abel Gouverneur de préciser : « La Région wallonne a investi beaucoup d’argent en rachat de récoltes à cet endroit car c’est une région de couloirs migratoires pour certaines espèces d’oiseaux ». Au sein du collège, seule Agnès Biernaux (Écolo) a voté contre cette décision d’aller en recours au Conseil d’État dans le cadre de ce projet. « Je pense qu’il faut arrêter ce phénomène Nimby et d’avoir une montée de boucliers chaque fois qu’un projet éolien nous est proposé. Si nous ne voulons pas d’un deuxième « Fukushima » chez nous, il serait bon de réfléchir aux énergies alternatives », a-t-elle déclaré. Le conseiller Éric Dubois s’est également abstenu sur ce point. Le projet de magasin Aldi à Chastrès a aussi fait l’objet d’un débat animé au sein du conseil de ce lundi soir. « Je trouve les propos de la bourgmestre désobligeants dans la presse au sujet des petits commerces », pense Laurent Leclercq (Autrement). Celle-ci affirmait en effet que les petits commerces ont une fonction de dépannage et qu’elle n’avait pas le pouvoir de refuser le projet Aldi si celui-ci respecte les règles urbanistiques.¦
Biernaux contre
« Qu’est-ce qui justifie le soutien à ces deux communes alors que vous avez émis un avis favorable à l’extension du parc éolien de Tarcienne ? », s’interroge Jean-Luc Liessens (cdH-Solidarité Communale). « Nous préférons concentrer dans un seul parc l’ensemble des éoliennes plutôt que de les disséminer un peu partout et de miner ainsi notre paysage », répond-elle. Et de poursuivre : « Les habitants de Clermont ont déjà le parc d’Erpion dans le dos. Si on laisse faire, ils auront celui-ci dans la vue ». Et Abel Gouverneur de préciser : « La Région wallonne a investi beaucoup d’argent en rachat de récoltes à cet endroit car c’est une région de couloirs migratoires pour certaines espèces d’oiseaux ». Au sein du collège, seule Agnès Biernaux (Écolo) a voté contre cette décision d’aller en recours au Conseil d’État dans le cadre de ce projet. « Je pense qu’il faut arrêter ce phénomène Nimby et d’avoir une montée de boucliers chaque fois qu’un projet éolien nous est proposé. Si nous ne voulons pas d’un deuxième « Fukushima » chez nous, il serait bon de réfléchir aux énergies alternatives », a-t-elle déclaré. Le conseiller Éric Dubois s’est également abstenu sur ce point. Le projet de magasin Aldi à Chastrès a aussi fait l’objet d’un débat animé au sein du conseil de ce lundi soir. « Je trouve les propos de la bourgmestre désobligeants dans la presse au sujet des petits commerces », pense Laurent Leclercq (Autrement). Celle-ci affirmait en effet que les petits commerces ont une fonction de dépannage et qu’elle n’avait pas le pouvoir de refuser le projet Aldi si celui-ci respecte les règles urbanistiques.¦
Les cyclos à nouveau sur les routes
Pour cette année, on note quelques moments forts : le challenge de régularité (le 1er avril), l’épreuve contre-la-montre (le 17 juin), les 8 heures (le 12 août) et le rallye (le 23 septembre).
Notons également la journée Vélo pour tous, le jeudi 17 mai (Ascension), et la participation à des organisations telles que le cyclo-Thuin le 3 juin, Grand-Reng le 24 juin, et le Tandem de la Bottele 26 août.
Cette année, un week-end en Bourgogne sera mis sur pied (les 1er et 2 septembre) avec parcours sur place, mais on nous dit que quelques courageux se préparent pour rejoindre la Bourgogne au départ de Clermont.¦
Ch. C.
Stages sportifs à Louvain-la-Neuve
Ch. C.
Des plumes et des oranges au carnaval de Clermont
CLERMONT - On connaît le dynamisme qui habite les Clermontois lors des différentes manifestations qu’ils organisent toute l’année. Le carnaval ne fait pas exception à cette règle. Et l’édition de cette année n’a pas eu à rougir des précédentes, avec la précieuse collaboration d’une météo généreuse.
C’est bien avant l’aube que le tambour s’est fait
remarquer. Il faut dire que, comme partout, lorsqu’on escorte les
gilles, impossible de faire la grasse matinée. Des T’chiquetis au
meilleur de leur forme qui ont déjà défilé dans la matinée avant de
reprendre le flambeau dès 15 h, accompagnés d’autres groupes, les AG & Co en tête. Remarqué aussi, le groupe des Femmes de gilles,
désireuses, elles aussi, de faire la fête. Ajoutez à cela quelques
individualités et on comprendra l’animation des rues clermontoises.
Rondeau final et feu d’artifice ont clôturé ce grand rendez-vous festif.
Rondeau final et feu d’artifice ont clôturé ce grand rendez-vous festif.
Christophe Longfils - Propriétaire de la pépinière «Au jardin du blanc vivier» à Clermont
Producteur de géraniums, d'annuelles, de pomponnettes.
Agence de Développement Local (ADL) : Monsieur Longfils, pouvez-vous nous décrire vos activités ?
Christophe Longfils (C.L.) :
Nous avons trois types d’activités distinctes :
- Celle d’aménagements extérieurs qui comprend le pavage, la pose de clôtures, le terrassement, le semis de pelouses, l’abattage d’arbres, …
- Celle relative au centre de jardinage c'est-à-dire la production d’annuelles (géraniums, pomponettes (plantes de la Toussaint), …), la vente d’articles pour le jardin, des décorations de jardin, …
- La boutique de déco « Le marché de Chloé et Capucine »
ADL : Depuis combien de temps exercez-vous ce métier ?
C.L. : Le 21 octobre 2008, la pépinière est ouverte au public. Au départ, le bâtiment n’était pas encore construit et nous avons malgré tout ouvert car j’avais produit des pomponettes, nous étions proche de la Toussaint.
C’est vraiment au printemps 2009 que l’activité a été lancée.
Pour être précis, avant de réaliser cette activité, j’ai travaillé, quatre jours par semaine, à la « Jardinerie de l’Eau d’Heure » sur le zoning de Chastrès. Le reste de la semaine, j’avais créé une activité complémentaire qui était l’entreprise de parcs et jardins. Voyant que cette activité fonctionnait de mieux en mieux, je me suis lancé après en tant qu’indépendant à part entière.
ADL : Pourquoi avoir choisi ce métier ?
C.L. : Enfant, je voulais être agriculteur. J’ai toujours eu une passion pour la terre, les plantes… En grandissant, j’ai compris que n’étant pas du milieu agricole, il me serait difficile d’accéder à cette profession.
A 16 ans, j’avais acheté une petite serre de 15 m² et pour la rentabiliser, j’ai vendu à mes voisins et à mes proches, les plantes que j’y avais fait pousser.
ADL : Pourquoi vous êtes vous lancé comme indépendant ?
C.L. : J’ai la fibre indépendante… J’aime faire selon mon point de vue, surtout quand je pense avoir raison. Cependant, il est clair qu’il est primordial de tenir compte des conseils des autres. J’aime organiser mon travail, j’aime ce que je fais.
ADL : Vous lancer si jeune comme indépendant, cela ne vous a pas fait peur ?
C.L. : Il est vrai que je me suis lancé comme indépendant à 22 ans, cela peut paraître jeune. Néanmoins, comme je vous l’ai dit, j’avais déjà mon expérience et surtout l’aide de mes parents… Sans eux, il m’aurait été impossible de réaliser mon rêve. C’est grâce à eux qui m’ont soutenu et me soutiennent que j’y arrive aujourd’hui (mon père est mon bras droit) !
Certaines personnes pourraient m’envier mais il faut comprendre que tout ce qui est autour de nous, ce sont des investissements ! La vie d’indépendant, c’est beaucoup de sacrifices. Par exemple, les grosses semaines, je travaille plus de 100 heures ! Lorsque je rentre, ce n’est pas fini, il y a la gestion administrative (ma mère s’en occupe en grande partie mais l’estimation et la rédaction des devis, c’est pour moi !).
Si j’ai un problème physique, comme une entorse par exemple, cela pose un vrai problème… Cela m’est malheureusement déjà arrivé.
ADL : Comment s’organise le travail sur une année ?
C.L. : Le printemps et l’automne sont les moments où il y a le plus de travail. Je suis aidé par mes parents mais également de temps en temps par des intérimaires et des stagiaires… Seul, il me serait impossible de réaliser toutes les tâches à ces périodes !
En été, c’est plus calme en pépinière mais le travail de parcs et jardins ne manque pas car nous profitons des longues journées au maximum.
En hiver, c’est l’occasion de ranger au mieux le magasin, de faire l’inventaire, …
ADL : Pourquoi vous êtes-vous établi à Clermont ?
C.L. : Je suis de Clermont. Donc, lorsque j’ai prospecté pour trouver un endroit, il me paraissait naturel de m’établir dans mon village. Lorsque j’ai eu l’opportunité d’acheter une parcelle de terrain, je l’ai fait !
ADL : Quel type de clientèle visez-vous ?
C.L. : Bien entendu, pour l’entreprise d’aménagements extérieurs, nous visons toutes les personnes qui souhaitent aménager leur jardin, leur espace vert (particulier ou entreprise).
En ce qui concerne la pépinière, un quart de la production des géraniums et la moitié de la production des pomponettes sont vendus à des fleuristes, des épiceries qui vendent également des fleurs. Pour le reste, le particulier est notre client !
ADL : Comment touchez-vous votre clientèle ?
C.L. : L’ouverture a été annoncée dans l’Echo. Actuellement, nous réalisons de la publicité saisonnière.
Nous privilégions le « bouche à oreille ». Un client satisfait revient !
ADL : A ce propos, comment vous différenciez-vous par rapport à la concurrence ?
C.L. : Par rapport à nos concurrents qui ne produisent pas eux-mêmes leurs plantes, nous produisons de la qualité à meilleur prix.
En ce qui concerne la vente aux épiceries, aux fleuristes, nous n’imposons pas d’unité minimum, c'est-à-dire que nous pouvons vendre 10 pomponettes jaunes et 20 blanches ou 15 géraniums en fonction des besoins. C’est notre force car auprès de nombreux grossistes, il y a un nombre minimum imposé !
Enfin, ce qui nous différencie, c’est l’accueil du client. Nous considérons que 10 minutes passées avec un client pour le conseiller, c’est bénéfique pour la société car il a ce qu’il souhaite, il est donc heureux et reviendra chez nous !
ADL : Quels sont les avantages et inconvénients de votre métier ?
C.L. : Le grand air et le travail diversifié sont deux avantages indéniables de ma profession. Voir pousser ce qui est semé, cela a quelque chose de magique ! Egalement, il y a une grande satisfaction à voir l’utilité de ce que nous réalisons, de concrétiser le projet de nos clients.
Par contre, effectivement, nous sommes tributaires du temps tout comme les agriculteurs il y a des jours où il faudrait 40h dans une même journée !
ADL : De quoi êtes vous le plus fier ?
C.L. : Je suis particulièrement content que tout se passe au mieux dans cette activité ! Je remercie encore mon entourage de m’avoir soutenu !
Au début, c’est vrai que c’est un saut dans le vide…
Maintenant, l’entreprise tourne et chaque année, nous progressons et notre clientèle est satisfaite, c’est le principal.
ADL : quelles sont vos perspectives professionnelles ?
C.L. : Nous avons des projets d’extension à l’arrière du bâtiment existant : les réalisations d’un carport de 16mX15m ainsi que d’un nouvel hangar de 15mX10m.
Nous souhaitons également, à terme, agrandir la serre en verre, ...
Des projets, j’en ai donc encore et heureusement ; exemple : à partir de mars : il y a un élargissement de notre gamme !
ADL : Monsieur Longfils, merci pour cet entretien.
Félicitations pour votre entreprise qui ne connaît pas la crise…
Bon travail et bonne préparation des annuelles pour le printemps !
Infos, contact :
AU JARDIN DU BLANC VIVIER
Rue de Castillon, 34, 5650, Clermont
Tel. : 071 53 44 51 - Fax : 071 53 44 51
Du 15 mars au 30 juin : ouverture du mardi au samedi de 9h à 18h. Le dimanche de 9h à 12h.
Le reste de l’année (sauf congés du 15/07 au 15/08) me-je-ve de 14h à 18h et le samedi de 9h à 18h.
Clermont prépare son carnaval
Ils sont désormais prêts pour leur grande journée du samedi 25 février prochain. Dès 6h, ils se rassembleront avant de défiler en un premier cortège le matin et un second dans l'après-midi, escortés, comme les autres années, par le groupe AG & Co et la population déguisée. Le soir, au départ de l'arsenal, ils gagneront la place du Puits pour le rondeau final et le feu d'artifice vers 22 h 30. Non contents de cette grande journée, ils participeront le dimanche au raclos.
¦ Ch.C.
Le père Bedoret n’est plus
le père Bedoret était né à Clermont. Il y avait débuté sa longue carrière apostolique.
- Nous avons appris le décès du père Georges Bedoret. Il était né à Clermont en août 1917. Après des études primaires et secondaires, il entre au noviciat en septembre 1934. On le trouve par la suite éducateur à Godinne puis à Mons. Il fait sa théologie à Louvain et est ordonné prêtre le 24 août 1947 à Louvain par Son Excellence Monseigneur Périer, S.J. Archevêque de Calcutta. Ses prémices, il les fait dans son village natal, le 7 septembre, de la même année. Religieux de la Compagnie de Jésus, il fonctionne d’abord à Arlon en qualité de ministre avec la charge de l’Église puis à Liège et Saint-Servais. En 1955, il est envoyé à Bujumbura comme ministre pour aider aux constructions en cours et revient au collège Saint-Michel à Bruxelles, en qualité de recteur, avant, à nouveau, de partir en France (Gap, Marseille, Aix-en-Provence, Marseille et Montpellier) pendant 34 ans comme « ouvrier apostolique » et animateur de retraites. Il revient alors à Charleroi, au service de l’église du Sacré-cœur. À 90 ans, en 2007, après une longue carrière apostolique, il prend sa retraite à La Colombière à Bruxelles, vivant paisiblement ses dernières années, fidèle aux eucharisties quotidiennes. Toujours dévoué et souriant, il était un guide spirituel de bon conseil, très accueillant pour ses visiteurs. Ses funérailles ont été célébrées à Bruxelles le 24 janvier dernier.¦ Ch.C.
120 courageux pour le Télévie
Quoi qu’il en soit, les organisateurs ne baisseront pas les bras ; ils sont décidés à mettre le « paquet » pour l’édition 2013.¦
Ch.C.
Les aînés ont été choyés
Apéritif, tartes, café figuraient au menu des aînés qui ont ensuite assisté à la comédie en trois actes de Christian Derycke « Au paradis dès-âmes pièrdues », et au 27e épisode de la revue « En chuvant l’Gau ».
Enfin, cerise sur le gâteau, chaque convive se vit servir un excellent plat froid avant de recevoir un panier de fruits variés et un cougnou.¦
Ch.C.
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Des archives de 1795 à 1950
- Les archives communales consultables à Clermont concernent la période située entre 1795 (instauration du régime français dans nos régions) et 1950. Celles antérieures à cette date sont conservées aux Archives de l’État à Namur. Pour l’entité de Walcourt, les plus anciennes remontent au XIII ? e siècle.
Elles révèlent une série d’anecdotes intéressantes. En compulsant des liasses de d’archives relatives à Berzée, Emmanuel Bodart a eu l’attention attirée par une pièce annonçant la contribution foncière que devait supporter une certaine commune de « Saint-Marc » ? Datée du 14 messidor an X du calendrier républicain (3 juillet 1802), cette pièce concernait-elle Saint-Marc près de Namur ? Après réflexion, il est apparu qu’il s’agissait en fait de « Saint-Maert », qui a fusionné avec Somzée en 1819.
Les archives locales bientôt consultables
Pour le classement des archives, le personnel communal bénéficie de l’aide d’Emmanuel Bodart, Conservateur des Archives de l’État à Namur.
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Pour les rendre accessibles, les archives communales font l’objet d’un classement en collaboration avec les Archives de l’État.
Compte tenu du fait que la bibliothèque communale de Clermont ne disposait plus que d’un seul lecteur régulier, le conseil communal a décidé, en sa séance du 29 septembre dernier, de procéder au déclassement du stock de livres, bandes dessinées et autres publications en dépôt dans cette bibliothèque.
Les livres intéressants ont été transférés à la bibliothèque de Thy-le-Château ; le reste sera proposé en priorité aux écoles communales, aux écoles de la Communauté française et libres de l’entité et au Cercle d’Histoire.
Il a également été proposé au conseil communal de spécialiser la bibliothèque de Clermont en Centre d’archives.
De son vivant, Jean Léotard, archiviste officiel de la Ville de Walcourt, avait rassemblé, dans l’ancienne maison communale de Clermont, une grande partie des archives des anciennes communes formant l’entité actuelle. Il était d’ailleurs parvenu à classer et à inventorier complètement les documents relatifs à cinq ou six villages.
Poursuivre ce travail
« À la commune, nous nous rendons bien compte que ces archives constituent la mémoire collective de nos villages et un patrimoine historique inestimable pour les historiens, chercheurs ainsi que pour les citoyens, affirme l’échevin de la Culture, Marc Preyat. Nous avons donc pris la décision de poursuivre le travail de feu Jean Léotard avec notre personnel communal et les moyens dont nous disposons ».
Depuis plusieurs mois, les archives communales des différents villages de l’entité font donc l’objet d’un classement minutieux dont l’objectif final est de conserver ce patrimoine et de le mettre à la disposition des citoyens.
Avec l’aide des Archives de l’État
Pour encadrer le personnel communal dans cette lourde tâche que constitue le classement, la Ville de Walcourt a fait appel à Emmanuel Bodart, Conservateur des Archives de l’État pour la province de Namur.
Nous lui avons demandé quelle sera sa fonction dans ce projet. « Notre première tâche a été d’évaluer la situation. Ensuite, nous avons effectué des propositions d’action. La commune avait trois possibilités : soit tout rapatrier à Walcourt, soit confier ses archives aux Archives de l’État ou revitaliser le Centre d’archives de Clermont. Il semble que ce soit cette 3e solution qui ait été privilégiée par les autorités communales.
Notre tâche consiste ensuite à former les agents communaux qui seront amenés à gérer ce Centre d’archives. Nous les aidons dans le classement mais aussi à déterminer les documents qui doivent être conservés et ceux qui peuvent être éliminés », explique-t-il.
En sa séance du 29 septembre, le collège communal a autorisé la consultation des archives communales par le citoyen tous les derniers jeudis du mois sur rendez-vous (071/610 625) de 9h à 12h au Centre d’Archives de Clermont situé sur la place du Puits. Cette consultation se fera avec l’aide de M. Bodart dans un premier temps. ¦
Saint Nicolas à Clermont
(decembre 2011)
Trois petits tours par Clermont En plus de ses visites au domicile des enfants sages, saint Nicolas, accompagné de son fidèle serviteur, a été invité à trois reprises dans le village. Tout d’abord, le comité de coordination avec la jeunesse l’a accueilli en la salle communale. Projection de films et goûter pour les enfants avaient précédé son arrivée. Ensuite, le FC. Clermont l’a reçu dans ses installations. Dans son élan, le grand patron a rendu visite à l’école communale. Bref, pleurs, sourires et promesses ont été plusieurs fois à l’honneur.
Les quatre saisons s’invitent à l’école
Le panneau offert par Laurence Afano a été accroché au pignon.
Fin de semaine agitée à l’école communale de Clermont. Jeudi, les élèves ont participé à une marche parrainée dans le village. Vendredi, ils assistaient à l’inauguration d’une fresque murale qu’ils avaient réalisée. Les enfants ont alors été conviés à mettre sur papier leurs dessins et c’est finalement la représentation, toutes classes confondues, des quatre saisons qui a vu le jour, avec le concours et les conseils d’une illustratrice, Laurence Afano.
Et pour remercier l’école, Laurence a offert un panneau illustré représentant les personnages de ses ouvrages, panneau placé, lui, au pignon de l’école.
L’inauguration s’est faite en présence de Freddy Chartier, chef d’école, des enseignantes et de nombreux parents.
Signalons enfin que l’école organisera son souper Halloween le 29 octobre dans ses locaux.
Auteur et illustrateur de livres pour enfants, Laurence Afano est née à Auvelais en 1972. Diplômée en arts plastiques à l’institut Saint-Luc à Bruxelles, elle poursuit alors son parcours à Strasbourg.
Dès 1995, elle édite des ouvrages (une vingtaine à l’heure actuelle) et est même traduite en plusieurs langues. Elle travaille également pour la presse et réalise des travaux graphiques pour divers organismes.
Depuis cette même date, elle anime des ateliers d’illustration au centre culturel régional-théâtre de Namur et enseigne les arts graphiques à l’école normale de Louvain-la-Neuve. Elle vit avec sa famille en Hesbaye.¦
Ch.C.
Avec le club cyclo-touristeLe CCT Clermont en voyage Les cyclotouristes de Clermont viennent d’effectuer leur grand voyage annuel. Après les Vosges en 2010, le groupe est parti en Champagne. Toute la randonnée se fait dans une grande camaraderie et, vers 17 h 30, Epernay est atteint. Ils se retrouvent chez un viticulteur pour une réception dégustative avant de gagner l’hôtel pour le repas et un repos bien mérité. Le dimanche matin, en compagnie du club cycliste d’Epernay, ils partent, 50 km durant, à la découverte de vignes, coteaux et autres villages pittoresques. Inutile de dire que le retour vers Clermont, en car, cette fois, s’est effectué dans une ambiance… pétillante. Le samedi 5 novembre, ils mettront sur pied leur grand souper annuel.
On a dégusté la Clerval à Clermont
Place au sport le samedi, où quelque 270 joggeurs ont arpenté les rues du village.
- Vraiment, on ne sait où vont s’arrêter les décisions et réalisations du collège de la « comune libe de Clermont su’l Gau ». Après l’inauguration d’une plaque à la route du Pachy, le placement de panneaux annonçant la localité, voici les boules carrées, la dégustation à la pompe, la fête du Mayeur, l’omelette à l’Orval et, maintenant, les pralines à l’Orval.
En fait, il s’agissait de fêter dignement le cinquième anniversaire de la commune libre, et pour ce faire, les équipes des différents quartiers de Clermont (le Pachy, le Blanc Vivier, le Centre Ville et l’Agaisse) avec la jeunesse de Strée se sont affrontés tout l’après-midi en des jeux « Intergau », avec animation de la fanfare The Locomotion Varlety Band et cela dans des fresques et frasques avec un concours de danses pour adultes et enfants, des chants, des fables mises à la sauce clermontoise, la danse des derniers mariés, un concours de cuisine, etc.
En fin de journée, le jury, après délibération, proclama les résultats : 1. Strée ; 2. Agaisse ; 3. Pachy ; 4. Centre Ville ; 5. Blanc Vivier. Mais avant que ne débutent ces jeux, il convenait de baptiser cette délicieuse « Clerval » en présence des délégués des communes libres de : le Saint Pholien des Prés de Liège, la Ville libre Saint-Roch de Lessines et bien entendu, Christine Poulin, le bourgmestre en titre de Walcourt et de procéder à l’intronisation de trois nouveaux citoyens d’honneur : Eddy Parent ; Eddy Lorenzin et Alain Bressant.
Le soir, c’est Micro-Climat qui a donné le ton. À noter que le samedi, le 14e jogging, « La Clermontoise », avait réuni pas moins de 270 participants (tous âges confondus).¦
Ch.C.
La recette restera dans mes tiroirs »
Alain Bressant est le créateur de la praline à l’Orval. Elle ne sera pas commercialisée.
- Oui, car au départ, il est difficile de marier l’amertume de la bière avec du chocolat noir.
Alain Bressant, vous êtes chocolatier artisanal à Beaumont et à ce titre, le créateur de la praline à l’Orval. Aviez-vous déjà reçu semblable demande ?
Non, c’est la première fois et je dois dire, qu’au début, je suis resté dans l’expectative en me demandant comment j’allais m’y prendre.
Avez-vous rencontré des difficultés pour l’élaboration de cette praline ?
Comment la définissez-vous ?
J’ai travaillé avec du chocolat au lait. L’intérieur est une ganache noire à l’Orval, on y sent l’amertume de la bière.
Allez-vous la commercialiser ?
Il n’en est pas question. Les organisateurs avaient introduit une demande à la brasserie. Cette dernière n’a pas donné son aval.
Et, alors, qu’allez-vous faire ?
Rien : la recette restera dans mes tiroirs. On ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve mais chapeau à Clermont s’l’Gau est pour cette initiative.
Que retirez-vous de tout cela ?
À Clermont, on fait toujours bien les choses ; me voilà fait citoyen d’honneur. Maintenant, que vont-ils encore inventer ?
Ch.C.
Un nouveau lifting pour la pompeRénovée récemment après avoir retrouvésa place d’antan,la pompe publiquede Clermont est désormais pimpante.
Bien avant 1940, une pompe publique existait sur la place, non loin du bâtiment de la bascule. Puis, au fil des années, cette pompe n’eut plus sa raison d’être et disparut suite à l’élargissement de la chaussée et de l’installation de la distribution d’eau. Dans les années 1970, le groupement Mont Clair la dénicha dans un fossé au hameau de l’Ermitage. Comment était-elle arrivée là ? C’est là tout le mystère. Avec la complicité de plusieurs bénévoles, elle fut remise presqu’à son emplacement primitif. Il y a deux ans, le service Travaux de la ville de Walcourt entreprit la rénovation complète de la place du Puits et la vieille pompe déménagea à nouveau. On l’entoura d’un mini-bassin et une alimentation en eau lui fut même offerte. Récemment, elle reçut un nouveau lifting avec une remise en couleurs. Le comité de coordination l’a même garnie de fleurs.¦
Ch.C.
le village a aussi… un Roi, avec Jean-Pol Poiret.
Le village « gaulois » de Clermont vit au rythme de ses manifestations annuelles, mensuelles, hebdomadaires ou habituelles avec le village fleuri, les jeux inter-Gau, la concentration des voitures anciennes, le jogging « La Clermontoise », la fête du Blanc Vivier, les pompiers, le tournoi de volley, le F.C. Clermont, le club cyclotouriste, la marche Adeps, la fête du mayeur, la « commune libe de Clèrmont su’l’Gau », la ducasse du mois d’août, etc. Mais le village possède aussi ses autorités propres.
Il y a cinq ans maintenant, la « commune libe » élisait son premier mayeur en la personne de Marcel Gohy, avec pour adjoint un cantonnier, Jean-Marc Jacquiez et un champète, Jean-Pierre Bricteux. Et depuis la semaine dernière, le village a aussi… un Roi, avec Jean-Pol Poiret.
L’an dernier, Jean-Pol avait été intronisé dans la confrérie des archers de saint Sébastien, cercle privé, à Chimay et, à l’issue de sa première prestation, il s’était vu confier la garde du drapeau, garde qui revient au vice-roi.
Cette année, avec une quinzaine d’archers de la confrérie, lors du traditionnel tir du roi, il s’en est tiré avec tous les honneurs.
Il a, en effet, abattu une poule avant de porter le coup fatal au coq, le sacrant roi. C’est Henri Michaux, également domicilié à Clermont et confrère chimacien, qui aura la garde du drapeau pour une année. Toutes nos félicitations à ces personnalités locales et longue vie à ces manifestations conviviales.¦
Ch.C.
Clermont a vécu à l’heure de son grand tournoi de volley,
le 29e du nom, mis sur pied par l’ASBL Salle paroissiale,que préside Vincent Bedoret.
Un rendez-vous devenu au fil des années incontournable pour celles et ceux qui aiment le sport et le volley en particulier mais qui, en même temps, aiment le folklore et la déconnade.
La météo avait tenu à assurer la présence d’un généreux soleil, gage d’un succès encore plus grand tant pour la journée de vendredi que celle de samedi.
Pour accueillir les 57 équipes et les quelque 500 joueurs, trois sites avaient été aménagés, le terrain de football local, la cour de récréation de l’école et bien entendu le site même de la salle paroissiale, haut lieu de finales toujours acharnées.
Le règlement du tournoi prévoyait quatre catégories : les seniors, les dames, les amateurs et les enfants. Si dans chacune de ces catégories les performances sportives étaient à souligner, il faut bien reconnaître que le folklore était loin d’être banni.
La chaleur et la bière aidant, l’ambiance était à la hauteur des meilleures éditions, tant chez les joueurs que chez les spectateurs comme par exemple cette future mariée qui bradait ces petites culottes.
Il faisait déjà tard quand furent proclamés les résultats. Chez les enfants, les Smileys’imposaient devant les Diablotins vertsalors que dans la catégorie dames, les Adbettesmontaient sur la plus haute marche du podium devant les Challengers.
Pour les amateurs, victoire du Team Fraichdevant les Guindailleurset dans la catégorie seniors, les Bigoonsse sont imposés devant la bande à Richardet les Tourisssset les volleyeurs en herbe.
Le prix du fair-play est allé aux Footballeurset le prix de l’animation aux dames des Pintjes
Clermont : des surfinias, en veux-tu en voilà !
Le beau temps revenu, le village retrouve ses couleurs, ses senteurs… On doit cette initiative au comité de coordination qui, avec la participation de la commune, a acheté pas moins de 800 plants. Ainsi, des vasques ont été placées par Jean-Pol et son équipe en de nombreux endroits. Merci aux volontaires qui ont confectionné les bacs, aux riverains soignent les fleurs, à ceux qui ont suivi le mouvement en décorant leurs habitations. Même les entrées du village ont profité de cet embellissement généralisé !
Les quatre saisons à la récréationTous à l’œuvre autour de Laurence : une belle façon de terminer l’année scolaire.
- Comment meubler les tout derniers jours de classe de façon constructive ? Une question et surtout une réponse à l’école communale de Clermont où est né le projet de décoration du préau de la cour de récré.
Pour cela, il a été fait appel à Laurence Afano, auteur et illustratrice de livres pour enfants qui, avec l’aide de l’association des parents qui avait envoyé sur place quelques bénévoles et qui avait dégagé quelques fonds qui allaient s’ajouter à ceux proposés par la commune de Walcourt, a projeté de représenter les quatre saisons par des dessins d’enfants. Des maternelles aux grands des classes primaires, tous ont dessiné en classe.
Puis leurs réalisations ont été transférées sur le principe de la frise sur l’un des quatre panneaux.
Restait alors à colorier tout cela et tous les élèves ont mis la main à la pâte pour un chouette résultat.
Rendez-vous à la rentrée pour découvrir ces petits chef-d'œuvre.¦
J.L.
La nouvelle buvette du footballDans cette nouvelle buvette, joueurs et supporters du football club de Clermont seront choyés.
- La nouvelle buvette du football de Clermont a été inaugurée.Les aménagements ont coûté 341 000 €, largement subsidiés.
« Entourer les jeunes, baser leur avenir sur quelque chose de sain »,c'est avec ces mots que la bourgmestre de Walcourt, Christine Poulin a ouvert le cérémonial officiel de l'inauguration de la buvette du football de Clermont. Elle était entourée d'une foule de mandataires et autres bénévoles au pied du tout nouveau complexe sportif.
Une longue histoire
Clermontois et échevin des Travaux, Vincent Bedoret va retracer brièvement la longue histoire des installations sportives du club de Clermont, une histoire qui débute en 2005. Ce n'est qu'en 2007 que le conseil approuve le projet et qu'Infrasportspromet les subsides. Le 15 mai 2009 exactement, les travaux débutent. Ils consistent en la construction d'un volume au-dessus des vestiaires existants pour héberger la buvette.
Le placement d'un ascenseur, la remise en état de l'électricité, l'isolation des murs existants comme le lifting des installations sanitaires conduiront à une réception provisoire en juin 2010. Au final, ces aménagements se soldent par une ardoise de 341 133 €, avec une intervention d'Infrasportsde 141 110 €.
Une belle opération pour les habitués du foot clermontois qui, partis d'installations pour le moins vétustes ravagées par un incendie, se retrouvent avec une infrastructure à faire des jaloux.
Deux rubans
Avant de lever le verre de l'amitié, le public a pu entendre les quelques mots du député provincial Philippe Bultot (à la base du projet à l'époque où il était l'échevin des Sports de Walcourt) ainsi que les propos, toujours teintés d'humour, de Jean Postol, le M. Foot de Clermont. Puis est venu le moment attendu : la bourgmestre Christine Poulin, épaulée du mayeur de la commune libre de Clermont, Marcel Gohy, a coupé les deux rubans, le national et... le clermontois. ¦
ANCÊTRES A CLERMONTPour la 8e année consécutive, des véhicules d’un autre temps, véhicules de plus d’un quart de siècle se sont donné rendez-vous à Clermont. Un rassemblement que l’on doit au comité de concentration des véhicules ancêtres, à Claudy De Bels, son président, et à toute l’équipe de bénévoles qui l’entourent. Dès 8 h, et ce malgré un temps indigne du mois de juin, temps fait de vent, de pluie et avec un thermomètre à très bas régime, ils étaient nombreux à rallier la place du Puits avec leurs vieilles montures. Des retrouvailles empreintes d’une grande convivialité où les curieux avaient tout loisir de découvrir ou redécouvrir ce qui constituait le parc automobile, il y a un certain nombre d’années. De vieilles voitures et même de très vieilles mais qui répondent toujours au starter, des Morris, des Daf, des MG, des Porsche, des Citroën traction, des 4 CV Renault, des Peugeot 403, 203 et même une superbe 201, sans oublier cette toujours gracieuse Studebaker made in USA. C’est vers 9 h que tous ces bolidesétaient lancés sur les deux circuits prévus, l’un bouclé en groupe et l’autre librement suivant quand même un road-book. Destination, la région thudinienne avec arrêt forcé à l’Embuscadequestion, paraît-il, de faire souffler les moteurs ou encore à une chocolaterie artisanale à Donstiennes. Tous rentraient au bercail à midi pour partager le repas réunissant pas moins de 300 convives, le temps de reprendre quelques forces avant les secondes boucles de l’après – midi avec cette fois comme direction Froidchapelle et l’Eau d’Heure. Un nouveau succès dont peuvent se féliciter les organisateurs et à nouveau une bonne affaire pour les Gilles clermontois, à l’origine de cette belle concentration.
¦ J.L.
Clermont : un beau concours de pêche
Le dernier concours de pêche mis sur pied par la société La Truite clermontoise a permis de relever pas moins de 184 prises (39 à la 1re manche ; 69 à la 2e et 76 à la 3e). 34 pêcheurs s’étaient inscrits à cette journée sur les rives du Gau. Le classement : 1. Jacques Eugène : 20 prises ; 2. Arthur Senko : 19 ; 3. Éric Piérard : 11 ; 4. Willy Renard : 10 ; 5. Jean-Jacques Bertrand : 9 ; 6. Jean Coppin : 8 ; 7. Philippe Hannecart : 8 ; 8. Jérôme Levêque : 7 ; 9. Léon Bail : 7 ; 10. Guillaume Meunier : 7.
Football - P4 Namur
Permutation des équipes à Clermont Les deux équipes de Clermont ont finalement permuté: l’équipe A jouera en provinciale 4C (à connotation basse-sambrienne) et la “ B ” en P4E. “ Avant l’élaboration des séries, nous avions promis à notre équipe B qu’elle ne quitterait pas la provinciale 4E ”, explique Yves Smet, le délégué des “ A ”. “ Et puis, la provinciale 4C, composée d’une majorité de formations B, permettra peut-être plus facilement à notre équipe A de remonter directement en provinciale 3. ”
En selle avec le club cyclo touriste
La journée « Vélo pour tous » mise sur pied chaque année par le club cyclotouriste de Clermont a connu un beau succès. Bénéficiant d’un temps magnifique, elle a permis aux amateurs de boucler un des 3 circuits routiers ou un des 4 parcours VTT. Au décompte, on note 600 participants (308 pour le VTT et 207 pour la route). L’après-midi, la randonnée de près de 15 km a réuni 85 amateurs. Rien n’a été laissé au hasard : points de ravitaillement, douches, nettoyage VTT, restauration au salon communal…
Le souper d'été des Pompiers- Cinq nouvelles recrues chez les pompiers
Chaque année à pareille époque, le corps des sapeurs-pompiers de Clermont propose un souper. Cette année, une petite centaine de convives avaient rallié l’arsenal. Avant de passer à table, Jean-Marc Jacquiez, responsable du poste de Clermont, a présenté le nouveau commandant de Florennes. Ce dernier a félicité les cinq nouvelles recrues pour le poste de Clermont qui ont réussi leurs premiers examens : François-Xavier Bricteux ; Fabian Lechevin ; Franck Dessorme et Thomas Ferré, de Clermont ; Nicolas Malengraux, de Strée
La rue du cimetière prend forme
La structure de la nouvelle rue du cimetière commence à prendre forme. Des travaux importants de sécurisation des lieux ont été décidés par le service des Travaux. Il s’agit de rendre cette rue à sens unique partant de la route de Strée vers les écoles. La route sera complètement renouvelée avec un trottoir et un passage pour piétons. De plus, un éclairage adéquat sera placé, ainsi d’ailleurs qu’un coin repos avec banc. Ces mêmes travaux sont prévus pour une durée de 60 jours ouvrables. Notons que la circulation, en ce moment, y est fortement ralentie.
(avril 2011)
Le village de Clermont a eu l'honneur d'ouvrir la saison touristique dans l'entité. Découvrons le village par l'intermédiaire de ses aïeux.
Bienvenue à Clermont, village de fiers Wallons, pour y découvrir la vie locale, les métiers d'antan, les commérages, les personnages hauts en couleur, tellement typiques de cette belle région.
En fait, c'était l'office du tourisme de Walcourt qui mettait sur pied sa fête du printemps et sa nuit magique et pour ce faire, avait fait le déplacement jusqu'à la frontière de l'entité. Cette troisième édition succédait aux deux premières qui avaient eu lieu à Walcourt et Thy-le-Château.
Une place du Puits garnie de trois chapiteaux, de tonnelles, des espaces pour les tout-petits, grimage, gravure, peinture, petite restauration, musique, boules carrées, activités diverses : vraiment il y en avait pour tous les goûts sans oublier les deux balades contées à travers le village, présentées par des personnages en costume d'époque et se terminant par le chant On èst bé à Clérmont .
Mais que dire de ces balades? Préparées par Muriel Dessoy, assistée de Céline Préat, responsable de l'office du tourisme de Walcourt, elles ont permis de retrouver les aînés du village.
Laissons-nous porter par les figures emblématiques de la localité, laissons-nous séduire par leur récit et découvrons en leur compagnie le riche patrimoine dont ils sont les témoins : el famille Gagaye, el crolèie, René el chaboti, Charles el cocher, l'père Wyart, les d'jeux d'balle, Thomas Bernier el commandant des pompiers, Félix Walbrecq el poète, Victor Grawez el notaire, el médcin Dardenne, el padjo, el varlet Alfred Dandien, el père Miot, el Tité, el père Camille Gagaye... Les lieux-dits ne furent pas oubliés avec les chapelles du village, les potales, la pierre du diable, etc., de même que les anciens cafés au nom typique comme Sébastopol, chez l'Cayien, chez Bébert, chez Palète, chez Batisse. On a ainsi retrouvé la verve, le dynamisme, la vigueur, mais surtout la vie simple que ces aïeux menaient alors.
Cette journée avait reçu l'appui du centre culturel de Walcourt, de l'ASBL Loisirs et Vacances et des associations locales.
L'Office du tourisme, Grand-Place, 25, à Walcourt, est ouvert tous les jours, sauf le lundi, de 8 h 30 à 17 h. 071/612 526.
Une culture bien facile
Pas question de se ruiner pour faire l'acquisition de cette plante. Elle vous sera proposée par Christophe Longfils, le jeune horticulteur du Jardin du Blanc Vivier de Clermont, au prix de 5 ¤. Pas cher, mais ce n'est pas tout : il vous sera possible, avec quelques soins minimes, de conserver la plante pour que, l'année suivante, elle vous apporte, de nouveau, ses doses sucrées. La plante peut même se cultiver sur un simple balcon, en pot. Mais, si vous décidez une culture en pleine terre, rien n'est plus facile. Le plant est transplanté, à la même époque que les tomates. S'adaptant à tous les types de sols, la stévia préfère cependant les sols limoneux et bien drainés afin d'éviter les excès en eau dont elle est très sensible.
Au moment du repiquage, si les chaleurs sont fortes, une protection, au pied de la plante, sera la bienvenue pour éviter les effets de la chaleur. Et, en matière d'amendement, un engrais libérant lentement l'azote sera conseillé. Mais, trop d'azote peut conduire à un développement rapide de nombreuses feuilles de grandes tailles dont la teneur en agents sucrants serait très faible.La première cueillette s'effectue après quatre ou cinq mois de culture puis tous les trimestres, pendant pas moins de trois ans. Au-delà, le rendement s'affaiblit. C'est avant la floraison que la meilleure récolte peut se faire car c'est à ce moment que les molécules responsables du goût sucré sont les plus concentrées dans la feuille de la stévia .On peut récolter en cueillant seulement les feuilles, régulièrement et par petites quantités, ou en coupant la plante entière, à 15 cm de la base, pour qu'elle puisse redémarrer. On sèche alors feuilles et tiges, à l'ombre, avant de les réduire en poudre qu'on utilise comme... du sucre.Facile, non? J.L.
La «stévia» : nouvelle façon de sucrerCe samedi, au «Jardin du Blanc Vivier» de Clermont, on pourra en savoir beaucoup plus sur la «stévia» qui pourrait faire oublier le sucre.
On connaît l'attrait que beaucoup d'entre nous portent à la chose sucrée. On sait aussi les ravages engendrés par la consommation abusive du sucre, tel qu'on l'a toujours connu : des ravages qui s'étalent des caries aux surcharges pondérales, sans oublier le diabète.On a bien essayé de rectifier le tir, en imaginant d'autres édulcorants. Mais, là aussi, tout n'était pas rose, l'aspartame (édulcorant artificiel fabriqué dès 1965 et présentant un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose) n'étant pas fait pour rassurer le corps médical.Depuis peu, dans nos régions occidentales, est apparue une plante qui permet, cette fois, de sucrer 300 fois plus que le traditionnel sucre : la stévia .Amérique du SudPeu connue, chez nous, la stévia existe pourtant depuis la nuit des temps dans ses pays d'origine d'Amérique du Sud où les populations locales en font usage, de par son goût extrêmement sucré.La stévia a la particularité de produire, lors de sa photosynthèse, au coeur de son feuillage, des molécules qui sont incroyablement sucrantes, molécules qui ont la particularité de ne pas être assimilées par l'organisme. Elles ont donc un goût intensément sucré, sans apporter la moindre calorie.On le comprend : une aubaine pour tous ceux que le sucré attire, une aubaine venant en ligne droite de la Mère Nature .MéfianceSi, dès le XVIe siècle, la stévia traverse l'océan pour débarquer en Europe, son arrivée, au beau milieu d'une foule d'autres curiosités botaniques, ne retient guère l'attention et ne soulève aucun enthousiasme, malgré ses remarquables vertus sucrantes. Il faudra attendre 1899 et les travaux du naturaliste suisse Moisés Santiago Bertoni pour qu'en Europe, on daigne s'intéresser un peu à la stévia .Bien qu'en 1931, deux chimistes français parviennent à isoler les molécules responsables du goût sucré caractéristique de la stévia, cette plante reste une curiosité réservée aux amateurs. Et c'est finalement le Japon qui va prendre, en premier, conscience du bien à tirer de cette plante et qui va s'impliquer dans la production industrielle du végétal.Israël et le Brésil imitent, bien vite, le pays du soleil levant et la stévia rentre, aujourd'hui, dans ces régions du globe, dans la composition de nombreux produits agroalimentaires.Et l'Union Européenne? Elle reste encore, pour l'instant, très frileuse - et on s'en étonne à peine... - quant à l'utilisation de la stévia comme édulcorant. Faut-il y voir la main mise du puissant lobby des industries sucrières ou même des producteurs d'édulcorants artificiels tels que l'aspartame ou la saccharine?Pour leur part, les États-Unis (qui avaient interdit, en 1991, l'importation, sur leurs terres, de la stévia ) ont fini par céder, dès 1995, face à l'engouement populaire.Pas besoin d'être grand prophète pour être certain que, d'ici peu, l'Europe se laisse conquérir. Chez nous, en Belgique, des producteurs de stévias se sont lancés dans la grande échelle. Christophe Pépin, de Thuin, est un de ceux-là et, ce samedi, il sera au Blanc Vivier de Clermont.
Renaissance du jeu de balle
«Les Lions de Thudinie», c'est ainsi que l'on surnommait l'équipe locale, avaient un hymne à leur gloire. Et le sport ballant continue son petit bonhomme de chemin, des cadres se reforment, des formations se complètent : Clermont est connu de partout! Après plusieurs années de silence, le ballodrome local va revivre, grâce à quelques dévoués. Il faut dire que Clermont fut de tout temps un des fiefs de la balle.Les formations de la balle dure venaient de Strée, Erquelinnes, Forchies, Trazegnies, Piéton, Bruxelles et les prix étaient de valeur (montres en or, service à café en argent, cuillers en argent).On notera même une déclaration de L. Delplanche, bourgmestre en 1872, qui fait remarquer à la Députation du Conseil provincial que «depuis un temps immémorial, il est d'usage, dans la commune, d'exposer des prix au jeu de balle dans le but d'attirer des parties étrangères» .Les années passent, les joueurs changent mais Clermont reste fidèle à son sport. 1928 constitue l'année de gloire puisqu'ils remportent toutes les grandes luttes : championnat fédéral, critérium du championnat du «Soir», (plus de 1 000 spectateurs à Clermont)...RenouveauL'après-guerre n'apportera plus rien de constructif. En 1951, la petite reine blanche disparaît au profit de la balle pelote. 2011 verra donc un renouveau du sport ballant.Le comité : Président, Paul-Henri Boeckx; vice-président, Alain Clippe; trésorier, Alain Bultot; secrétaire, Pascal Charloteaux; membres, Christine Sneyders, Myriam Poiret et Viviane Devergnies. L'équipe : Patrick Boeckx, Arnaud et Loïc Bomblet, Jeremy et Pascal Charloteaux, Alain et Aurélien Clippe, Pierre Coppée, Mehdi De Beukelaer.L'équipe affrontera en D3B Ermeton, Vierves, Aisemont, Berzée, Thy-le-Château, Fosses, Miavoye, Hanzinelle, Planois, Pontaury, Walcourt.Ch. C.
La fête du printemps le 30 avril - L'an dernier, l'office du tourisme s'était exilé à Thy-le-Château pour ouvrir la saison touristique et la Fête du Printemps. Cette année, c'est le village de Clermont, aux confins de la Thudinie, qui en aura les honneurs le 30 avril. Pour ce faire, la «Nuit magique» de l'office du tourisme s'unira à la fête des associations du centre culturel pour célébrer le printemps. La place du Puits de Clermont accueillera cet événement où associations locales, ateliers créatifs, concerts se croiseront et s'entrecroiseront dès 15 h sous chapiteaux et autour de cette même place. Des promenades guidées seront proposées et, comme les années précédentes, ces balades seront contées et mises en scène par des habitants au départ d'histoires locales (premier départ à 18 h, 2e départ à 20 h 30).Une occasion inédite pour découvrir ou redécouvrir ce village dit «gaulois», d'admirer ses vieilles fermes et autres maisons typiques, de faire le tour de sa «Pierre du Diable», de faire connaissance avec ses habitants, sa commune libre de «Clérmont su'l Gau», de parler de ses nombreux comités locaux, d'apprendre son histoire, ses coutumes, ses moeurs, son caractère et sa nature mais aussi de prendre part, une après-midi durant, aux différents ateliers créatifs présents sur l'entité et profiter en famille et entre amis des premiers jours de beaux temps.Ouverture des activités à 15 h, entrée gratuite, bar et petite restauration.Ch. C.Centre culturel : 071/614 686 ou office du tourisme : 071/612 526.
Éoliennes de Clermont :
un avis négatif de Walcourt - Jeudi dernier, le collège communal de Walcourt a émis un avis négatif concernant le projet éolien d'Alternative Green entre Donstienne et Clermont. La société luxembourgeoise envisage d'implanter, sur la plaine de Viscourt, un parc éolien de huit machines d'une puissance nominale de 2 à 3,3 MW. Pour rappel, une enquête publique s'est déroulée du 2 février au 3 mars à Walcourt et Thuin. À Walcourt, plus de 2000 lettres d'opposants au projet ont été reçues à l'administration communale. Même si beaucoup d'entre elles sont des lettres types ou signées par des gens hors de l'entité, ce chiffre démontre la forte opposition de la population à ce projet. Alternative Green avait pourtant revu ses ambitions à la baisse avec 8 éoliennes au lieu de 14 et un éloignement du parc de la zone Natura. Mais cela n'a manifestement pas convaincu les opposants. La décision négative de la commune de Walcourt sera officialisée, ce jeudi, lors d'une nouvelle séance du collège communal. Puis l'avis sera envoyé à la Région wallonne où fonctionnaires délégués et techniques décideront de l'octroi ou non du permis. Mais il va de soi que la décision communale a un certain poids dans la décision finale. Pour refuser le parc éolien, le collège communal évoque la forte opposition qui s'est exprimée dans ce dossier, non seulement lors des réunions d'information mais aussi pendant l'enquête publique. Il met également en avant l'avis négatif du Conseil Wallon de l'Environnement pour le Développement Durable. Le CWEDD mettait en avant la richesse de l'avifaune et des paysages sur la plaine de Viscourt, ainsi que l'existence de parcs éoliens existants dans les environs immédiats. J.-L.H.
«Ascoutez lès oujas!» avec les AGN
(decembre 2010)
C'est avec un vaudeville de Christian Derycke que les AGN de Clermont récoltent des applaudissements pas du tout usurpés.
Après une première représentation, à la mi-décembre, et après la séance offerte aux aînés, lors du goûter de Noël, les A.G.N. (Les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral clermontois) ont repris, ce dernier week-end, leur bâton de pèlerin pour poursuivre la route de leur saison, toujours à cheval sur l'année qui se termine et l'année nouvelle.Une route jonchée d'éclats de rire, grâce à un bon choix de la pièce et grâce à des comédiens au talent confirmé et qui en ont encore fait la démonstration, tout au long des trois représentations du week-end.La pièceUn bon choix de pièce, mais pouvait-il en être autrement, quand on s'adresse à Christian Derycke?Pour 2010-2011, Albert Scohy, grand maître de la troupe et metteur en scène a choisi «Ascoutez lès oujas», un vaudeville en deux actes qui fait entrer la salle tout entière dans le salon d'un écrivain. Un romancier qui, pressé par son éditeur, voudrait profiter d'un week-end au calme pour avancer dans ses pages d'écriture. Hélas pour lui, du calme, il ne pourra guère en bénéficier, avec l'intrusion d'une série de personnages plus encombrants les uns que les autres.On devine immédiatement les situations propres à faire éclater de rire les spectateurs. Des situations merveilleusement servies par l'effectif des A.G.N., Marcel Gohy, égal à lui-même, en tête. Il était entouré de Chantal Poiret, Nancy De Vos, Françoise Hecq, Benoît Malengreaux, Eddy Parent, Françoise Gohy, Eddy Lorenzin et André Gohy. Une mention toute spéciale à Marie-Thérèse Dropsy qui, dans le rôle de technicienne de surface, a été véritablement la cerise sur le gâteau des représentations.Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen, Mauricette Cuignet oeuvraient dans l'ombre, pour ce succès bien mérité.J. L.
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Marcel Gohy : tête d'affiche, malgré luiLe rideau s'ouvre, de nouveau, sur les AGN , la troupe clermontoise dont chaque comédien distribue des pintes de bon sang, Marcel Gohy en tête.
Ce samedi 18 décembre, les trois coups de brigadier vont lancer les comédiens et comédiennes des AGN (Les Amis du Goûter de Noël ) dans une nouvelle course aux éclats de rire. Un petit groupe d'amateurs au talent plus que confirmé, emmené par celui que tout le public attend : Marcel Gohy.
Dans «Ascoutez lès oujas», un vaudeville de Christian Derycke, il sera, de nouveau, la tête d'affiche, mettant en valeur le rôle de chacun de ses partenaires et surtout donnant le feu vert aux éclats de rire, bien même avant d'avoir ouvert la bouche. Marcel Gohy, un amateur pro ou un pro amateur de théâtre qui est à la scène comme il est dans la vie quotidienne : un véritable personnage face à qui, il est difficile de garder son sérieux.
Fous rires
Mais qu'est-ce qui fait qu'à son apparition, les zygomatiques se délient, même chez le plus coriace des frustrés? Marcel Gohy ne le sait pas lui-même, lui qui, depuis une trentaine d'années, monte sur les planches clermontoises. Une longue carrière de comédien qui a commencé quand les AGN se limitaient à une seule représentation. Il venait renforcer l'effectif composé autour de Gustave Dorignaux et son père, Léon Gohy, alors président du cercle.
Ses débuts, ce sont simplement quelques sketches à la mode de Guy Bedos qu'il adapte. Puis, il s'engage dans une pièce de R. Dehaubois. Les succès vont se succéder, d'année en année, et, parallèlement à la notoriété de la troupe, la réputation du comique de Marcel Gohy va croître, au fil du temps.
Le nombre de représentations passe d'une à deux, de deux à trois pour en être arrivé, à l'heure actuelle, à sept sans compter la séance réservée aux aînés clermontois.
Pour la première de ce samedi, Marcel Gohy est fin prêt à devenir Antoine, le romancier, pour tourner quelques pages de fous rires.
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Le comité de la jeunesse locale et le comité de coordination avaient invité les enfants à participer, mercredi dernier, à une après-midi récréative, en la salle de fêtes.
Ils furent nombreux à répondre présents. Au programme, figurait la projection d'un film. Après celui-ci, les enfants furent invités à passer à table pour un goûter au chocolat chaud, accompagné de délicieuses couques. La journée se clôtura par la visite du grand saint et de son fidèle serviteur qui distribuèrent friandises à tous ces enfants... sages
No estons co dins l'gazette!!!
Près de 300 repas chez les cyclos
Source: L Avenir
Le club cyclotouriste de Clermont a terminé sa saison 2010 par son traditionnel souper en la salle Désirée à Strée, un souper qui, à quelques exceptions près, aurait pu avoir le nom de « complet ».
En effet, c'est avec 280 repas que le personnel a dû composer, un repas où tout le monde s'est dit satisfait.Au cours de cette soirée, plusieurs informations ont été diffusées : 1. Les vainqueurs du challenge. Groupe A : 1. François Thibaut ; 2. Philippe Regnier ; 3. Patrick Meunier ; Groupe B : 1. Franck Charlet ; 2. Gérard Charlet ; 3. Luc Pieropan ; Groupe C : 1. Frédéric Clippe ; 2. Norman Verschueren ; 3. Émilie Vincent.2. Les inscriptions pour la saison 2011 auront lieu le 27 février au local, chez Myriam, de 10 à 11h30.3. La première sortie aura lieu le 6 mars ; départ pour tous les groupes à 9h place du Puits.
Ch C
Tourisme
Les cyclotouristes, huit heures sous la pluie
Le club cyclotouriste clermontois vient de participer à son traditionnel « 8 heures » et cela en partie sous la pluie. Malgré cela, ils furent 32 du groupe A à boucler le circuit de 4,340 km, via les quatre chemins de Viscourt, retour par la route de Mertenne, l'arrivée étant jugée devant les écoles.
Le classement : 1. Avec 60 tours : François Thibaut ; Pierre Badot ; Louis Thibaut ; Francis Dammekens-F ; Pascal Corbugy-P ; Tom Thaels ; avec 58 tours : Hubert Thibaut ; Geoffrey Senko ; Vincent Piraux ; avec 57 tours : Philippe Regnier ; Bernard Léotard ; Franz Monkerhey ; avec 56 tours : Arnaud Degive ; avec 53 tours : Hugues Amant ; avec 52 tours : Benoit Bohain ; Jean-François Badot ; avec 49 tours : Laurent Pireau ; Louis Hardat ; avec 47 tours : Jacques Lambert ; François Lapotre ; avec 46 tours : Patrick Meunier ; avec 45 tours : Éric Delhoye ; avec 44 tours : Olivier Devallée ; avec 35 tours : Serge Docquier ; avec 34 tours : Pascal Boeckx ; avec 32 tours : Vincent Thibaut ; avec 29 tours : Denis Ballarini ; avec 24 tours : Jean-Louis Laloyaux ; avec 23 tours : Philippe Gohy ; avec 21 tours : Philippe Thibaut ; avec 17 tours : Jean-Claude Wallet ; avec 15 tours : Thomas Dupuis.
Notons que les groupes A et B participeront, le 29 septembre, à la concentration cyclotouriste à Chimay (organisation par le Tandem de la Botte) et que les 10, 11 et 12 septembre, ce sera le week-end dans les Vosges.
Enfin, le souper de fin de saison du clu b cyclotouriste clermontois aura lieu en la salle Désirée à Strée, le 6 novembre.Ch.C.
“ J’ai posé un ultimatum qui expire à la fin août ”
provinciale 4E namur Freddy Coppée, le coach de la P4 de Clermont, menace de démissionner si les dirigeants du club ne lui trouvent pas un gardien
A trois jours de la reprise, un entraîneur parle déjà de... démission: Freddy Coppée de Clermont B (P4E).
“ Mon effectif est dépourvu de gardien ”, explique celui qui dirigeait encore l’équipe en... réserves la saison dernière. “ Nous avons joué nos deux premiers matches de coupe avec Mafioletti, l’un des deux portiers de la P3, avant de rappeler Gomrée, la doublure de celui-ci la saison dernière. Nous pensions qu’il accepterait de poursuivre, mais un problème au genou l’en empêchera. Charloteaux, joueur de champ, pourrait se dévouer, mais ce n’est nullement un gardien spécifique. Je ne tiens plus à ramasser des dégelées comme à Bonnine (11-0) et Ham (9-0).
J’ai posé un ultimatum aux dirigeants. Si fin du mois, ils n’ont pas trouvé de portier, je quitterai ma fonction! ”
Par ailleurs, faute d’effectifs, l’équipe pourrait déjà déclarer forfait à Gimnée/Mazée samedi soir (20h). “ A ce jour (N.D.L.R.: hier, mardi), je n’ai que dix éléments, vu que notamment Cuypers et Mathewe, des fermiers, seront probablement occupés par leurs moissons. Dès lors... ”
MEURANT EN SAUVEUR?
Le secrétaire du club clermontois se veut rassurant: “ Notre entraîneur a l’habitude de vite se plaindre ”, ironise Jean Postol. “ Concernant le gardien, Marc Meurant, un ex-Walcourien qui a plus de 35 ans et qui va habiter Clermont, est disposé à s’affilier. Quant à la pénurie de joueurs pour samedi, notre coach avait bien quinze gars lors du dernier match de coupe. Je ne vois pas pourquoi il n’en irait plus de même samedi. ”
Signalons que la P3 recevra Onoz sans Clippe (échographie), Caudron (blessé), L. Gohy et De Beuckelaer (entorses).
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Le quartier du Blanc Vivier a dignement fêté le 21 juillet, en mettant sur pied, pour la troisième année, sa fête du quartier. Il faut remercier tous ces riverains pour le programme présenté.
Deux moments importants pour cette journée : la traditionnelle course de brouettes et l'élection de Miss 21 juillet .Trois fois une demi-heure : c'était assez pour ces vaillants équipages qui, au fil des tours, ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour distancer leurs rivaux. À l'issue de cette course humoristique, la victoire est revenue à l'équipage du Blanc Vivier .L'élection de Miss Blanc Vivier présentait, elle, plusieurs candidates. Après diverses présentations, la coupe a été enlevée par Caroline Ferre, de Clermont.Bravo à tous et... à l'année prochaine.Ch.C.
500 sportifs au volley de Clermont
Clermont ne compte aucun club de volley. Pourtant, chaque année, tout ce que la région compte d'amateurs de ce sport s'y retrouvent
Pour la 28e fois, l'ASBL de la salle paroissiale de Clermont a mis sur pied son grand tournoi de volley. Une édition qui a pu bénéficier d'une météo idéale et qui a connu le succès de participation habituel avec près de 500 joueurs.Comme chaque année, le président de l'ASBL Vincent Bedoret a pu compter sur l'indispensable collaboration de Philippe Manon, concepteur et homme-orchestre de l'événement. Il est vrai que de prévoir 10 terrains, que de gérer les allées et venues de 58 équipes, de prévoir le timing des 134 matches et de contenter les 500 joueurs relève véritablement de l'exploit sportif, un exploit pour lequel l'ancien commissaire divisionnaire s'en est tiré avec tous les honneurs.Du sport, beaucoup de sport et du sport de haut niveau : si certaines équipes viennent plus pour l'ambiance clermontoise à nulle autre pareille, il est à souligner qu'à nouveau on a assisté à des rencontres de haut niveau. Mais bien entendu, ce haut niveau ne pouvait empêcher (et heureusement) le folklore. Rien qu'à voir les équipes engagées comme les Biloutes, le VC Bois des Pintes ou encore les Assoiffés ou les Touriskes et on aura compris qu'on s'est, une fois encore, bien amusé ce samedi à Clermont.Bars, barbecues, châteaux gonflables que ce soit à la salle même, à l'école ou encore au terrain de foot, tout a été fait pour inciter les amateurs de volley à revenir encore plus nombreux l'an prochain. Et nul doute que si la météo est toujours de la partie, l'édition 2011 n'aura rien à envier à celle de cette année comme à toutes les précédentes.J.L.
Un baptême puis des fiançailles
- La naissance de Belle de mai constitue le début de festivités liées aux géants dans la cité strétoise. Déjà, le comité des jeunes planche sur la suite à donner à la naissance de la belle géante. Son baptême est programmé lors de la ducasse de 2011. Ensuite, ils pensent à des fiançailles. Selon Charles Dupuis, des rumeurs circulent déjà sur un possible fiancé et la présence d'une délégation venue du village voisin de Clermont ne le rassure pas : « Vous n'allez pas laisser partir votre belle à Clermont ». Selon ces rumeurs, les responsables de la Commune libre de Clermont su l'Gau ont le projet de construire un géant qui pourrait se fiancer avec Belle de mai . Les fêtes ne sont pas terminées à Strée en Hainaut et Clermont lez Walcourt !
La nouvelle buvette est opérationnelle depuis le 7 mars (2010)
L’ancienne buvette datant de 1966 vandalisée et incendiée le 17 décembre dernier a laissé place à une nouvelle infrastructure à Clermont, bâtie à l’étage, au-dessus de vestiaires également rafraîchis.
Bien que l’inauguration officielle doive encore avoir lieu, ces nouvelles installations ont été foulées pour la première fois il y a trois semaines, à la plus grande joie de son secrétaire.
“ Six entreprises ont participé à ce projet, dont les premières ébauches datent d’il y a deux ans ”, explique Jean Postol. “ Quant aux travaux proprement dits, ils ont débuté en mai. Il était temps que cela se termine.
L’ancienne buvette devenait inhabitable. Nous n’étions plus très loin de l’insalubrité. ”
Jean Postol nous livre les principaux avantages de cette infrastructure: “ C’est nettement plus convivial et surtout plus pratique. La seule chose qui pourrait poser problème, c’est qu’il faut désormais monter des escaliers pour y accéder. ” Toutefois, un ascenseur a également été mis en service: “ C’était une obligation émanant de la Région Wallonne pour obtenir des subsides via Infrasport. Le reste de l’investissement a été pris en charge par la commune. Cet ascenseur est destiné aux personnes non valides. Mais comme nous n’en avons jusqu’à présent pas encore accueilli, il nous sert également à monter les... fûts. ”
Jean Postol est conscient que la destruction de l’ancienne buvette aurait pu davantage porter préjudice au club.
“ Si nos nouvelles installations n’avaient pas été à ce moment sur le point d’être terminées, je ne sais pas comment nous nous en serions sortis.
Heureusement, les matchs remis en raison des fortes neiges de janvier ont fait nos affaires.
Normalement, ce sera aussi la fin du vandalisme. Cette fois, une alarme a été placée. ”
La buvette de Clermont est plus grande et enfin sécurisée. N.T.
Vincent Bedoret remplacera Ph. Bultot .
La démission annoncée de Jacquy Mathy de son poste de député provincial namurois provoque un jeu de chaises musicales qui a des répercussions jusque sur l’échiquier communal de Walcourt. Philippe Bultot, qui remplacera J. Mathy, quitte sa fonction d’échevin.
Philippe Bultot deviendra député provincial namurois. La fonction de président du conseil provincial qu’il occupait jusqu’ici devient donc vacante: un appel à candidatures a été lancé au sein des 17 conseillers provinciaux MR namurois.
Philippe Bultot doit aussi quitter le poste d’échevin qu’il occupait au collège communal de Walcourt. Ce qui amène un double remplacement.
D’une part, comme échevin: c’est Vincent Bedoret, agriculteur quinquagénaire de Clermont, qui le remplacera.
D’autre part, comme conseiller communal. Mais ce n’est que mardi soir que sera chois(e) celui ou celle qui siégera désormais au conseil walcourien.
Les boules carrées se sont croisées .
Vraiment, le village « gaulois » de Clermont n'a toujours pas fini de nous étonner. Après la fête du Blanc Vivier avec sa course à la brouette, la kermesse avec son jogging, ses soirées dramatiques drainant plus de mille spectateurs, son grand feu avec son feu d'artifice, ses cyclos, ses activités Télevie, etc., voici les boules carrées, une originalité que l'on doit au collège échevinal de la commune libre de Clermont'su'Gau.
En fait, il s'agit de la pétanque avec des boules carrées. Vingt-six équipes se sont affrontées sur la place du Puits et dans les environs.
Le résultat définitif a été proclamé le soir en la salle des fêtes par Marcel, le mayeur, assisté de son cantonnier, Jean-Marc Jacquiez, et de son champèt, Jean-Pierre Bricteux. Le classement : 1. Jean-Jacques Boeckx - Valérie Scohy ; 2. Tilou Bricteux - Franck Denruyter ; 3. Frank Charlet - Benoît De Vos ; 4. Alain Clippe - Pascal Charloteaux ; 5. Marie-Anne Gohy - Nancy De Vos ; 6. Benoît Patris - Dominique Blavier ; 7. Cédric Clippe - Jérémy Charloteaux ; 8. Joris Baudson - Julie Dumoulin ; 9. Henri Michaux - Bénédicte ; 10. Jean-Pierre Bricteux - Jean-Marc ; 11. Alain Servotte - Eddy Parent ; 12. Alice Jacquiez - Manon Toussaint ; 13. Viviane Devergnies - Christine Bultot ; 14. Eddy Lo - Marie Leffe ; 15. Paul Lauwers -Thomas Mascaux ; 16. Roland Fondu - Annie Steeno ; 17.Jean Postol - Robert Vanderhaegen ; 18. Aurélien Clippe - Pascal Clippe ; 19. José Ducat - Benjamin Domange ; 20. Gwendoline Dumoulin - Cassandra Lau ; 21. Ariane Labilloy - Patrick Meunier ; 22. Antoinette Jacquiez - Puring ; 23. Gérard Charlet - Freddy Dupuis ; 24. Julien Jacquiez - Vincent Gohy ; 25. Margot Meunier - Angélique Lust ; 26. Antoine Lust - Olivier.
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Les « Gagaye » ont l'amour du tambour (fevrier 2010)
Alexa ndre Meunier, dit Gagaye le sabotier, épouse Clémentine Matis le 31 mai 1856. Ils occupent une petite maison au lieu-dit « Al'tchapel » et de leur mariage naissent trois filles et quatre garçons. Alexandre est conseiller communal.
Mais que faisait-on de ces loisirs en ce temps-là ? Alexandre apprend les rudiments du tambour et les inculque à ses fils (Placide, Jules, Camille, Victor). Seul le premier, membre fondateur des sapeurs-pompiers de Clermont, poursuivra cette passion et pourtant, ne voit-on pas, à un certain moment, le père et ses quatre fils participer en grande tenue à la marche Saint-Roch à Thuin et probablement à d'autres marches. Il paraît même qu'ils faisaient l'aller et le retour de Thuin en tambourinant, tout cela après avoir effectué les quelque 12 km du parcours ?
Il faudra attendre deux générations pour voir revenir l'amour du tambour avec Charles Gonze (un des grands spécialistes des ra et des fla) et son cousin Alfred Clocherieux. Puis, une génération plus tard avec Gaston et Charles Antoine et Paul Walbrecq et, plus proche de nous, Maxime Garbar.
Mais il y a quelques jours, c'est Benjamin Domange, toujours de Clermont, une 8e génération qui est arrivé. Âgé de 8 ans, il vient, après quelques mois d'apprentissage au maniement des baguettes, de participer à la répétition de tambours de la société de gilles clermontois « Les T'chequetis » . Aux prochaines soumonces, nous le reverrons ainsi au carnaval local.Ch.C.
21 décembre 2009
Jean Léotard nous a quittés
Nous avons appris le décès de Jean Léotard survenu ce dimanche.
Jean Léotard, véritable personnalité du village de Clermont mais aussi de l'entité de Walcourt s'est fait connaître du public entre autres par ses talents d'historien.
Auteur de nombreux papiers du cercle d'histoire, Jean Léotard s'est également illustré en publiant seul ou avec la collaboration d'autres historiens comme notre correspondant Charles Clocherieux, de nombreux livres retraçant le passé de son village, de sa région.
On se rappellera La Région de Walcourt-Beaumont pendant la seconde guerre mondiale une véritable fresque de tout ce que fut la seconde guerre mondiale dans la région, une fresque en plusieurs épais volumes qu'il signa avec Jean-Louis Roba.
Un récit fait de milliers d'autres allant aux moindres détails qui a demandé à Jean Léotard comme à Jean-Louis Roba des années de recherches aux quatre coins de la région mais aussi du royaume.
Mais fouiner était pour lui tout autant un devoir qu'une passion et rien de ce qui voulait imprimer ne pouvait souffrir le moindre doute de véracité.
La grande Histoire donc mais aussi la petite histoire comme celle de son village. Que de fois n'a-t-on fait appel à Jean Léotard pour éclairer une zone d'ombre d'un passé plus ou moins lointain, que de fois n'est-on allé l'interroger pour préparer quelque cérémonial local comme les histoires des veilleurs de nuit dont Clermont peut s'enorgueillir chaque année.
Aimable, attentif à tous, toujours accueillant pour pouvoir apporter l'info souhaitée, Jean Léotard a tourné la dernière page de sa vie à l'âge de 83 ans.
Les funérailles devraient se dérouler mercredi à Clermont.J.L.
Mme Cabas a réglé ses comptes
Avant de proposer leur pièce en wallon, Les Amis du Goûter de Noël se sont retrouvés, pour la 25e fois, autour de Madame Cabas, dans la revue satirique « En chuvant l'Gau ».
Une revue qui est l'occasion pour le personnage central, alias Madame Cabas, de remettre les pendules à l'heure et de régler quelques comptes avec celles et ceux qui, durant l'année écoulée, se sont fait remarquer par l'une ou l'autre bêtise. Et, parmi ces auteurs de dérapage non contrôlé : les citoyens de Strée, le village tout à côté que Madame Cabas a en ligne de mire. Pour se rappeler tous ces faits et gestes qui prêtent essentiellement à rire, la bonne vieille dame s'est fait aider de ses deux auteurs favoris, Albert Scohy et Eddy Parent.
Mais, la revue clermontoise est aussi l'occasion pour les jeunes recrues des A.G.N. de monter sur les planches et de faire montre de leur talent. Autour des acteurs plus chevronnés, on a ainsi retrouvé Mélise Briclet, Thibaud Hautier, Jérôme Jacquiez, Clément Laloyaux, Henri Laloyaux, Morgane Briclet ou encore Justine Hanon, l'accompagnement musical étant signé Damien Laloyaux.
Faire rire, grâce aux malheurs des autres, est un procédé vieux comme le monde et ce n'est pas seulement les Djins dès Strée qui ont été pointés du doigt, l'autodérision étant, elle aussi, au menu de Madame Cabas et de ses Clermontois.
On a donc ri et beaucoup ri, même si plus d'un a trouvé Madame Cabas moins incisive qu'il y a quelques années. L'âge aidant, ne serait-elle pas en train de ramollir et d'oublier quelques-unes de ses victimes favorites ?
Sans doute un passage à vide d'une certaine tendresse peu coutumière chez l'honorable dame. Tendresse qui ne devrait trop durer, du moins c'est ce qu'espèrent les amis des Amis du Goûter de Noël .
J.L.
Les AGN : « Dès loques su m'sure »
D'excellents acteurs avec des rôles taillés sur mesure par Albert Scohy. Les AGN. ont a nouveau fait un tabac devant un public fidèle.
Jean LANNEAU
Depuis le w eek-end dernier, les Amis du Goûter de Noël (AGN) de Clermont sont à nouveau sur les planches pour leurs rendez-vous habituels de fin et début d'année. Des rendez-vous que le public aussi n'a pas voulu manquer, toutes les représentations se jouant à bureau fermé.Les loques
Les acteurs clermontois ont beau avoir une tradition d'excellence, ils doivent disposer d'une bonne pièce pour mettre en évidence toute l'étendue de leur talent. Il en est de même pour le metteur en scène et homme-orchestre de la troupe, Albert Scohy, qui s'efforce chaque année de trouver ce qui conviendra le mieux à son effectif.
Et c'est justement parce qu'il ne trouvait que peu de choses à mettre sous la dent des AGN qu'il a décidé de prendre la plume et d'écrire lui-même la pièce proposée pour cette année. À noter qu'il ne s'agit pas d'une première puisqu'Albert Scohy a déjà signé d'autres productions pour ses troupes, mais cette fois c'est en toute dernière minute qu'il s'y est pris.
Début août, il a ouvert le rideau de sa première feuille blanche, contraint et forcé d'aller très vite, les premières répétitions commençant comme d'habitude début septembre. Et à la rentrée des classes, l'effectif était au poste pour se lancer les premières répliques.
Avec « Des loques su m'sure », l'auteur clermontois a fait entrer le public dans le monde de la haute couture. Un monde lui aussi plongé dans la crise. Fernand et sa femme Yvette, les patrons de l'entreprise, vont avoir fort à faire d'autant plus que la concurrence existe et que certains laisser-aller de gestion vont plonger l'entreprise dans le rouge. Heureusement, il y a Marion, une jeune et talentueuse styliste qui va prendre le taureau par les cornes. Elle a plus d'un tour dans son sac et dispose de pas mal d'atouts, ignorant cependant elle-même le principal d'entre eux...Fernand, Marion et les autres
Comme précisé plus avant, si les loques sont sur mesure, les différents rôles imaginés par Albert Scohy le sont également. L'auteur a su exploiter la personnalité de chacun et a su mettre en valeur le potentiel théâtral de ses acteurs et actrices.
Le résultat ne s'est pas fait attendre et à tout moment les personnages se retrouvent dans des situations qui déclenchent les éclats de rire. Chaque acteur est à sa place et cela se sent. Mais nous nous permettrons de mettre en évidence le rôle de Nadège qui est campé par Marie-Thérèse Dropsy. Un rôle pas facile d'épouse bien peu délurée qui a fait mouche à chaque réplique, un rôle de composition, cela va de soi...
Une dernière particularité à souligner : le soin et l'originalité de la mise en scène qui viennent compléter le tableau du nouveau succès des AGN.
Football:
la buvette de Clermont vandalisée et incendiée!
Jean Postol, le correspondant qualifié du FC Clermont sur les lieux du sinistre. .Dans la nuit de mercredi à jeudi, la buvette de FC Clermont a été incendiée et dévalisée. “ C’est déjà la 19e fois en trente ans que cela se produit ”, déplore le secrétaire clermontois, Jean Postol. “ Les auteurs s’y sont, apparemment, repris à deux reprises pour réaliser leur coup: vers 3h30 et 5h30.
nicolas toussaint
“ Notre buvette est ravagée aux trois quarts et, évidemment, les victuailles et des boissons ont été emportées.
Heureusement, il ne restait plus grand-chose comme réserves, puisque nous n’avons plus de match à y disputer avant l’année prochaine. ”
Jean Postol espère que, cette fois, les coupables seront découverts: “ Nous avons quelques indices intéressants. C’est avec une voiture française, dont on a pu identifier les deux premiers et deux derniers chiffres ou lettres que les pyromanes ont agi. Une enquête est, bien entendu, ouverte. ”
Dans son malheur, le club clermontois pourra néanmoins disposer, pour la reprise, de sa nouvelle buvette: “ Elle devrait être opérationnelle depuis la mi-octobre, mais les travaux ont pris du retard.
Il reste quelques aménagements à apporter au niveau, notamment, de l’électricité, mais en principe, en janvier, nous pourrons l’occuper. ”
Les bons voeux du Mayeur et de ses collaborateurs.
Les moissons à Clermont cet été!!!
http://www.canalc.be/content/view/4801/356/
Le vieux marronnier n'est plus
Hier, en début d'après-midi, le vieux marronnier de la route de Strée a décidé d'en finir avec la vie, après quelques centaines d'années de bons et loyaux services.
Classé par la Région wallonne, il en avait vu de toutes les couleurs : les guerres, les événements de tous genres, les processions.
Dans un grand bruit, il s'est laissé tomber sous le poids de sa charmille, pourri au pied, sur la chaussée, emmenant avec lui fils électriques et lignes téléphoniques et brisant même un poteau électrique.
Le service des pompiers de Clermont, arrivé rapidement sur les lieux, a commencé à le débiter afin que la circulation locale puisse continuer, une circulation réglée par la police de la zone Flowal.
Les services d'Electrabel et du téléphone ont été requis afin de parer à toute éventualité.
Il ne pourra plus, comme auparavant, laisser glisser son ombre sur le banc annexé, ni sur la chapelle contiguë. Ch.C.
Heureusement que notre ami Jules n'était pas assis sur son banc!!!!
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L’ascenseur servira à monter les fûts... ”
Buvette
Les travaux entamés le 18 mai à la nouvelle buvette du FC Clermont, érigée désormais à l’étage au-dessus des vestiaires, devraient être terminés pour le 15 octobre.
La grosse nouveauté, c’est que pour accéder à ce bâtiment, dont les châssis devraient être posés cette semaine, on pourra utiliser un... ascenseur.
“ Pour que nous soyons subsidiés par la Région Wallonne, il y avait quelques normes à respecter ”, explique le délégué clermontois, Yves Smet. “ Parmi les règles à respecter, il y avait celle de disposer d’un ascenseur afin de permettre aux personnes à mobilidité réduite de pouvoir accéder à notre buvette. ”
Ainsi, celle-ci pourra accueillir près de 80 personnes, mais l’ascenseur ne devrait pas pour autant faire l’objet d’une utilisation extrême.
“ Les temps sont durs concernant l’affluence dans les petits clubs ”, poursuit Yves Smet. “ On profitera néanmoins de cet ascenseur pour faire monter les bacs et les fûts (rires). ” (N.T.)
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Clermont : sécuriser les abords de l'écoleLe cdH s'est abstenu sur l'approbation du cahier des charges relatif au projet de sécurisation des abords de l'école de Clermont. Explications.
Vincent PINTON
Dans le cadre du Pla n Escargot 2009, la Commune de Walcourt a introduit un projet de sécurisation des abords de l'école communale de Clermont. Retenu par la Région wallonne en juin, le dossier passe à l'étape suivante avec l'approbation du cahier spécial des charges par le conseil communal. Pour rappel, il s'agit d'un marché s'élevant à 269 853 € TVAc subsidiables à hauteur de 200 000 €.
« Bien que je voterai ce projet, j'estime que l'on ne règle pas le problème de la circulation au niveau de la rue de Castillon, alors que c'est à cet endroit qu'il se trouve », déclare l'échevin Abel Gouverneur, en tant que grand-père venant régulièrement reprendre ses petits enfants dans cette implantation scolaire.
« Le projet prévoit de faire transiter toute la circulation dans la ruelle alors que c'est via cette voie que tous les enfants rentrent vers le village, poursuit-il. Dans ce dossier, je trouve que l'on aurait pu tenir compte de l'avis des parents. » Et c'est justement ce manque de concertation avec les utilisateurs directs qui a motivé l'abstention du groupe cdH.
« Pour être certain de décrocher les subsides, nous devons tenir compte de l'avis de la Région », justifie Agnès Biernaux, échevine en charge du dossier. Et de poursuivre : « Le projet sera soumis à enquête publique lors de l'introduction du permis d'urbanisme ». Compte 2008 du CPAS L'approbation du compte 2008 du CPAS constituait le second point important de cette séance de rentrée du conseil communal de Walcourt. Le receveur Denis Denoncin est venu commenter ce compte et répondre aux questions des conseillers aux côtés du président Bernard Degimbe. Au service ordinaire, le boni affiche un montant moins important que les années précédentes (91 254 €).
« Cela s'explique tout simplement par le fait qu'en 2008, le compte constitue une image fidèle du budget réalisé », justifie le receveur. Les dépenses de personnel ont augmenté de 2,51 % ; ce qui s'explique principalement par les trois sauts d'index et le fait que trois agents soient passés du statut de contractuels à celui de statutaires. Les dépenses de fonctionnement accusent une légère hausse de 0,38 %. La plus forte augmentation se situe au niveau des dépenses de transferts ; c'est-à-dire celles qui concernent directement l'aide et la réinsertion sociale. Les dépenses relatives à l'aide sociale ont grimpé de 12,50 %. Mais cela s'explique surtout par l'index et non par l'augmentation du nombre de bénéficiaires.
Enfin, les dépenses de dettes accusent l'impact de l'achat des bâtiments de Thy-le-Château et de Berzée. Les recettes sont globalement en augmentation également. Cela est dû, entre autres, à l'augmentation des prestations des aides-ménagères et à l'augmentation de la part communale de 137 000 € par rapport à 2008. Au service extraordinaire, les investissements 2008 ont été relativement minces. Les engagements s'élèvent à 276 839 € dont 259 000 € représentent des reports de 2007 à 2008. -------------------------------------------------------
Attention à votre vitesse dans Clermont !!!
(Cliquer pour agrandir)
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Cuistax et jogging sur la ligne
Le retour des cuistax, après plusieurs années d'absence , a marqué la kermesse de la commune libre de « Clérmont su'l'Gau ».
En prélude à cette animation, on a eu droit au 12e jogging de La Clermontoise dirigé, de main de maître, par Didier Garbar, assisté du comité organisateur mais aussi de nombreux bénévoles. Près de 300 coureurs s'étaient donné rendez-vous sur un parcours très sélectif. C'est Fabrice Pasque qui a remporté l'épreuve, couvrant les 12,5 km en 44'08, soit à 17,129 km/h de moyenne. Il faut dire que plusieurs autres courses annexes avaient été mises sur pied avec une Mini-Clermontoise et des Jeunes foulées .
Le soir, c'est avec deux manches d'une heure que les dix cuistax inscrits sont entrés en action. Le lendemain, rebelote avec, cette fois, un gymkhana d'adresse et familial à la fois.
C'est à l'issue de cette épreuve, suivie par un public fourni, que les résultats ont été proclamés, tout cela avec le concours du speaker de service qui fut excellent. Malheureusement, il n'en fut pas de même pour la sono du soir qui, après une certaine heure, aurait dû baisser un tant soit peu le ton... Mais cela, c'est une autre histoire.
Lundi, ces infatigables se sont, de nouveau, donné rendez-vous pour un concours de pétanque réunissant trente-cinq équipes.
Les résultats du gymkhana : 1. Les fous du Blanc Vivier, 2. Zébra strétois, Jésus sans Zacher à purette, 4. Les Dingos, 5. Toi Toi Mon Toi, 6. The Muppet's show, 7. Jeunesse de Donstiennes, 8. Jeunesse de Clermont, 9. Jeunesse de Strée.Ch.C.
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Georges hautier nous a quitté, il était l'ami de tous et était très apprécié à Clermont, au revoir et courage à sa famille.
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Le Blanc Vivier en fête
Pour la troisième année, le ha meau du Blanc Vivier était en fête le 21 juillet. Deux chapiteaux dressés dans une prairie proche du hameau, plusieurs stands, le drapeau national présent : que fallait-il de plus pour recevoir les amis et passer ensemble une bonne partie de la journée dans la nature sous un soleil de plomb.
Les organisateurs avaient prévu deux animations. La première, une course de brouettes en deux manches avait réuni neuf équipages, sur un parcours assez dur mais roulant. Sur le coup de 18 h, le drapeau à damiers s'est abaissé donnant la victoire aux « Sans noms » de Castillon avec 55 tours, suivis du « N'importe » (53 tours) de Clermont ; la Jeunesse de Clermont (43 tours) ; les « Schtroumfettes » (36 tours) ; les « Paratacs » (34 tours) ; la « Bière de Noël » (11 tours) et le « Cadeau bière de Noël » (7 tours).
Et, dans les stands, on pouvait déguster le second concours de la meilleure recette de tarte ou dessert, avec, au choix la tarte au sucre coulant, excellente pâte levée naturelle de Danièle Charlet et Pilou du Ventoux ou la mousse au chocolat sur lit de crème vanille de Sophie Ducat ou la tarte retournée recouverte de crème vanille et garnie d'ananas de Francine Maronet.
Et le soir, tout un chacun pouvait apporter sa viande et la faire griller sur les barbecues, les crudités étant offertes par les organisateurs.
Le samedi 1er août, le hameau sera présent à la ducasse locale avec une équipe pour la course de cuistax.Ch. C.
Paulette Clocherieux prête serment
Suite à sa décision de quitter le groupe PS, Éric Dubois s'est vu retirer son mandat de conseiller du conseil de police. Et c'est donc la clermontoise Paulette Clocherieux qui lui a succédé.
Épouse du regretté Pierre Cantigneaux, qui a été conseiller communal lors de la toute première législature après les fusions, Paulette Clocherieux n'en est pas à son coup d'essai en politique communale. Elle a connu deux mandats d'échevine de l'État Civil dans l'entité de Walcourt et d'autres mandats de conseillère communale tantôt dans la majorité, tantôt dans l'opposition.
Elle a aussi occupé, des années durant, le poste de présidente du conseil culturel avant d'en devenir la vice-présidente, mandat qu'elle assure toujours à ce jour. J.L.
11 200 € pour le Télévie !Le comité du Télévie Clermont vient de terminer ses comptes pour l'année 2009. La promesse faite lors de la fête du Télévie à Jambes sera respectée et la coquette somme de 11 200 € sera envoyée à l'oeuvre.
Le comité remercie tous ceux qui se dévouent chaque année à cette oeuvre ainsi que ceux qui gravitent autour d'elle telles la journée VTT mise sur pied par Luc Vandevelde et celle des motos organisée par Jean-François Dorigneaux et ses amis. Il convient également de remercier les sociétés locales pour leurs dons : la Truite clermontoise, la salle paroissiale, Mont Clair et l'ASBL Cantigneaux.Plus de 120 000 € en tout
En quatorze années d'organisation, ce comité aura remis à l'oeuvre plus de 120 000 €. L'an prochain, l'opération sera de nouveau mise sur pied et le comité accueillera les bénévoles souhaitent rejoindre l'organisation. Bravo ! Ch. C.
La place du Puits prise d'assaut
Dimanche, il était 8 h et pas mal d'ancêtres stationnaient déjà sur la place du Puits, répondant ainsi à l'invitation du club d'ancêtres local dirigé par Claudy De Bels, avec la collaboration des gilles « Les T'Chequetis ». À 9 h, on avait fait le plein sur la place.
Après l'accueil à la salle communale, le petit-déjeuner et la distribution des road-books, le groupe s'est élancé à allure réduite vers Thuin où les participants ont été accueillis par le corps des sapeurs-pompiers.
Démonstration d'un refus de priorité de droite, avec un réalisme saisissant - deux sapeurs jouaient le rôle de blessés - et c'était l'épreuve de la désincarcération.
11 h 45 : il était temps de rejoindre Clermont pour le repas de midi.
L'après-midi, nouvelle promenade avec un arrêt sur la place de Strée, histoire de faire voir les véhicules. Mais tout a une fin. Il fallait se quitter, non sans avoir reçu les remerciements de l'organisateur, quelques cadeaux et la promesse de se revoir l'an prochain.En direct de la place
- On a recensé 110 voitures anciennes de plus de 25 ans. - La plus ancienne était une De Dion Bouton de 1913, appartenant à Jacques Guelton, de Wanfercée-Baulet.
- Elles étaient venues des quatre coins du pays (Ath, Beersel, Woluwe, Schaerbeek, Lommel, Lillois, Villers-la-Ville...) mais également de France et du Luxembourg.
- Marcel De Reu, ancien président de Peugeot Aventure, fut fêté pour ses 80 ans ainsi que son successeur, Alain Piefort.
- Un bravo spécial à Philippe, le speaker de service, qui n'a pas manqué de commenter l'âge et les performances des plus vieilles voitures.
Ch.C.
Buvette du Fc Clermont
Les travaux de la nouvelle buvette du foot ont commencé ''enfin'' diront certains!!!!
L’actuelle buvette de Clermont date de 1967 et va connaître un « relooking » assez important. Le choix de bâtir au-dessus des vestiaires permet une moindre occupation du sol et réduit donc l’espace à chauffer, tout en offrant une vue panoramique sur les deux terrains.
L’actuelle bâtiment se verra donc agrandi et connaîtra de nettes améliorations : isolation thermique extérieure, remise en état complète de l’intérieur, ajout de toilettes et douches plus performantes.
A l’étage, nouveaux locaux avec sanitaires, buvettes, bar, balcon avec accès extérieur. Un monte personne permettra l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite.
Le coût des travaux est estimé à environ 300.000 euros (chiffre de 2006 susceptible d’être revu à la hausse), dont 140.000 euros de subsides.
Voici deux maquettes réalisées par l’architecte en charge du projet, Christian Goblet : une vue du bâtiment et de la cafétéria.
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L'ADMINISTRATION COMMUNALE DE FLORENNES RECRUTE
SAPEURS-POMPIERS VOLONTAIRES (H/F) ET D’AMBULANCIERS VOLONTAIRES (H/F) pour son service d’incendie, casernement de Florennes et poste avancé de Clermont.
Les candidats doivent :
1. être ressortissants d’un pays membre de l’U.E.;
2. être domicilié dans la Commune où est situé le service d’incendie ou dans un rayon tel qu’il puisse rejoindre le casernement dans un laps de temps de 15 minutes ;
3. être âgés de 18 ans au moinsà la date limite fixée pour le dépôt des candidatures ;
4. être de taille égale ou supérieure à 1,60 m ;
5. être de bonne conduite, vie et mœurs ;
6. pour les candidats masculins, être en règle avec les lois sur la milice ;
7. Satisfaire à un examen médical approfondi éliminatoire qui précédera toujours les épreuves d’aptitude physique et de sélection, celles-ci n’étant accessibles qu’aux candidats reconnus médicalement aptes (il est conseillé aux candidats de venir à cet examen avec une RX thorax, une RX lombaire, un ECG effort et les résultats d’une prise de sang récente) ,
8. Les candidats doivent :
- Être de constitution robuste leur permettant d’effectuer des efforts physiques fatiguants et prolongés, d’affronter les intempéries, de marcher et courir sur tous les terrains, de ramper, de grimper, de sauter, de nager, de porter de lourdes charges (poids d’un homme, soit ± 70 kg) ; - Ne pas être sujet au vertige ; - Pouvoir résister au maximum à la fumée ; - Avoir une acuité visuelle, au besoin avec verres correcteurs, de 13/10 totalisée aux deux yeux, avec un minimum de 3/10 à l’œil le moins bon ; toutefois, l’acuité visuelle sans verres ne peut être inférieure à 5/10 totalisée aux deux yeux ;
-Avoir une acuité auditive à chaque oreille, sans port de prothèse, suffisante pour permettre d’entendre la voix normale de la conversation à une distance de 2,50 m, le dos tourné vers le médecin examinateur;
-N’être atteint d’aucune infirmité susceptible de nuire gravement à leur prestige dans l’exercice de leurs fonctions.
9. Satisfaire aux mêmes épreuves physiques et de sélection que celles exigées pour les professionnels (art. 9, points 10 et 11) du Règlement organique (chute faciale, flexion des bras, équilibre, grimper 4 mètres à la corde, monter à l’échelle aérienne 20 m, porter sur 50 m, saut en longueur, saut en profondeur, course 2500 m).
10. Obtenir le brevet d’Aide Médicale Urgente et ce, endéans les 2 années de l’engagement;
11. Être titulaire du permis de conduire de la catégorie B et s'engager à obtenir le permis de conduire de la catégorie C avant la fin du stage.
Pour être recevables, les candidatures, accompagnées d’un C.V et d’un extrait du casier judiciaire, doivent être envoyées pour le 29 mai 2009 au plus tard à l’adresse de Monsieur Stéphane LASSEAUX, Bourgmestre, Place de l’Hôtel de Ville, n°1 à 5620 – Florennes.
L’indemnisation des prestations se fait au barème en vigueur, selon les heures prestées (actuellement 13,44 € / h brut).
La désignation à titre effectif intervient sur base d’un rapport du Chef de corps, après un an de stage et de formation.
Toutes informations complémentaires peuvent être demandées au service du personnel : Monsieur Romuald ZIESSEL, Place de l’Hôtel de Ville, 1 à 5620 – Florennes – 071/68.11.19 – Fax : 071/68.11.11, pendant les heures habituelles de service ou par courriel : romuald.ziessel@florennes.be.
Par le Collège,
Le secrétaire Communal ff, Le Bourgmestre
Nouvelle parure pour l'église
Après quatorze mois de gestation, l'église Saint-Pierre aux Liens a retrouvé son ancienne parure. Des travaux importants qui ne devaient durer que quarante jours ouvrables avaient été entrepris mais les échafaudages sont restés en place. Pendant quatorze mois.
Il s'agissait du ravalement de la façade et de la tour du clocher grâce à un nouveau cimentage des endroits fissurés.
Les travaux ont coûté 73 248,24 € (hors TVA) sans subsides et sur fonds propres.
Cet édifice néogothique à trois nefs a été construit en 1859 sur l'emplacement de l'ancienne église, longtemps desservie par les religieux de l'abbaye d'Aulne.
On doit cette construction aux frères Genot, de Vitrival. Achevée, elle coûtera près de 50 000 francs soit 1250 €.
Petite anecdote : le 21 février 1943, les Allemands enlevèrent la plus grosse des deux cloches et la destinèrent à la refonte. Elle échappa au massacre et fut restituée le 24 octobre 1954. On peut y lire la dédicace suivante : « Je fus enlevée par l'occupant en 1943 et renais dans la paix en 1954. Marie est mon nom, dédiée à la Vierge Immaculée, en cette année mariale 1954. Mon parrain est Charles Bedoret ; ma marraine, Mme Adam, née Émilie Lepine ».
Le 27 octobre 2002, une violente tempête s'est abattue sur la région. La croix et le coq n'ont pas résisté à l'assaut du vent. L'oiseau s'est pour ainsi dire envolé et le socle sur lequel reposait la croix s'est fracturé, provoquant un descellement partiel de la croix.
Il faudra attendre trois ans pour voir de nouveau le coq tourner au gré du vent.
Ch.C.
Clermont : de la bière à la fontaine
Miracle à Clermont ?
La bière a remplacé l'eau au sortir de la fontaine du village... Une promesse du « mayeur » tenue ce week-end
La vieil le pompe dressée sur la place du Puits n'en revient pas. Après avoir été sauvée de la destruction par Mont Clair en 1975 et avoir repris vie sur la place du village, elle vient de vivre un événement tout à fait exceptionnel. Pensez donc : au lieu de verser l'eau, c'est de la bonne bière qui a coulé à travers son corps pour se déverser dans le bassin ad hoc.
C'est de par la volonté et l'astuce de Marcel Gohy, mayeur de la commune libre de Clermont su'l'Gau et de ses acolytes, Jean-Pierre Bricteux, el champèt et Jean-Marc Jacquiez, el cantonnier que ce mystère s'est produit. En effet, lors de son élection, le mayeur avait promis que tôt ou tard, il ferait couler un délicieux breuvage de la pompe. C'est donc en prélude à la ducasse que ces trois associés, avec leurs fonds propres, ont invité la population à venir déguster ce breuvage. Un apéro qui laissait présager une très bonne fête.Ch.C.
“ Roger Federer est plus fort que jamais ”
Mardi 7 juillet 2009
Didier Garbar
Occupé à jouer du taille-haie quand nous l’avons contacté, Didier Garbar était tout guilleret suite à l’énorme succès rencontré par les tournois de volley organisés ce dernier week-end à Clermont (Walcourt): “ Nous avons accueilli 600 joueurs; c’est incroyable! ”, s’exclame le joggeur clermontois qui, du coup, n’a pas suivi le nouvel exploit de Roger Federer en direct. “ Ce que le Suisse vient de réaliser est exceptionnel! Après avoir connu une petite baisse de régime, il est revenu plus fort que jamais, remportant son premier Roland Garros avant d’enchaîner par ce nouveau succès à Wimbledon. ”
Si notre interlocuteur a beaucoup de respect pour le nouveau recordman des victoires (15) en Grand Chelem, il apprécie également les grands coups d’un jeune Français: “ Je suis moins le tennis qu’auparavant, mais j’aime bien regarder Gaël Monfils; sa rage de vaincre fait plaisir à voir. ”
Pour ce qui est du plus grand sportif de tous les temps, l’organisateur du jogging (12,6 km) La Clermontoise (1er août) a sa petite idée: “ Pour moi, le “ king ”, c’est Eddy Merckx. Il s’agit évidemment d’une autre époque, avec beaucoup moins d’argent en jeu. Joël Robert, en motocross, est également un très grand monsieur. ”
Le 24 avril 2009
Cinquante années de théâtre
Le cercle théâtral « Les Amis du Goûter de Noël » fête ses cinquante années de planches. Avec une exposition en la salle communale.
Charles CLOCHERIEUX
Clermont, 1959-2009 : le cercle théâtral Les Amis du Goûter de Noël, ce sont cinq extraits d'opérettes célèbres, neuf spectacles chantés, douze cabarets, deux revues en 3 actes, vingt-quatre revues en 1 acte, quarante-huit pièces de théâtre, pour un total de 222 représentations. C'est aussi un bon millier de spectateurs fidèles qui se déplacent, chaque année, pour passer un bon moment de théâtre en leur compagnie.L'histoire
En 1959, Gustave Dorignaux rassemble autour de lui quelques amis afin d'animer le goûter de Noël offert aux pensionnés de Clermont. Passionné de musique, il entreprend de les former à la chanson et réussira à monter, avec eux, des extraits d'opérettes célèbres, telles que « L'Auberge du Cheval Blanc », « Andalousie », « Le Pays du Sourire », « Les Cloches de Corneville ».
Le cercle évoluera ensuite vers le théâtre avec des pièces en français, avant de se spécialiser dans le répertoire wallon. Il connaîtra un succès grandissant qui le conduira, en 1997, en finale de la Coupe du Roi Albert Ier.
Grâce à la bienveillante complaisance de leurs voisins des villages environnants, les membres de la troupe présentent, depuis vingt-quatre ans, une revue en 1 acte, intitulée « En chuvant l'Gau », qui relate, avec l'humour qui convient, les avatars de l'année. Madame Cabas y joue la meneuse de revue, à la verve contestataire et à l'humour grinçant. Huit jeunes de moins de vingt ans complètent la distribution.Anniversaire
Le spectacle qui sera donné en cette fin d'année 2009 évoquera donc les cinquante ans du cercle mais aussi les vingt-cinq ans de la revue ! On nous promet de mettre les petits plats dans les grands !
Dans l'immédiat, une grande exposition aura lieu, en la salle communale de Clermont, les samedi 25 et dimanche 26 avril. Elle rassemblera plus de 120 photos grand format, tous les albums de la société, des documents, des vidéos, des articles de presse, des objets, des souvenirs personnels.
Par cette exposition, les membres actuels veulent rendre hommage à tous ceux qui les ont précédés et qui ont fait le succès du cercle, depuis un demi-siècle. Ils les invitent à venir les rejoindre. Ce sera l'occasion de revoir quelques personnes telles qu'on les a connues, voici quelques années.
Et bienvenue également à tous ceux qui n'ont jamais goûté des planches mais qui viennent applaudir régulièrement les comédiens et à tous ceux qui ont envie de fouiller dans la boîte aux souvenirs.
À travers de nombreuses photos et documents d'archives, venez parcourir les souvenirs du cercle théâtral clermontois.
Exposition ouverte : samedi 25 avril, de 14 h à 20 h, et dimanche 26 avril, de 10 h 30 à 20 h.
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Pas d'éoliennes à Clermont-Walcourt !
La société Alternative Green projette la construction de 14 éoliennes à proximité de Clermont. Vive réaction de lecteurs.
Nous marquons notre vive opposition à la création d'un parc d'éoliennes sur le territoire de notre entité communale, proposé la société « Alternative green » de Louftemont (Léglise), tel que présenté le 19 mars en la salle communale de Clermont.
Les raisons de notre opposition reposent sur deux éléments, à savoir :
1° - La fiabilité de cette S.A. Alternative green. Cette S.A. a été créée par trois personnes : un couple, M Luc André Van Marcke et son épouse Mme Marleen Nathalie Coppens, ainsi que M. Frans Angèle De Vos, demeurant à Bruges.
Avec son capital de 62 000 €, la S.A. Alternative Green ne dispose même pas assez de capital que pour transporter une seule éolienne venant d'Allemagne par transport routier spécial.
Que dire de leur achat éventuel d'une seule éolienne dont - selon le fabricant - le prix se situe entre 2,5 millions d' uros et 3 millions d'€ ?
Ces sociétés n'ont aucune réalisation à nous présenter et leur proposition d'implantation sur notre territoire est une « tentative d'essai ». Nul chez eux semble pouvoir se prévaloir d'une longue expérience en la matière.
Sans aucune analyse de marché, sans le moindre diplôme, sans reconnaissance préalable de qualification, n'importe qui peut, avec un très faible capital se lancer dans l'aventure. Généralement, les banquiers suivent, compte tenu des juteux profits que génèrent des parcs d'éoliennes.
La seconde raison de notre opposition repose sur le mensonge médiatique envers les énergies renouvelables que sont les éoliennes. Nombre de communes s'accrochent à ce qu'elles considèrent comme prodiguant de juteux revenus communaux, sans aucune considération pour leur population.
Les communes qui adhèrent - par cupidité ou ignorance - à de tels projets mettent en péril pour des dizaines d'années la sérénité de leur propre population (et électeurs), cassent définitivement le cadre paysager rural qui nous est propre, révoltent des milliers de ménages, usurpent la confiance qui leur fut accordée lors des derniers votes communaux.
Les réunions d'information ne sont que des réunions de désinformation, car prétendre que des milliers de ménages d'une entité vont bénéficier de retombées vertes agréables ne nuisant pas à l'éternelle couche d'ozone, et prétendre que chaque éolienne fournit X milliers de KW dont chacun va profiter, c'est un mensonge par omission.
Regardez le parc de Tarcienne, combien ne sont-elles pas, languissantes, à l'arrêt ? Roland et Zanna COLLIGNON - KRUGLEJA
rue de Baileux, 57,
Fraire (Walcourt)
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Clermont : le vent tourne pour les éoliennes
Consultation houleuse jeudi à Clermont, autour du projet d'Alternative Green d'implanter 14 éoliennes entre la ferme de Viscourt et Donstiennes Luc Van M arcke, administrateur-délégué de la société, ne s'attendait pas à une telle opposition... Des contacts bien avancés avec la commune de Walcourt, un dossier présenté aux services de l'Urbanisme de Thuin lui laissait augurer d'un regard favorable sur son projet qu'il qualifie de citoyen. C'était sans compter sur la mobilisation des habitants de Clermont et Thuillies, présents en nombre à la salle communale de la place du Puits jeudi soir. Il faut dire que la séance avait été précédée de la diffusion en toutes-boîtes d'un tract appelant à la contestation. Et les arguments de ce feuillet semblent avoir fait mouche puisque dès la présentation du projet terminée, les questions et interpellations ont fusé. Le bref argumentaire du bourgmestre de Walcourt, affirmant son appui au développement éolien s'il est conçu pour minimiser les nuisances, n'a pas suffi à apaiser les craintes.Nathalie BRUYRVers l'Avenir Sambre-MeuseLes intérêts politico-financiers et la protection du patrimoine paysager ont dominé un débat des plus houleux, marqué notamment par une méconnaissance des procédures applicables pour mener à terme un tel projet (lire ci-contre). Sans doute l'intervention du bureau d'études chargé de l'étude d'incidences n'a-t-elle pas été assez claire pour un public empreint de scepticisme. La projection rapide du timing des opérations n'a eu comme écho qu'un doute sur l'indépendance de cette société, dont l'agrément dépend pourtant de son objectivité à traiter l'ensemble des impacts de la construction et du fonctionnement du parc éolien.Quel financement ?Nombre d'interventions ont également pris pour cible le financement du projet. Les assurances de retombées financières pour les communes concernées n'ont pas rassuré. « C'est nous qui aurons les nuisances, pas ceux de Walcourt ou de Biercée, c'est à nous que devraient revenir ces avantages ... » Au-delà, c'est aussi la question de la responsabilisation de chacun dans la production d'énergie qui est posée. « L'éolien est en train de devenir une priorité économique et non plus une priorité écologique... Ne vaudrait-il pas mieux investir les sommes prévues pour ce parc pour aider le citoyen dans ses efforts pour économiser l'énergie, isoler sa maison, placer des panneaux photovoltaïques ou d'autres installations individuelles... » sont quelques-uns des propos tenus lors de cette séance d'information.Impact paysager et co-visibilité Le second argument développé par les opposants est l'impact sur leur patrimoine paysager. Et là rédie sans doute le fond du problème. Sur cette vaste plaine venteuse entre Thuillies, Donstiennes, Clermont et Mertenne, pas moins de trois projets sont ou vont être proposés à l'approbation des autorités régionales. « Comment réaliser une étude d'incidence valable sur le projet d'Alternative Green sans tenir compte des deux autres projets ? » . La réponse vient du mayeur de Thuin : il n'y aura pas trois parcs car il faut une distance minimum de 6 km entre deux sites éoliens ; le premier qui obtient son permis éliminera dans les faits les autres. Au-delà de la plaine de Viscourt, c'est aussi la question de la co-visibilité qui est posée. Depuis Clermont, on aperçoit d'un côté la pointe des pâles de Tarcienne, de l'autre les mâts d'Erpion. Et le projet d'extension de ce dernier sur Barbençon accroît encore les réticences...Video telesambre sur http://telesambre.rtc.be/content/view/4842/365/(faire copier coller)
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vers l'avenir mars 2009
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"La Passerelle" Mars 2009
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"Sud Presse "Janvier 2009
PHOTO J.-F. CORMAN
Le ton est donné.
Au cours du long entretien qu’il nous a accordé, c’est un homme réellement passionné par l’arbitrage qui s’est dévoilé, non pas un maniaque de la sanction. “J’ai débuté l’arbitrage après une carrière de joueur à Clermont qui m’a emmené jusqu’en 2e provinciale”, explique-t-il. “À 36 ans, j’ai arbitré mon premier match en cadets, à Thy-le-Château. J’ai vite grimpé les échelons pour arbitrer jusqu’en première provinciale.
Pour le niveau national, j’étais barré par mon âge.”
Récemment, des ennuis physiques sont venus contrecarrer la carrière du Clermontois: “En 2005, je me suis blessé aux genoux lors d’un match à Saint-Germain, avec opération à la clé. À partir de là, je me suis contenté d’arbitrer les équipes de jeunes et les matches en P3-P4. Mais je m’en trouve très bien ainsi car l’enthousiasme est toujours là.”
Tellement là que notre homme “ râle ” sec en cette période de trêve prolongée...
En vingt ans de carrière, l’arbitre clermontois a bien entendu vécu pas mal de bons moments. Les mauvais sont plus rares: “Outre ma blessure, un autre mauvais moment aura été un match Rhisnes-Flostoy décisif pour la montée en P2”, avoue Philippe Manon. “Cette rencontre s’était terminée par une bagarre générale, avec débarquement d’ambulances et j’en passe.” (J.-F. C.)
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Venez rire avec eux en bon wallon d'ici
Après la revue, ils nous proposent « L'Ardènète... dîs ans après ».
n.c.
Samedi 6 janvier 2007
clermont dès ce samedi
Deux nouveaux rendez-vous des Amis du Goûter de Noël
Depuis pas mal d'années, les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral de Clermont, présente dès le mois de décembre ses soirées théâtrales. Malheureusement, suite à un tragique fait divers, le calendrier des représentations de fin 2006 a dû être postposé de quelques semaines.
bDepuis pas mal d'années, les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral de Clermont, présente dès le mois de décembre ses soirées théâtrales. Malheureusement, suite à un tragique fait divers, le calendrier des représentations de fin 2006 a dû être postposé de quelques semaines.
C'est donc ce samedi 6 janvier que débute le cycle des représentations à la salle communale clermontoise. Une salle habituée à accueillir pour la circonstance des centaines de spectateurs de Clermont, mais aussi d'un périmètre plus éloigné.
Mme Cabas est de la revue
Une soirée théâtrale des AGN, c'est en lever de rideau une revue en un acte: «En chuvant l'Gau». Une revue qui en est à sa 22e édition et qui est l'occasion pour Mme Cabas, le personnage central, de mettre en évidence tous les travers de la vie du village durant les 12 mois écoulés.
Mme Cabas imaginée et interprétée par Albert Scohy règle ses comptes avec humour, mais aussi férocité, avec quelques-unes de ses cibles favorites. Comme les habitants de Strée, le village voisin, ou encore les autorités communales du grand Walcourt.
Que nous réserve Mme Cabas pour cette année? Nul ne le sait. Mais tout le monde voudrait déjà le savoir.
Autour de Mme Cabas, à la fois attendue et crainte et qu'incarne avec brio Albert Scohy, on retrouvera Morgane Briclet, Caroline Ferré, Justine Hanon, Alice et Jérôme Jacquiez, Joséphine, Clément et Henri Laloyaux et Louis Manon du côté des jeunes interprètes. Et, d'autre part, Marie-Thérèse Dropsy, Françoise Hecq, Josiane Regaert, Mary-Anne Gohy, Chantal Poiret, José Ducat, Eddy Parent, Marcel Gohy, Eddy Lorenzin et André Gohy.
« L'Ardènète »
Comme toujours, le plat de résistance sera composé d'une comédie en trois actes, «L'Ardènète... dîs ans après». Une comédie écrite par Albert Scohy, toujours lui, qui signe en outre la mise en scène.
Le chef d'orchestre de la troupe clermontoise n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il a déjà signé quelques beaux succès de théâtre dont il a fait profiter le public clermontois.
On se retrouve dix ans plus tard pour rencontrer Elisa, la directrice de l'hôtel (Marie-Thérèse Dropsy), Blandine, la femme de chambre (Chantal Poiret), Aurore de Vallon Tourelle, ministre wallonne (Josiane Regaert), Charlote, chef de cabinet (Annie Nalinnes), Zénon Galant, agriculteur wallon (Marcel Gohy), Apoline, sa femme (Françoise Gohy), Véronique, leur fille (Mary-Anne Gohy), Djef van Craenebroeck, éleveur flamand (Jean-Pol Briclet), Liesbeth, sa femme (Françoise Hecq), Rik, leur fils (Benoît Malengreaux), Fernand Noël, Monsieur X (André Gohy) et Alexis de Lautrebois, président de la fédération de golf (Eddy Parent).
Quant à Albert Scohy, on le reconnaîtra sous les traits de Firmin, à la fois portier, sommelier et barman. Dans l'ombre, on trouvera Jean-Jacques Boeckx qui est aux commandes de la régie générale, Ariane Clocherieux qui s'occupe de la régie son et Mauricette Cuignet prête à intervenir pour combler les éventuels trous de mémoire.
À coup sûr, on va beaucoup rigoler durant chacune de ces soirées qui, d'année en année, rassemblent de plus en plus de spectateurs. Une soirée en bon wallon de chez nous à ne pas rater.
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2004
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1966
1983
1984
Les quatre saisons s’invitent à l’école
Le panneau offert par Laurence Afano a été accroché au pignon.
Fin de semaine agitée à l’école communale de Clermont. Jeudi, les élèves ont participé à une marche parrainée dans le village. Vendredi, ils assistaient à l’inauguration d’une fresque murale qu’ils avaient réalisée. Les enfants ont alors été conviés à mettre sur papier leurs dessins et c’est finalement la représentation, toutes classes confondues, des quatre saisons qui a vu le jour, avec le concours et les conseils d’une illustratrice, Laurence Afano.
Et pour remercier l’école, Laurence a offert un panneau illustré représentant les personnages de ses ouvrages, panneau placé, lui, au pignon de l’école.
L’inauguration s’est faite en présence de Freddy Chartier, chef d’école, des enseignantes et de nombreux parents.
Signalons enfin que l’école organisera son souper Halloween le 29 octobre dans ses locaux.
Auteur et illustrateur de livres pour enfants, Laurence Afano est née à Auvelais en 1972. Diplômée en arts plastiques à l’institut Saint-Luc à Bruxelles, elle poursuit alors son parcours à Strasbourg.
Dès 1995, elle édite des ouvrages (une vingtaine à l’heure actuelle) et est même traduite en plusieurs langues. Elle travaille également pour la presse et réalise des travaux graphiques pour divers organismes.
Depuis cette même date, elle anime des ateliers d’illustration au centre culturel régional-théâtre de Namur et enseigne les arts graphiques à l’école normale de Louvain-la-Neuve. Elle vit avec sa famille en Hesbaye.¦
Ch.C.
Avec le club cyclo-touristeLe CCT Clermont en voyage Les cyclotouristes de Clermont viennent d’effectuer leur grand voyage annuel. Après les Vosges en 2010, le groupe est parti en Champagne. Toute la randonnée se fait dans une grande camaraderie et, vers 17 h 30, Epernay est atteint. Ils se retrouvent chez un viticulteur pour une réception dégustative avant de gagner l’hôtel pour le repas et un repos bien mérité. Le dimanche matin, en compagnie du club cycliste d’Epernay, ils partent, 50 km durant, à la découverte de vignes, coteaux et autres villages pittoresques. Inutile de dire que le retour vers Clermont, en car, cette fois, s’est effectué dans une ambiance… pétillante. Le samedi 5 novembre, ils mettront sur pied leur grand souper annuel.
On a dégusté la Clerval à Clermont
Place au sport le samedi, où quelque 270 joggeurs ont arpenté les rues du village.
- Vraiment, on ne sait où vont s’arrêter les décisions et réalisations du collège de la « comune libe de Clermont su’l Gau ». Après l’inauguration d’une plaque à la route du Pachy, le placement de panneaux annonçant la localité, voici les boules carrées, la dégustation à la pompe, la fête du Mayeur, l’omelette à l’Orval et, maintenant, les pralines à l’Orval.
En fait, il s’agissait de fêter dignement le cinquième anniversaire de la commune libre, et pour ce faire, les équipes des différents quartiers de Clermont (le Pachy, le Blanc Vivier, le Centre Ville et l’Agaisse) avec la jeunesse de Strée se sont affrontés tout l’après-midi en des jeux « Intergau », avec animation de la fanfare The Locomotion Varlety Band et cela dans des fresques et frasques avec un concours de danses pour adultes et enfants, des chants, des fables mises à la sauce clermontoise, la danse des derniers mariés, un concours de cuisine, etc.
En fin de journée, le jury, après délibération, proclama les résultats : 1. Strée ; 2. Agaisse ; 3. Pachy ; 4. Centre Ville ; 5. Blanc Vivier. Mais avant que ne débutent ces jeux, il convenait de baptiser cette délicieuse « Clerval » en présence des délégués des communes libres de : le Saint Pholien des Prés de Liège, la Ville libre Saint-Roch de Lessines et bien entendu, Christine Poulin, le bourgmestre en titre de Walcourt et de procéder à l’intronisation de trois nouveaux citoyens d’honneur : Eddy Parent ; Eddy Lorenzin et Alain Bressant.
Le soir, c’est Micro-Climat qui a donné le ton. À noter que le samedi, le 14e jogging, « La Clermontoise », avait réuni pas moins de 270 participants (tous âges confondus).¦
Ch.C.
La recette restera dans mes tiroirs »
Alain Bressant est le créateur de la praline à l’Orval. Elle ne sera pas commercialisée.
- Oui, car au départ, il est difficile de marier l’amertume de la bière avec du chocolat noir.
Alain Bressant, vous êtes chocolatier artisanal à Beaumont et à ce titre, le créateur de la praline à l’Orval. Aviez-vous déjà reçu semblable demande ?
Non, c’est la première fois et je dois dire, qu’au début, je suis resté dans l’expectative en me demandant comment j’allais m’y prendre.
Avez-vous rencontré des difficultés pour l’élaboration de cette praline ?
Comment la définissez-vous ?
J’ai travaillé avec du chocolat au lait. L’intérieur est une ganache noire à l’Orval, on y sent l’amertume de la bière.
Allez-vous la commercialiser ?
Il n’en est pas question. Les organisateurs avaient introduit une demande à la brasserie. Cette dernière n’a pas donné son aval.
Et, alors, qu’allez-vous faire ?
Rien : la recette restera dans mes tiroirs. On ne sait jamais ce que l’avenir nous réserve mais chapeau à Clermont s’l’Gau est pour cette initiative.
Que retirez-vous de tout cela ?
À Clermont, on fait toujours bien les choses ; me voilà fait citoyen d’honneur. Maintenant, que vont-ils encore inventer ?
Ch.C.
Un nouveau lifting pour la pompeRénovée récemment après avoir retrouvésa place d’antan,la pompe publiquede Clermont est désormais pimpante.
Bien avant 1940, une pompe publique existait sur la place, non loin du bâtiment de la bascule. Puis, au fil des années, cette pompe n’eut plus sa raison d’être et disparut suite à l’élargissement de la chaussée et de l’installation de la distribution d’eau. Dans les années 1970, le groupement Mont Clair la dénicha dans un fossé au hameau de l’Ermitage. Comment était-elle arrivée là ? C’est là tout le mystère. Avec la complicité de plusieurs bénévoles, elle fut remise presqu’à son emplacement primitif. Il y a deux ans, le service Travaux de la ville de Walcourt entreprit la rénovation complète de la place du Puits et la vieille pompe déménagea à nouveau. On l’entoura d’un mini-bassin et une alimentation en eau lui fut même offerte. Récemment, elle reçut un nouveau lifting avec une remise en couleurs. Le comité de coordination l’a même garnie de fleurs.¦
Ch.C.
le village a aussi… un Roi, avec Jean-Pol Poiret.
Le village « gaulois » de Clermont vit au rythme de ses manifestations annuelles, mensuelles, hebdomadaires ou habituelles avec le village fleuri, les jeux inter-Gau, la concentration des voitures anciennes, le jogging « La Clermontoise », la fête du Blanc Vivier, les pompiers, le tournoi de volley, le F.C. Clermont, le club cyclotouriste, la marche Adeps, la fête du mayeur, la « commune libe de Clèrmont su’l’Gau », la ducasse du mois d’août, etc. Mais le village possède aussi ses autorités propres.
Il y a cinq ans maintenant, la « commune libe » élisait son premier mayeur en la personne de Marcel Gohy, avec pour adjoint un cantonnier, Jean-Marc Jacquiez et un champète, Jean-Pierre Bricteux. Et depuis la semaine dernière, le village a aussi… un Roi, avec Jean-Pol Poiret.
L’an dernier, Jean-Pol avait été intronisé dans la confrérie des archers de saint Sébastien, cercle privé, à Chimay et, à l’issue de sa première prestation, il s’était vu confier la garde du drapeau, garde qui revient au vice-roi.
Cette année, avec une quinzaine d’archers de la confrérie, lors du traditionnel tir du roi, il s’en est tiré avec tous les honneurs.
Il a, en effet, abattu une poule avant de porter le coup fatal au coq, le sacrant roi. C’est Henri Michaux, également domicilié à Clermont et confrère chimacien, qui aura la garde du drapeau pour une année. Toutes nos félicitations à ces personnalités locales et longue vie à ces manifestations conviviales.¦
Ch.C.
Clermont a vécu à l’heure de son grand tournoi de volley,
le 29e du nom, mis sur pied par l’ASBL Salle paroissiale,que préside Vincent Bedoret.
Un rendez-vous devenu au fil des années incontournable pour celles et ceux qui aiment le sport et le volley en particulier mais qui, en même temps, aiment le folklore et la déconnade.
La météo avait tenu à assurer la présence d’un généreux soleil, gage d’un succès encore plus grand tant pour la journée de vendredi que celle de samedi.
Pour accueillir les 57 équipes et les quelque 500 joueurs, trois sites avaient été aménagés, le terrain de football local, la cour de récréation de l’école et bien entendu le site même de la salle paroissiale, haut lieu de finales toujours acharnées.
Le règlement du tournoi prévoyait quatre catégories : les seniors, les dames, les amateurs et les enfants. Si dans chacune de ces catégories les performances sportives étaient à souligner, il faut bien reconnaître que le folklore était loin d’être banni.
La chaleur et la bière aidant, l’ambiance était à la hauteur des meilleures éditions, tant chez les joueurs que chez les spectateurs comme par exemple cette future mariée qui bradait ces petites culottes.
Il faisait déjà tard quand furent proclamés les résultats. Chez les enfants, les Smileys’imposaient devant les Diablotins vertsalors que dans la catégorie dames, les Adbettesmontaient sur la plus haute marche du podium devant les Challengers.
Pour les amateurs, victoire du Team Fraichdevant les Guindailleurset dans la catégorie seniors, les Bigoonsse sont imposés devant la bande à Richardet les Tourisssset les volleyeurs en herbe.
Le prix du fair-play est allé aux Footballeurset le prix de l’animation aux dames des Pintjes
Clermont : des surfinias, en veux-tu en voilà !
Le beau temps revenu, le village retrouve ses couleurs, ses senteurs… On doit cette initiative au comité de coordination qui, avec la participation de la commune, a acheté pas moins de 800 plants. Ainsi, des vasques ont été placées par Jean-Pol et son équipe en de nombreux endroits. Merci aux volontaires qui ont confectionné les bacs, aux riverains soignent les fleurs, à ceux qui ont suivi le mouvement en décorant leurs habitations. Même les entrées du village ont profité de cet embellissement généralisé !
Les quatre saisons à la récréationTous à l’œuvre autour de Laurence : une belle façon de terminer l’année scolaire.
- Comment meubler les tout derniers jours de classe de façon constructive ? Une question et surtout une réponse à l’école communale de Clermont où est né le projet de décoration du préau de la cour de récré.
Pour cela, il a été fait appel à Laurence Afano, auteur et illustratrice de livres pour enfants qui, avec l’aide de l’association des parents qui avait envoyé sur place quelques bénévoles et qui avait dégagé quelques fonds qui allaient s’ajouter à ceux proposés par la commune de Walcourt, a projeté de représenter les quatre saisons par des dessins d’enfants. Des maternelles aux grands des classes primaires, tous ont dessiné en classe.
Puis leurs réalisations ont été transférées sur le principe de la frise sur l’un des quatre panneaux.
Restait alors à colorier tout cela et tous les élèves ont mis la main à la pâte pour un chouette résultat.
Rendez-vous à la rentrée pour découvrir ces petits chef-d'œuvre.¦
J.L.
La nouvelle buvette du footballDans cette nouvelle buvette, joueurs et supporters du football club de Clermont seront choyés.
- La nouvelle buvette du football de Clermont a été inaugurée.Les aménagements ont coûté 341 000 €, largement subsidiés.
« Entourer les jeunes, baser leur avenir sur quelque chose de sain »,c'est avec ces mots que la bourgmestre de Walcourt, Christine Poulin a ouvert le cérémonial officiel de l'inauguration de la buvette du football de Clermont. Elle était entourée d'une foule de mandataires et autres bénévoles au pied du tout nouveau complexe sportif.
Une longue histoire
Clermontois et échevin des Travaux, Vincent Bedoret va retracer brièvement la longue histoire des installations sportives du club de Clermont, une histoire qui débute en 2005. Ce n'est qu'en 2007 que le conseil approuve le projet et qu'Infrasportspromet les subsides. Le 15 mai 2009 exactement, les travaux débutent. Ils consistent en la construction d'un volume au-dessus des vestiaires existants pour héberger la buvette.
Le placement d'un ascenseur, la remise en état de l'électricité, l'isolation des murs existants comme le lifting des installations sanitaires conduiront à une réception provisoire en juin 2010. Au final, ces aménagements se soldent par une ardoise de 341 133 €, avec une intervention d'Infrasportsde 141 110 €.
Une belle opération pour les habitués du foot clermontois qui, partis d'installations pour le moins vétustes ravagées par un incendie, se retrouvent avec une infrastructure à faire des jaloux.
Deux rubans
Avant de lever le verre de l'amitié, le public a pu entendre les quelques mots du député provincial Philippe Bultot (à la base du projet à l'époque où il était l'échevin des Sports de Walcourt) ainsi que les propos, toujours teintés d'humour, de Jean Postol, le M. Foot de Clermont. Puis est venu le moment attendu : la bourgmestre Christine Poulin, épaulée du mayeur de la commune libre de Clermont, Marcel Gohy, a coupé les deux rubans, le national et... le clermontois. ¦
ANCÊTRES A CLERMONTPour la 8e année consécutive, des véhicules d’un autre temps, véhicules de plus d’un quart de siècle se sont donné rendez-vous à Clermont. Un rassemblement que l’on doit au comité de concentration des véhicules ancêtres, à Claudy De Bels, son président, et à toute l’équipe de bénévoles qui l’entourent. Dès 8 h, et ce malgré un temps indigne du mois de juin, temps fait de vent, de pluie et avec un thermomètre à très bas régime, ils étaient nombreux à rallier la place du Puits avec leurs vieilles montures. Des retrouvailles empreintes d’une grande convivialité où les curieux avaient tout loisir de découvrir ou redécouvrir ce qui constituait le parc automobile, il y a un certain nombre d’années. De vieilles voitures et même de très vieilles mais qui répondent toujours au starter, des Morris, des Daf, des MG, des Porsche, des Citroën traction, des 4 CV Renault, des Peugeot 403, 203 et même une superbe 201, sans oublier cette toujours gracieuse Studebaker made in USA. C’est vers 9 h que tous ces bolidesétaient lancés sur les deux circuits prévus, l’un bouclé en groupe et l’autre librement suivant quand même un road-book. Destination, la région thudinienne avec arrêt forcé à l’Embuscadequestion, paraît-il, de faire souffler les moteurs ou encore à une chocolaterie artisanale à Donstiennes. Tous rentraient au bercail à midi pour partager le repas réunissant pas moins de 300 convives, le temps de reprendre quelques forces avant les secondes boucles de l’après – midi avec cette fois comme direction Froidchapelle et l’Eau d’Heure. Un nouveau succès dont peuvent se féliciter les organisateurs et à nouveau une bonne affaire pour les Gilles clermontois, à l’origine de cette belle concentration.
¦ J.L.
Clermont : un beau concours de pêche
Le dernier concours de pêche mis sur pied par la société La Truite clermontoise a permis de relever pas moins de 184 prises (39 à la 1re manche ; 69 à la 2e et 76 à la 3e). 34 pêcheurs s’étaient inscrits à cette journée sur les rives du Gau. Le classement : 1. Jacques Eugène : 20 prises ; 2. Arthur Senko : 19 ; 3. Éric Piérard : 11 ; 4. Willy Renard : 10 ; 5. Jean-Jacques Bertrand : 9 ; 6. Jean Coppin : 8 ; 7. Philippe Hannecart : 8 ; 8. Jérôme Levêque : 7 ; 9. Léon Bail : 7 ; 10. Guillaume Meunier : 7.
Football - P4 Namur
Permutation des équipes à Clermont Les deux équipes de Clermont ont finalement permuté: l’équipe A jouera en provinciale 4C (à connotation basse-sambrienne) et la “ B ” en P4E. “ Avant l’élaboration des séries, nous avions promis à notre équipe B qu’elle ne quitterait pas la provinciale 4E ”, explique Yves Smet, le délégué des “ A ”. “ Et puis, la provinciale 4C, composée d’une majorité de formations B, permettra peut-être plus facilement à notre équipe A de remonter directement en provinciale 3. ”
En selle avec le club cyclo touriste
La journée « Vélo pour tous » mise sur pied chaque année par le club cyclotouriste de Clermont a connu un beau succès. Bénéficiant d’un temps magnifique, elle a permis aux amateurs de boucler un des 3 circuits routiers ou un des 4 parcours VTT. Au décompte, on note 600 participants (308 pour le VTT et 207 pour la route). L’après-midi, la randonnée de près de 15 km a réuni 85 amateurs. Rien n’a été laissé au hasard : points de ravitaillement, douches, nettoyage VTT, restauration au salon communal…
Le souper d'été des Pompiers- Cinq nouvelles recrues chez les pompiers
Chaque année à pareille époque, le corps des sapeurs-pompiers de Clermont propose un souper. Cette année, une petite centaine de convives avaient rallié l’arsenal. Avant de passer à table, Jean-Marc Jacquiez, responsable du poste de Clermont, a présenté le nouveau commandant de Florennes. Ce dernier a félicité les cinq nouvelles recrues pour le poste de Clermont qui ont réussi leurs premiers examens : François-Xavier Bricteux ; Fabian Lechevin ; Franck Dessorme et Thomas Ferré, de Clermont ; Nicolas Malengraux, de Strée
La rue du cimetière prend forme
La structure de la nouvelle rue du cimetière commence à prendre forme. Des travaux importants de sécurisation des lieux ont été décidés par le service des Travaux. Il s’agit de rendre cette rue à sens unique partant de la route de Strée vers les écoles. La route sera complètement renouvelée avec un trottoir et un passage pour piétons. De plus, un éclairage adéquat sera placé, ainsi d’ailleurs qu’un coin repos avec banc. Ces mêmes travaux sont prévus pour une durée de 60 jours ouvrables. Notons que la circulation, en ce moment, y est fortement ralentie.
(avril 2011)
Le village de Clermont a eu l'honneur d'ouvrir la saison touristique dans l'entité. Découvrons le village par l'intermédiaire de ses aïeux.
Bienvenue à Clermont, village de fiers Wallons, pour y découvrir la vie locale, les métiers d'antan, les commérages, les personnages hauts en couleur, tellement typiques de cette belle région.
En fait, c'était l'office du tourisme de Walcourt qui mettait sur pied sa fête du printemps et sa nuit magique et pour ce faire, avait fait le déplacement jusqu'à la frontière de l'entité. Cette troisième édition succédait aux deux premières qui avaient eu lieu à Walcourt et Thy-le-Château.
Une place du Puits garnie de trois chapiteaux, de tonnelles, des espaces pour les tout-petits, grimage, gravure, peinture, petite restauration, musique, boules carrées, activités diverses : vraiment il y en avait pour tous les goûts sans oublier les deux balades contées à travers le village, présentées par des personnages en costume d'époque et se terminant par le chant On èst bé à Clérmont .
Mais que dire de ces balades? Préparées par Muriel Dessoy, assistée de Céline Préat, responsable de l'office du tourisme de Walcourt, elles ont permis de retrouver les aînés du village.
Laissons-nous porter par les figures emblématiques de la localité, laissons-nous séduire par leur récit et découvrons en leur compagnie le riche patrimoine dont ils sont les témoins : el famille Gagaye, el crolèie, René el chaboti, Charles el cocher, l'père Wyart, les d'jeux d'balle, Thomas Bernier el commandant des pompiers, Félix Walbrecq el poète, Victor Grawez el notaire, el médcin Dardenne, el padjo, el varlet Alfred Dandien, el père Miot, el Tité, el père Camille Gagaye... Les lieux-dits ne furent pas oubliés avec les chapelles du village, les potales, la pierre du diable, etc., de même que les anciens cafés au nom typique comme Sébastopol, chez l'Cayien, chez Bébert, chez Palète, chez Batisse. On a ainsi retrouvé la verve, le dynamisme, la vigueur, mais surtout la vie simple que ces aïeux menaient alors.
Cette journée avait reçu l'appui du centre culturel de Walcourt, de l'ASBL Loisirs et Vacances et des associations locales.
L'Office du tourisme, Grand-Place, 25, à Walcourt, est ouvert tous les jours, sauf le lundi, de 8 h 30 à 17 h. 071/612 526.
Une culture bien facile
Pas question de se ruiner pour faire l'acquisition de cette plante. Elle vous sera proposée par Christophe Longfils, le jeune horticulteur du Jardin du Blanc Vivier de Clermont, au prix de 5 ¤. Pas cher, mais ce n'est pas tout : il vous sera possible, avec quelques soins minimes, de conserver la plante pour que, l'année suivante, elle vous apporte, de nouveau, ses doses sucrées. La plante peut même se cultiver sur un simple balcon, en pot. Mais, si vous décidez une culture en pleine terre, rien n'est plus facile. Le plant est transplanté, à la même époque que les tomates. S'adaptant à tous les types de sols, la stévia préfère cependant les sols limoneux et bien drainés afin d'éviter les excès en eau dont elle est très sensible.
Au moment du repiquage, si les chaleurs sont fortes, une protection, au pied de la plante, sera la bienvenue pour éviter les effets de la chaleur. Et, en matière d'amendement, un engrais libérant lentement l'azote sera conseillé. Mais, trop d'azote peut conduire à un développement rapide de nombreuses feuilles de grandes tailles dont la teneur en agents sucrants serait très faible.La première cueillette s'effectue après quatre ou cinq mois de culture puis tous les trimestres, pendant pas moins de trois ans. Au-delà, le rendement s'affaiblit. C'est avant la floraison que la meilleure récolte peut se faire car c'est à ce moment que les molécules responsables du goût sucré sont les plus concentrées dans la feuille de la stévia .On peut récolter en cueillant seulement les feuilles, régulièrement et par petites quantités, ou en coupant la plante entière, à 15 cm de la base, pour qu'elle puisse redémarrer. On sèche alors feuilles et tiges, à l'ombre, avant de les réduire en poudre qu'on utilise comme... du sucre.Facile, non? J.L.
La «stévia» : nouvelle façon de sucrerCe samedi, au «Jardin du Blanc Vivier» de Clermont, on pourra en savoir beaucoup plus sur la «stévia» qui pourrait faire oublier le sucre.
On connaît l'attrait que beaucoup d'entre nous portent à la chose sucrée. On sait aussi les ravages engendrés par la consommation abusive du sucre, tel qu'on l'a toujours connu : des ravages qui s'étalent des caries aux surcharges pondérales, sans oublier le diabète.On a bien essayé de rectifier le tir, en imaginant d'autres édulcorants. Mais, là aussi, tout n'était pas rose, l'aspartame (édulcorant artificiel fabriqué dès 1965 et présentant un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose) n'étant pas fait pour rassurer le corps médical.Depuis peu, dans nos régions occidentales, est apparue une plante qui permet, cette fois, de sucrer 300 fois plus que le traditionnel sucre : la stévia .Amérique du SudPeu connue, chez nous, la stévia existe pourtant depuis la nuit des temps dans ses pays d'origine d'Amérique du Sud où les populations locales en font usage, de par son goût extrêmement sucré.La stévia a la particularité de produire, lors de sa photosynthèse, au coeur de son feuillage, des molécules qui sont incroyablement sucrantes, molécules qui ont la particularité de ne pas être assimilées par l'organisme. Elles ont donc un goût intensément sucré, sans apporter la moindre calorie.On le comprend : une aubaine pour tous ceux que le sucré attire, une aubaine venant en ligne droite de la Mère Nature .MéfianceSi, dès le XVIe siècle, la stévia traverse l'océan pour débarquer en Europe, son arrivée, au beau milieu d'une foule d'autres curiosités botaniques, ne retient guère l'attention et ne soulève aucun enthousiasme, malgré ses remarquables vertus sucrantes. Il faudra attendre 1899 et les travaux du naturaliste suisse Moisés Santiago Bertoni pour qu'en Europe, on daigne s'intéresser un peu à la stévia .Bien qu'en 1931, deux chimistes français parviennent à isoler les molécules responsables du goût sucré caractéristique de la stévia, cette plante reste une curiosité réservée aux amateurs. Et c'est finalement le Japon qui va prendre, en premier, conscience du bien à tirer de cette plante et qui va s'impliquer dans la production industrielle du végétal.Israël et le Brésil imitent, bien vite, le pays du soleil levant et la stévia rentre, aujourd'hui, dans ces régions du globe, dans la composition de nombreux produits agroalimentaires.Et l'Union Européenne? Elle reste encore, pour l'instant, très frileuse - et on s'en étonne à peine... - quant à l'utilisation de la stévia comme édulcorant. Faut-il y voir la main mise du puissant lobby des industries sucrières ou même des producteurs d'édulcorants artificiels tels que l'aspartame ou la saccharine?Pour leur part, les États-Unis (qui avaient interdit, en 1991, l'importation, sur leurs terres, de la stévia ) ont fini par céder, dès 1995, face à l'engouement populaire.Pas besoin d'être grand prophète pour être certain que, d'ici peu, l'Europe se laisse conquérir. Chez nous, en Belgique, des producteurs de stévias se sont lancés dans la grande échelle. Christophe Pépin, de Thuin, est un de ceux-là et, ce samedi, il sera au Blanc Vivier de Clermont.
Renaissance du jeu de balle
«Les Lions de Thudinie», c'est ainsi que l'on surnommait l'équipe locale, avaient un hymne à leur gloire. Et le sport ballant continue son petit bonhomme de chemin, des cadres se reforment, des formations se complètent : Clermont est connu de partout! Après plusieurs années de silence, le ballodrome local va revivre, grâce à quelques dévoués. Il faut dire que Clermont fut de tout temps un des fiefs de la balle.Les formations de la balle dure venaient de Strée, Erquelinnes, Forchies, Trazegnies, Piéton, Bruxelles et les prix étaient de valeur (montres en or, service à café en argent, cuillers en argent).On notera même une déclaration de L. Delplanche, bourgmestre en 1872, qui fait remarquer à la Députation du Conseil provincial que «depuis un temps immémorial, il est d'usage, dans la commune, d'exposer des prix au jeu de balle dans le but d'attirer des parties étrangères» .Les années passent, les joueurs changent mais Clermont reste fidèle à son sport. 1928 constitue l'année de gloire puisqu'ils remportent toutes les grandes luttes : championnat fédéral, critérium du championnat du «Soir», (plus de 1 000 spectateurs à Clermont)...RenouveauL'après-guerre n'apportera plus rien de constructif. En 1951, la petite reine blanche disparaît au profit de la balle pelote. 2011 verra donc un renouveau du sport ballant.Le comité : Président, Paul-Henri Boeckx; vice-président, Alain Clippe; trésorier, Alain Bultot; secrétaire, Pascal Charloteaux; membres, Christine Sneyders, Myriam Poiret et Viviane Devergnies. L'équipe : Patrick Boeckx, Arnaud et Loïc Bomblet, Jeremy et Pascal Charloteaux, Alain et Aurélien Clippe, Pierre Coppée, Mehdi De Beukelaer.L'équipe affrontera en D3B Ermeton, Vierves, Aisemont, Berzée, Thy-le-Château, Fosses, Miavoye, Hanzinelle, Planois, Pontaury, Walcourt.Ch. C.
La fête du printemps le 30 avril - L'an dernier, l'office du tourisme s'était exilé à Thy-le-Château pour ouvrir la saison touristique et la Fête du Printemps. Cette année, c'est le village de Clermont, aux confins de la Thudinie, qui en aura les honneurs le 30 avril. Pour ce faire, la «Nuit magique» de l'office du tourisme s'unira à la fête des associations du centre culturel pour célébrer le printemps. La place du Puits de Clermont accueillera cet événement où associations locales, ateliers créatifs, concerts se croiseront et s'entrecroiseront dès 15 h sous chapiteaux et autour de cette même place. Des promenades guidées seront proposées et, comme les années précédentes, ces balades seront contées et mises en scène par des habitants au départ d'histoires locales (premier départ à 18 h, 2e départ à 20 h 30).Une occasion inédite pour découvrir ou redécouvrir ce village dit «gaulois», d'admirer ses vieilles fermes et autres maisons typiques, de faire le tour de sa «Pierre du Diable», de faire connaissance avec ses habitants, sa commune libre de «Clérmont su'l Gau», de parler de ses nombreux comités locaux, d'apprendre son histoire, ses coutumes, ses moeurs, son caractère et sa nature mais aussi de prendre part, une après-midi durant, aux différents ateliers créatifs présents sur l'entité et profiter en famille et entre amis des premiers jours de beaux temps.Ouverture des activités à 15 h, entrée gratuite, bar et petite restauration.Ch. C.Centre culturel : 071/614 686 ou office du tourisme : 071/612 526.
Éoliennes de Clermont :
un avis négatif de Walcourt - Jeudi dernier, le collège communal de Walcourt a émis un avis négatif concernant le projet éolien d'Alternative Green entre Donstienne et Clermont. La société luxembourgeoise envisage d'implanter, sur la plaine de Viscourt, un parc éolien de huit machines d'une puissance nominale de 2 à 3,3 MW. Pour rappel, une enquête publique s'est déroulée du 2 février au 3 mars à Walcourt et Thuin. À Walcourt, plus de 2000 lettres d'opposants au projet ont été reçues à l'administration communale. Même si beaucoup d'entre elles sont des lettres types ou signées par des gens hors de l'entité, ce chiffre démontre la forte opposition de la population à ce projet. Alternative Green avait pourtant revu ses ambitions à la baisse avec 8 éoliennes au lieu de 14 et un éloignement du parc de la zone Natura. Mais cela n'a manifestement pas convaincu les opposants. La décision négative de la commune de Walcourt sera officialisée, ce jeudi, lors d'une nouvelle séance du collège communal. Puis l'avis sera envoyé à la Région wallonne où fonctionnaires délégués et techniques décideront de l'octroi ou non du permis. Mais il va de soi que la décision communale a un certain poids dans la décision finale. Pour refuser le parc éolien, le collège communal évoque la forte opposition qui s'est exprimée dans ce dossier, non seulement lors des réunions d'information mais aussi pendant l'enquête publique. Il met également en avant l'avis négatif du Conseil Wallon de l'Environnement pour le Développement Durable. Le CWEDD mettait en avant la richesse de l'avifaune et des paysages sur la plaine de Viscourt, ainsi que l'existence de parcs éoliens existants dans les environs immédiats. J.-L.H.
«Ascoutez lès oujas!» avec les AGN
(decembre 2010)
C'est avec un vaudeville de Christian Derycke que les AGN de Clermont récoltent des applaudissements pas du tout usurpés.
Après une première représentation, à la mi-décembre, et après la séance offerte aux aînés, lors du goûter de Noël, les A.G.N. (Les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral clermontois) ont repris, ce dernier week-end, leur bâton de pèlerin pour poursuivre la route de leur saison, toujours à cheval sur l'année qui se termine et l'année nouvelle.Une route jonchée d'éclats de rire, grâce à un bon choix de la pièce et grâce à des comédiens au talent confirmé et qui en ont encore fait la démonstration, tout au long des trois représentations du week-end.La pièceUn bon choix de pièce, mais pouvait-il en être autrement, quand on s'adresse à Christian Derycke?Pour 2010-2011, Albert Scohy, grand maître de la troupe et metteur en scène a choisi «Ascoutez lès oujas», un vaudeville en deux actes qui fait entrer la salle tout entière dans le salon d'un écrivain. Un romancier qui, pressé par son éditeur, voudrait profiter d'un week-end au calme pour avancer dans ses pages d'écriture. Hélas pour lui, du calme, il ne pourra guère en bénéficier, avec l'intrusion d'une série de personnages plus encombrants les uns que les autres.On devine immédiatement les situations propres à faire éclater de rire les spectateurs. Des situations merveilleusement servies par l'effectif des A.G.N., Marcel Gohy, égal à lui-même, en tête. Il était entouré de Chantal Poiret, Nancy De Vos, Françoise Hecq, Benoît Malengreaux, Eddy Parent, Françoise Gohy, Eddy Lorenzin et André Gohy. Une mention toute spéciale à Marie-Thérèse Dropsy qui, dans le rôle de technicienne de surface, a été véritablement la cerise sur le gâteau des représentations.Jean-Jacques Boeckx, Olivier Navaux, Valérie Scohy, Catherine Van Eylen, Mauricette Cuignet oeuvraient dans l'ombre, pour ce succès bien mérité.J. L.
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Marcel Gohy : tête d'affiche, malgré luiLe rideau s'ouvre, de nouveau, sur les AGN , la troupe clermontoise dont chaque comédien distribue des pintes de bon sang, Marcel Gohy en tête.
Ce samedi 18 décembre, les trois coups de brigadier vont lancer les comédiens et comédiennes des AGN (Les Amis du Goûter de Noël ) dans une nouvelle course aux éclats de rire. Un petit groupe d'amateurs au talent plus que confirmé, emmené par celui que tout le public attend : Marcel Gohy.
Dans «Ascoutez lès oujas», un vaudeville de Christian Derycke, il sera, de nouveau, la tête d'affiche, mettant en valeur le rôle de chacun de ses partenaires et surtout donnant le feu vert aux éclats de rire, bien même avant d'avoir ouvert la bouche. Marcel Gohy, un amateur pro ou un pro amateur de théâtre qui est à la scène comme il est dans la vie quotidienne : un véritable personnage face à qui, il est difficile de garder son sérieux.
Fous rires
Mais qu'est-ce qui fait qu'à son apparition, les zygomatiques se délient, même chez le plus coriace des frustrés? Marcel Gohy ne le sait pas lui-même, lui qui, depuis une trentaine d'années, monte sur les planches clermontoises. Une longue carrière de comédien qui a commencé quand les AGN se limitaient à une seule représentation. Il venait renforcer l'effectif composé autour de Gustave Dorignaux et son père, Léon Gohy, alors président du cercle.
Ses débuts, ce sont simplement quelques sketches à la mode de Guy Bedos qu'il adapte. Puis, il s'engage dans une pièce de R. Dehaubois. Les succès vont se succéder, d'année en année, et, parallèlement à la notoriété de la troupe, la réputation du comique de Marcel Gohy va croître, au fil du temps.
Le nombre de représentations passe d'une à deux, de deux à trois pour en être arrivé, à l'heure actuelle, à sept sans compter la séance réservée aux aînés clermontois.
Pour la première de ce samedi, Marcel Gohy est fin prêt à devenir Antoine, le romancier, pour tourner quelques pages de fous rires.
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Le comité de la jeunesse locale et le comité de coordination avaient invité les enfants à participer, mercredi dernier, à une après-midi récréative, en la salle de fêtes.
Ils furent nombreux à répondre présents. Au programme, figurait la projection d'un film. Après celui-ci, les enfants furent invités à passer à table pour un goûter au chocolat chaud, accompagné de délicieuses couques. La journée se clôtura par la visite du grand saint et de son fidèle serviteur qui distribuèrent friandises à tous ces enfants... sages
No estons co dins l'gazette!!!
Près de 300 repas chez les cyclos
Source: L Avenir
Le club cyclotouriste de Clermont a terminé sa saison 2010 par son traditionnel souper en la salle Désirée à Strée, un souper qui, à quelques exceptions près, aurait pu avoir le nom de « complet ».
En effet, c'est avec 280 repas que le personnel a dû composer, un repas où tout le monde s'est dit satisfait.Au cours de cette soirée, plusieurs informations ont été diffusées : 1. Les vainqueurs du challenge. Groupe A : 1. François Thibaut ; 2. Philippe Regnier ; 3. Patrick Meunier ; Groupe B : 1. Franck Charlet ; 2. Gérard Charlet ; 3. Luc Pieropan ; Groupe C : 1. Frédéric Clippe ; 2. Norman Verschueren ; 3. Émilie Vincent.2. Les inscriptions pour la saison 2011 auront lieu le 27 février au local, chez Myriam, de 10 à 11h30.3. La première sortie aura lieu le 6 mars ; départ pour tous les groupes à 9h place du Puits.
Ch C
Tourisme
Les cyclotouristes, huit heures sous la pluie
Le club cyclotouriste clermontois vient de participer à son traditionnel « 8 heures » et cela en partie sous la pluie. Malgré cela, ils furent 32 du groupe A à boucler le circuit de 4,340 km, via les quatre chemins de Viscourt, retour par la route de Mertenne, l'arrivée étant jugée devant les écoles.
Le classement : 1. Avec 60 tours : François Thibaut ; Pierre Badot ; Louis Thibaut ; Francis Dammekens-F ; Pascal Corbugy-P ; Tom Thaels ; avec 58 tours : Hubert Thibaut ; Geoffrey Senko ; Vincent Piraux ; avec 57 tours : Philippe Regnier ; Bernard Léotard ; Franz Monkerhey ; avec 56 tours : Arnaud Degive ; avec 53 tours : Hugues Amant ; avec 52 tours : Benoit Bohain ; Jean-François Badot ; avec 49 tours : Laurent Pireau ; Louis Hardat ; avec 47 tours : Jacques Lambert ; François Lapotre ; avec 46 tours : Patrick Meunier ; avec 45 tours : Éric Delhoye ; avec 44 tours : Olivier Devallée ; avec 35 tours : Serge Docquier ; avec 34 tours : Pascal Boeckx ; avec 32 tours : Vincent Thibaut ; avec 29 tours : Denis Ballarini ; avec 24 tours : Jean-Louis Laloyaux ; avec 23 tours : Philippe Gohy ; avec 21 tours : Philippe Thibaut ; avec 17 tours : Jean-Claude Wallet ; avec 15 tours : Thomas Dupuis.
Notons que les groupes A et B participeront, le 29 septembre, à la concentration cyclotouriste à Chimay (organisation par le Tandem de la Botte) et que les 10, 11 et 12 septembre, ce sera le week-end dans les Vosges.
Enfin, le souper de fin de saison du clu b cyclotouriste clermontois aura lieu en la salle Désirée à Strée, le 6 novembre.Ch.C.
“ J’ai posé un ultimatum qui expire à la fin août ”
provinciale 4E namur Freddy Coppée, le coach de la P4 de Clermont, menace de démissionner si les dirigeants du club ne lui trouvent pas un gardien
A trois jours de la reprise, un entraîneur parle déjà de... démission: Freddy Coppée de Clermont B (P4E).
“ Mon effectif est dépourvu de gardien ”, explique celui qui dirigeait encore l’équipe en... réserves la saison dernière. “ Nous avons joué nos deux premiers matches de coupe avec Mafioletti, l’un des deux portiers de la P3, avant de rappeler Gomrée, la doublure de celui-ci la saison dernière. Nous pensions qu’il accepterait de poursuivre, mais un problème au genou l’en empêchera. Charloteaux, joueur de champ, pourrait se dévouer, mais ce n’est nullement un gardien spécifique. Je ne tiens plus à ramasser des dégelées comme à Bonnine (11-0) et Ham (9-0).
J’ai posé un ultimatum aux dirigeants. Si fin du mois, ils n’ont pas trouvé de portier, je quitterai ma fonction! ”
Par ailleurs, faute d’effectifs, l’équipe pourrait déjà déclarer forfait à Gimnée/Mazée samedi soir (20h). “ A ce jour (N.D.L.R.: hier, mardi), je n’ai que dix éléments, vu que notamment Cuypers et Mathewe, des fermiers, seront probablement occupés par leurs moissons. Dès lors... ”
MEURANT EN SAUVEUR?
Le secrétaire du club clermontois se veut rassurant: “ Notre entraîneur a l’habitude de vite se plaindre ”, ironise Jean Postol. “ Concernant le gardien, Marc Meurant, un ex-Walcourien qui a plus de 35 ans et qui va habiter Clermont, est disposé à s’affilier. Quant à la pénurie de joueurs pour samedi, notre coach avait bien quinze gars lors du dernier match de coupe. Je ne vois pas pourquoi il n’en irait plus de même samedi. ”
Signalons que la P3 recevra Onoz sans Clippe (échographie), Caudron (blessé), L. Gohy et De Beuckelaer (entorses).
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Le quartier du Blanc Vivier a dignement fêté le 21 juillet, en mettant sur pied, pour la troisième année, sa fête du quartier. Il faut remercier tous ces riverains pour le programme présenté.
Deux moments importants pour cette journée : la traditionnelle course de brouettes et l'élection de Miss 21 juillet .Trois fois une demi-heure : c'était assez pour ces vaillants équipages qui, au fil des tours, ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour distancer leurs rivaux. À l'issue de cette course humoristique, la victoire est revenue à l'équipage du Blanc Vivier .L'élection de Miss Blanc Vivier présentait, elle, plusieurs candidates. Après diverses présentations, la coupe a été enlevée par Caroline Ferre, de Clermont.Bravo à tous et... à l'année prochaine.Ch.C.
500 sportifs au volley de Clermont
Clermont ne compte aucun club de volley. Pourtant, chaque année, tout ce que la région compte d'amateurs de ce sport s'y retrouvent
Pour la 28e fois, l'ASBL de la salle paroissiale de Clermont a mis sur pied son grand tournoi de volley. Une édition qui a pu bénéficier d'une météo idéale et qui a connu le succès de participation habituel avec près de 500 joueurs.Comme chaque année, le président de l'ASBL Vincent Bedoret a pu compter sur l'indispensable collaboration de Philippe Manon, concepteur et homme-orchestre de l'événement. Il est vrai que de prévoir 10 terrains, que de gérer les allées et venues de 58 équipes, de prévoir le timing des 134 matches et de contenter les 500 joueurs relève véritablement de l'exploit sportif, un exploit pour lequel l'ancien commissaire divisionnaire s'en est tiré avec tous les honneurs.Du sport, beaucoup de sport et du sport de haut niveau : si certaines équipes viennent plus pour l'ambiance clermontoise à nulle autre pareille, il est à souligner qu'à nouveau on a assisté à des rencontres de haut niveau. Mais bien entendu, ce haut niveau ne pouvait empêcher (et heureusement) le folklore. Rien qu'à voir les équipes engagées comme les Biloutes, le VC Bois des Pintes ou encore les Assoiffés ou les Touriskes et on aura compris qu'on s'est, une fois encore, bien amusé ce samedi à Clermont.Bars, barbecues, châteaux gonflables que ce soit à la salle même, à l'école ou encore au terrain de foot, tout a été fait pour inciter les amateurs de volley à revenir encore plus nombreux l'an prochain. Et nul doute que si la météo est toujours de la partie, l'édition 2011 n'aura rien à envier à celle de cette année comme à toutes les précédentes.J.L.
Un baptême puis des fiançailles
- La naissance de Belle de mai constitue le début de festivités liées aux géants dans la cité strétoise. Déjà, le comité des jeunes planche sur la suite à donner à la naissance de la belle géante. Son baptême est programmé lors de la ducasse de 2011. Ensuite, ils pensent à des fiançailles. Selon Charles Dupuis, des rumeurs circulent déjà sur un possible fiancé et la présence d'une délégation venue du village voisin de Clermont ne le rassure pas : « Vous n'allez pas laisser partir votre belle à Clermont ». Selon ces rumeurs, les responsables de la Commune libre de Clermont su l'Gau ont le projet de construire un géant qui pourrait se fiancer avec Belle de mai . Les fêtes ne sont pas terminées à Strée en Hainaut et Clermont lez Walcourt !
La nouvelle buvette est opérationnelle depuis le 7 mars (2010)
L’ancienne buvette datant de 1966 vandalisée et incendiée le 17 décembre dernier a laissé place à une nouvelle infrastructure à Clermont, bâtie à l’étage, au-dessus de vestiaires également rafraîchis.
Bien que l’inauguration officielle doive encore avoir lieu, ces nouvelles installations ont été foulées pour la première fois il y a trois semaines, à la plus grande joie de son secrétaire.
“ Six entreprises ont participé à ce projet, dont les premières ébauches datent d’il y a deux ans ”, explique Jean Postol. “ Quant aux travaux proprement dits, ils ont débuté en mai. Il était temps que cela se termine.
L’ancienne buvette devenait inhabitable. Nous n’étions plus très loin de l’insalubrité. ”
Jean Postol nous livre les principaux avantages de cette infrastructure: “ C’est nettement plus convivial et surtout plus pratique. La seule chose qui pourrait poser problème, c’est qu’il faut désormais monter des escaliers pour y accéder. ” Toutefois, un ascenseur a également été mis en service: “ C’était une obligation émanant de la Région Wallonne pour obtenir des subsides via Infrasport. Le reste de l’investissement a été pris en charge par la commune. Cet ascenseur est destiné aux personnes non valides. Mais comme nous n’en avons jusqu’à présent pas encore accueilli, il nous sert également à monter les... fûts. ”
Jean Postol est conscient que la destruction de l’ancienne buvette aurait pu davantage porter préjudice au club.
“ Si nos nouvelles installations n’avaient pas été à ce moment sur le point d’être terminées, je ne sais pas comment nous nous en serions sortis.
Heureusement, les matchs remis en raison des fortes neiges de janvier ont fait nos affaires.
Normalement, ce sera aussi la fin du vandalisme. Cette fois, une alarme a été placée. ”
La buvette de Clermont est plus grande et enfin sécurisée. N.T.
Vincent Bedoret remplacera Ph. Bultot .
La démission annoncée de Jacquy Mathy de son poste de député provincial namurois provoque un jeu de chaises musicales qui a des répercussions jusque sur l’échiquier communal de Walcourt. Philippe Bultot, qui remplacera J. Mathy, quitte sa fonction d’échevin.
Philippe Bultot deviendra député provincial namurois. La fonction de président du conseil provincial qu’il occupait jusqu’ici devient donc vacante: un appel à candidatures a été lancé au sein des 17 conseillers provinciaux MR namurois.
Philippe Bultot doit aussi quitter le poste d’échevin qu’il occupait au collège communal de Walcourt. Ce qui amène un double remplacement.
D’une part, comme échevin: c’est Vincent Bedoret, agriculteur quinquagénaire de Clermont, qui le remplacera.
D’autre part, comme conseiller communal. Mais ce n’est que mardi soir que sera chois(e) celui ou celle qui siégera désormais au conseil walcourien.
Les boules carrées se sont croisées .
Vraiment, le village « gaulois » de Clermont n'a toujours pas fini de nous étonner. Après la fête du Blanc Vivier avec sa course à la brouette, la kermesse avec son jogging, ses soirées dramatiques drainant plus de mille spectateurs, son grand feu avec son feu d'artifice, ses cyclos, ses activités Télevie, etc., voici les boules carrées, une originalité que l'on doit au collège échevinal de la commune libre de Clermont'su'Gau.
En fait, il s'agit de la pétanque avec des boules carrées. Vingt-six équipes se sont affrontées sur la place du Puits et dans les environs.
Le résultat définitif a été proclamé le soir en la salle des fêtes par Marcel, le mayeur, assisté de son cantonnier, Jean-Marc Jacquiez, et de son champèt, Jean-Pierre Bricteux. Le classement : 1. Jean-Jacques Boeckx - Valérie Scohy ; 2. Tilou Bricteux - Franck Denruyter ; 3. Frank Charlet - Benoît De Vos ; 4. Alain Clippe - Pascal Charloteaux ; 5. Marie-Anne Gohy - Nancy De Vos ; 6. Benoît Patris - Dominique Blavier ; 7. Cédric Clippe - Jérémy Charloteaux ; 8. Joris Baudson - Julie Dumoulin ; 9. Henri Michaux - Bénédicte ; 10. Jean-Pierre Bricteux - Jean-Marc ; 11. Alain Servotte - Eddy Parent ; 12. Alice Jacquiez - Manon Toussaint ; 13. Viviane Devergnies - Christine Bultot ; 14. Eddy Lo - Marie Leffe ; 15. Paul Lauwers -Thomas Mascaux ; 16. Roland Fondu - Annie Steeno ; 17.Jean Postol - Robert Vanderhaegen ; 18. Aurélien Clippe - Pascal Clippe ; 19. José Ducat - Benjamin Domange ; 20. Gwendoline Dumoulin - Cassandra Lau ; 21. Ariane Labilloy - Patrick Meunier ; 22. Antoinette Jacquiez - Puring ; 23. Gérard Charlet - Freddy Dupuis ; 24. Julien Jacquiez - Vincent Gohy ; 25. Margot Meunier - Angélique Lust ; 26. Antoine Lust - Olivier.
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Les « Gagaye » ont l'amour du tambour (fevrier 2010)
Alexa ndre Meunier, dit Gagaye le sabotier, épouse Clémentine Matis le 31 mai 1856. Ils occupent une petite maison au lieu-dit « Al'tchapel » et de leur mariage naissent trois filles et quatre garçons. Alexandre est conseiller communal.
Mais que faisait-on de ces loisirs en ce temps-là ? Alexandre apprend les rudiments du tambour et les inculque à ses fils (Placide, Jules, Camille, Victor). Seul le premier, membre fondateur des sapeurs-pompiers de Clermont, poursuivra cette passion et pourtant, ne voit-on pas, à un certain moment, le père et ses quatre fils participer en grande tenue à la marche Saint-Roch à Thuin et probablement à d'autres marches. Il paraît même qu'ils faisaient l'aller et le retour de Thuin en tambourinant, tout cela après avoir effectué les quelque 12 km du parcours ?
Il faudra attendre deux générations pour voir revenir l'amour du tambour avec Charles Gonze (un des grands spécialistes des ra et des fla) et son cousin Alfred Clocherieux. Puis, une génération plus tard avec Gaston et Charles Antoine et Paul Walbrecq et, plus proche de nous, Maxime Garbar.
Mais il y a quelques jours, c'est Benjamin Domange, toujours de Clermont, une 8e génération qui est arrivé. Âgé de 8 ans, il vient, après quelques mois d'apprentissage au maniement des baguettes, de participer à la répétition de tambours de la société de gilles clermontois « Les T'chequetis » . Aux prochaines soumonces, nous le reverrons ainsi au carnaval local.Ch.C.
21 décembre 2009
Jean Léotard nous a quittés
Nous avons appris le décès de Jean Léotard survenu ce dimanche.
Jean Léotard, véritable personnalité du village de Clermont mais aussi de l'entité de Walcourt s'est fait connaître du public entre autres par ses talents d'historien.
Auteur de nombreux papiers du cercle d'histoire, Jean Léotard s'est également illustré en publiant seul ou avec la collaboration d'autres historiens comme notre correspondant Charles Clocherieux, de nombreux livres retraçant le passé de son village, de sa région.
On se rappellera La Région de Walcourt-Beaumont pendant la seconde guerre mondiale une véritable fresque de tout ce que fut la seconde guerre mondiale dans la région, une fresque en plusieurs épais volumes qu'il signa avec Jean-Louis Roba.
Un récit fait de milliers d'autres allant aux moindres détails qui a demandé à Jean Léotard comme à Jean-Louis Roba des années de recherches aux quatre coins de la région mais aussi du royaume.
Mais fouiner était pour lui tout autant un devoir qu'une passion et rien de ce qui voulait imprimer ne pouvait souffrir le moindre doute de véracité.
La grande Histoire donc mais aussi la petite histoire comme celle de son village. Que de fois n'a-t-on fait appel à Jean Léotard pour éclairer une zone d'ombre d'un passé plus ou moins lointain, que de fois n'est-on allé l'interroger pour préparer quelque cérémonial local comme les histoires des veilleurs de nuit dont Clermont peut s'enorgueillir chaque année.
Aimable, attentif à tous, toujours accueillant pour pouvoir apporter l'info souhaitée, Jean Léotard a tourné la dernière page de sa vie à l'âge de 83 ans.
Les funérailles devraient se dérouler mercredi à Clermont.J.L.
Mme Cabas a réglé ses comptes
Avant de proposer leur pièce en wallon, Les Amis du Goûter de Noël se sont retrouvés, pour la 25e fois, autour de Madame Cabas, dans la revue satirique « En chuvant l'Gau ».
Une revue qui est l'occasion pour le personnage central, alias Madame Cabas, de remettre les pendules à l'heure et de régler quelques comptes avec celles et ceux qui, durant l'année écoulée, se sont fait remarquer par l'une ou l'autre bêtise. Et, parmi ces auteurs de dérapage non contrôlé : les citoyens de Strée, le village tout à côté que Madame Cabas a en ligne de mire. Pour se rappeler tous ces faits et gestes qui prêtent essentiellement à rire, la bonne vieille dame s'est fait aider de ses deux auteurs favoris, Albert Scohy et Eddy Parent.
Mais, la revue clermontoise est aussi l'occasion pour les jeunes recrues des A.G.N. de monter sur les planches et de faire montre de leur talent. Autour des acteurs plus chevronnés, on a ainsi retrouvé Mélise Briclet, Thibaud Hautier, Jérôme Jacquiez, Clément Laloyaux, Henri Laloyaux, Morgane Briclet ou encore Justine Hanon, l'accompagnement musical étant signé Damien Laloyaux.
Faire rire, grâce aux malheurs des autres, est un procédé vieux comme le monde et ce n'est pas seulement les Djins dès Strée qui ont été pointés du doigt, l'autodérision étant, elle aussi, au menu de Madame Cabas et de ses Clermontois.
On a donc ri et beaucoup ri, même si plus d'un a trouvé Madame Cabas moins incisive qu'il y a quelques années. L'âge aidant, ne serait-elle pas en train de ramollir et d'oublier quelques-unes de ses victimes favorites ?
Sans doute un passage à vide d'une certaine tendresse peu coutumière chez l'honorable dame. Tendresse qui ne devrait trop durer, du moins c'est ce qu'espèrent les amis des Amis du Goûter de Noël .
J.L.
Les AGN : « Dès loques su m'sure »
D'excellents acteurs avec des rôles taillés sur mesure par Albert Scohy. Les AGN. ont a nouveau fait un tabac devant un public fidèle.
Jean LANNEAU
Depuis le w eek-end dernier, les Amis du Goûter de Noël (AGN) de Clermont sont à nouveau sur les planches pour leurs rendez-vous habituels de fin et début d'année. Des rendez-vous que le public aussi n'a pas voulu manquer, toutes les représentations se jouant à bureau fermé.Les loques
Les acteurs clermontois ont beau avoir une tradition d'excellence, ils doivent disposer d'une bonne pièce pour mettre en évidence toute l'étendue de leur talent. Il en est de même pour le metteur en scène et homme-orchestre de la troupe, Albert Scohy, qui s'efforce chaque année de trouver ce qui conviendra le mieux à son effectif.
Et c'est justement parce qu'il ne trouvait que peu de choses à mettre sous la dent des AGN qu'il a décidé de prendre la plume et d'écrire lui-même la pièce proposée pour cette année. À noter qu'il ne s'agit pas d'une première puisqu'Albert Scohy a déjà signé d'autres productions pour ses troupes, mais cette fois c'est en toute dernière minute qu'il s'y est pris.
Début août, il a ouvert le rideau de sa première feuille blanche, contraint et forcé d'aller très vite, les premières répétitions commençant comme d'habitude début septembre. Et à la rentrée des classes, l'effectif était au poste pour se lancer les premières répliques.
Avec « Des loques su m'sure », l'auteur clermontois a fait entrer le public dans le monde de la haute couture. Un monde lui aussi plongé dans la crise. Fernand et sa femme Yvette, les patrons de l'entreprise, vont avoir fort à faire d'autant plus que la concurrence existe et que certains laisser-aller de gestion vont plonger l'entreprise dans le rouge. Heureusement, il y a Marion, une jeune et talentueuse styliste qui va prendre le taureau par les cornes. Elle a plus d'un tour dans son sac et dispose de pas mal d'atouts, ignorant cependant elle-même le principal d'entre eux...Fernand, Marion et les autres
Comme précisé plus avant, si les loques sont sur mesure, les différents rôles imaginés par Albert Scohy le sont également. L'auteur a su exploiter la personnalité de chacun et a su mettre en valeur le potentiel théâtral de ses acteurs et actrices.
Le résultat ne s'est pas fait attendre et à tout moment les personnages se retrouvent dans des situations qui déclenchent les éclats de rire. Chaque acteur est à sa place et cela se sent. Mais nous nous permettrons de mettre en évidence le rôle de Nadège qui est campé par Marie-Thérèse Dropsy. Un rôle pas facile d'épouse bien peu délurée qui a fait mouche à chaque réplique, un rôle de composition, cela va de soi...
Une dernière particularité à souligner : le soin et l'originalité de la mise en scène qui viennent compléter le tableau du nouveau succès des AGN.
Football:
la buvette de Clermont vandalisée et incendiée!
Jean Postol, le correspondant qualifié du FC Clermont sur les lieux du sinistre. .Dans la nuit de mercredi à jeudi, la buvette de FC Clermont a été incendiée et dévalisée. “ C’est déjà la 19e fois en trente ans que cela se produit ”, déplore le secrétaire clermontois, Jean Postol. “ Les auteurs s’y sont, apparemment, repris à deux reprises pour réaliser leur coup: vers 3h30 et 5h30.
nicolas toussaint
“ Notre buvette est ravagée aux trois quarts et, évidemment, les victuailles et des boissons ont été emportées.
Heureusement, il ne restait plus grand-chose comme réserves, puisque nous n’avons plus de match à y disputer avant l’année prochaine. ”
Jean Postol espère que, cette fois, les coupables seront découverts: “ Nous avons quelques indices intéressants. C’est avec une voiture française, dont on a pu identifier les deux premiers et deux derniers chiffres ou lettres que les pyromanes ont agi. Une enquête est, bien entendu, ouverte. ”
Dans son malheur, le club clermontois pourra néanmoins disposer, pour la reprise, de sa nouvelle buvette: “ Elle devrait être opérationnelle depuis la mi-octobre, mais les travaux ont pris du retard.
Il reste quelques aménagements à apporter au niveau, notamment, de l’électricité, mais en principe, en janvier, nous pourrons l’occuper. ”
Les bons voeux du Mayeur et de ses collaborateurs.
Les moissons à Clermont cet été!!!
http://www.canalc.be/content/view/4801/356/
Le vieux marronnier n'est plus
Hier, en début d'après-midi, le vieux marronnier de la route de Strée a décidé d'en finir avec la vie, après quelques centaines d'années de bons et loyaux services.
Classé par la Région wallonne, il en avait vu de toutes les couleurs : les guerres, les événements de tous genres, les processions.
Dans un grand bruit, il s'est laissé tomber sous le poids de sa charmille, pourri au pied, sur la chaussée, emmenant avec lui fils électriques et lignes téléphoniques et brisant même un poteau électrique.
Le service des pompiers de Clermont, arrivé rapidement sur les lieux, a commencé à le débiter afin que la circulation locale puisse continuer, une circulation réglée par la police de la zone Flowal.
Les services d'Electrabel et du téléphone ont été requis afin de parer à toute éventualité.
Il ne pourra plus, comme auparavant, laisser glisser son ombre sur le banc annexé, ni sur la chapelle contiguë. Ch.C.
Heureusement que notre ami Jules n'était pas assis sur son banc!!!!
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L’ascenseur servira à monter les fûts... ”
Buvette
Les travaux entamés le 18 mai à la nouvelle buvette du FC Clermont, érigée désormais à l’étage au-dessus des vestiaires, devraient être terminés pour le 15 octobre.
La grosse nouveauté, c’est que pour accéder à ce bâtiment, dont les châssis devraient être posés cette semaine, on pourra utiliser un... ascenseur.
“ Pour que nous soyons subsidiés par la Région Wallonne, il y avait quelques normes à respecter ”, explique le délégué clermontois, Yves Smet. “ Parmi les règles à respecter, il y avait celle de disposer d’un ascenseur afin de permettre aux personnes à mobilidité réduite de pouvoir accéder à notre buvette. ”
Ainsi, celle-ci pourra accueillir près de 80 personnes, mais l’ascenseur ne devrait pas pour autant faire l’objet d’une utilisation extrême.
“ Les temps sont durs concernant l’affluence dans les petits clubs ”, poursuit Yves Smet. “ On profitera néanmoins de cet ascenseur pour faire monter les bacs et les fûts (rires). ” (N.T.)
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Clermont : sécuriser les abords de l'écoleLe cdH s'est abstenu sur l'approbation du cahier des charges relatif au projet de sécurisation des abords de l'école de Clermont. Explications.
Vincent PINTON
Dans le cadre du Pla n Escargot 2009, la Commune de Walcourt a introduit un projet de sécurisation des abords de l'école communale de Clermont. Retenu par la Région wallonne en juin, le dossier passe à l'étape suivante avec l'approbation du cahier spécial des charges par le conseil communal. Pour rappel, il s'agit d'un marché s'élevant à 269 853 € TVAc subsidiables à hauteur de 200 000 €.
« Bien que je voterai ce projet, j'estime que l'on ne règle pas le problème de la circulation au niveau de la rue de Castillon, alors que c'est à cet endroit qu'il se trouve », déclare l'échevin Abel Gouverneur, en tant que grand-père venant régulièrement reprendre ses petits enfants dans cette implantation scolaire.
« Le projet prévoit de faire transiter toute la circulation dans la ruelle alors que c'est via cette voie que tous les enfants rentrent vers le village, poursuit-il. Dans ce dossier, je trouve que l'on aurait pu tenir compte de l'avis des parents. » Et c'est justement ce manque de concertation avec les utilisateurs directs qui a motivé l'abstention du groupe cdH.
« Pour être certain de décrocher les subsides, nous devons tenir compte de l'avis de la Région », justifie Agnès Biernaux, échevine en charge du dossier. Et de poursuivre : « Le projet sera soumis à enquête publique lors de l'introduction du permis d'urbanisme ». Compte 2008 du CPAS L'approbation du compte 2008 du CPAS constituait le second point important de cette séance de rentrée du conseil communal de Walcourt. Le receveur Denis Denoncin est venu commenter ce compte et répondre aux questions des conseillers aux côtés du président Bernard Degimbe. Au service ordinaire, le boni affiche un montant moins important que les années précédentes (91 254 €).
« Cela s'explique tout simplement par le fait qu'en 2008, le compte constitue une image fidèle du budget réalisé », justifie le receveur. Les dépenses de personnel ont augmenté de 2,51 % ; ce qui s'explique principalement par les trois sauts d'index et le fait que trois agents soient passés du statut de contractuels à celui de statutaires. Les dépenses de fonctionnement accusent une légère hausse de 0,38 %. La plus forte augmentation se situe au niveau des dépenses de transferts ; c'est-à-dire celles qui concernent directement l'aide et la réinsertion sociale. Les dépenses relatives à l'aide sociale ont grimpé de 12,50 %. Mais cela s'explique surtout par l'index et non par l'augmentation du nombre de bénéficiaires.
Enfin, les dépenses de dettes accusent l'impact de l'achat des bâtiments de Thy-le-Château et de Berzée. Les recettes sont globalement en augmentation également. Cela est dû, entre autres, à l'augmentation des prestations des aides-ménagères et à l'augmentation de la part communale de 137 000 € par rapport à 2008. Au service extraordinaire, les investissements 2008 ont été relativement minces. Les engagements s'élèvent à 276 839 € dont 259 000 € représentent des reports de 2007 à 2008. -------------------------------------------------------
Attention à votre vitesse dans Clermont !!!
(Cliquer pour agrandir)
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Cuistax et jogging sur la ligne
Le retour des cuistax, après plusieurs années d'absence , a marqué la kermesse de la commune libre de « Clérmont su'l'Gau ».
En prélude à cette animation, on a eu droit au 12e jogging de La Clermontoise dirigé, de main de maître, par Didier Garbar, assisté du comité organisateur mais aussi de nombreux bénévoles. Près de 300 coureurs s'étaient donné rendez-vous sur un parcours très sélectif. C'est Fabrice Pasque qui a remporté l'épreuve, couvrant les 12,5 km en 44'08, soit à 17,129 km/h de moyenne. Il faut dire que plusieurs autres courses annexes avaient été mises sur pied avec une Mini-Clermontoise et des Jeunes foulées .
Le soir, c'est avec deux manches d'une heure que les dix cuistax inscrits sont entrés en action. Le lendemain, rebelote avec, cette fois, un gymkhana d'adresse et familial à la fois.
C'est à l'issue de cette épreuve, suivie par un public fourni, que les résultats ont été proclamés, tout cela avec le concours du speaker de service qui fut excellent. Malheureusement, il n'en fut pas de même pour la sono du soir qui, après une certaine heure, aurait dû baisser un tant soit peu le ton... Mais cela, c'est une autre histoire.
Lundi, ces infatigables se sont, de nouveau, donné rendez-vous pour un concours de pétanque réunissant trente-cinq équipes.
Les résultats du gymkhana : 1. Les fous du Blanc Vivier, 2. Zébra strétois, Jésus sans Zacher à purette, 4. Les Dingos, 5. Toi Toi Mon Toi, 6. The Muppet's show, 7. Jeunesse de Donstiennes, 8. Jeunesse de Clermont, 9. Jeunesse de Strée.Ch.C.
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Georges hautier nous a quitté, il était l'ami de tous et était très apprécié à Clermont, au revoir et courage à sa famille.
http://www.facebook.com/l.php?u=http%3A%2F%2Fwww.rtlinfo.be%2Frtl%2Fnews%2Farticle%2F260362%2F--Un%2Bmotard%2Bde%2Bla%2Bpolice%2Btu%25C3%25A9%2Bau%2BTour%2Bde%2BWallonie%253A%2Ble%2Bp%25C3%25A8re%2Bde%2BPhilippe%2BGilbert%2Bau%2Bvolant&h=29786d121697c0ddcbfeb631d9502096
Le Blanc Vivier en fête
Pour la troisième année, le ha meau du Blanc Vivier était en fête le 21 juillet. Deux chapiteaux dressés dans une prairie proche du hameau, plusieurs stands, le drapeau national présent : que fallait-il de plus pour recevoir les amis et passer ensemble une bonne partie de la journée dans la nature sous un soleil de plomb.
Les organisateurs avaient prévu deux animations. La première, une course de brouettes en deux manches avait réuni neuf équipages, sur un parcours assez dur mais roulant. Sur le coup de 18 h, le drapeau à damiers s'est abaissé donnant la victoire aux « Sans noms » de Castillon avec 55 tours, suivis du « N'importe » (53 tours) de Clermont ; la Jeunesse de Clermont (43 tours) ; les « Schtroumfettes » (36 tours) ; les « Paratacs » (34 tours) ; la « Bière de Noël » (11 tours) et le « Cadeau bière de Noël » (7 tours).
Et, dans les stands, on pouvait déguster le second concours de la meilleure recette de tarte ou dessert, avec, au choix la tarte au sucre coulant, excellente pâte levée naturelle de Danièle Charlet et Pilou du Ventoux ou la mousse au chocolat sur lit de crème vanille de Sophie Ducat ou la tarte retournée recouverte de crème vanille et garnie d'ananas de Francine Maronet.
Et le soir, tout un chacun pouvait apporter sa viande et la faire griller sur les barbecues, les crudités étant offertes par les organisateurs.
Le samedi 1er août, le hameau sera présent à la ducasse locale avec une équipe pour la course de cuistax.Ch. C.
Paulette Clocherieux prête serment
Suite à sa décision de quitter le groupe PS, Éric Dubois s'est vu retirer son mandat de conseiller du conseil de police. Et c'est donc la clermontoise Paulette Clocherieux qui lui a succédé.
Épouse du regretté Pierre Cantigneaux, qui a été conseiller communal lors de la toute première législature après les fusions, Paulette Clocherieux n'en est pas à son coup d'essai en politique communale. Elle a connu deux mandats d'échevine de l'État Civil dans l'entité de Walcourt et d'autres mandats de conseillère communale tantôt dans la majorité, tantôt dans l'opposition.
Elle a aussi occupé, des années durant, le poste de présidente du conseil culturel avant d'en devenir la vice-présidente, mandat qu'elle assure toujours à ce jour. J.L.
11 200 € pour le Télévie !Le comité du Télévie Clermont vient de terminer ses comptes pour l'année 2009. La promesse faite lors de la fête du Télévie à Jambes sera respectée et la coquette somme de 11 200 € sera envoyée à l'oeuvre.
Le comité remercie tous ceux qui se dévouent chaque année à cette oeuvre ainsi que ceux qui gravitent autour d'elle telles la journée VTT mise sur pied par Luc Vandevelde et celle des motos organisée par Jean-François Dorigneaux et ses amis. Il convient également de remercier les sociétés locales pour leurs dons : la Truite clermontoise, la salle paroissiale, Mont Clair et l'ASBL Cantigneaux.Plus de 120 000 € en tout
En quatorze années d'organisation, ce comité aura remis à l'oeuvre plus de 120 000 €. L'an prochain, l'opération sera de nouveau mise sur pied et le comité accueillera les bénévoles souhaitent rejoindre l'organisation. Bravo ! Ch. C.
La place du Puits prise d'assaut
Dimanche, il était 8 h et pas mal d'ancêtres stationnaient déjà sur la place du Puits, répondant ainsi à l'invitation du club d'ancêtres local dirigé par Claudy De Bels, avec la collaboration des gilles « Les T'Chequetis ». À 9 h, on avait fait le plein sur la place.
Après l'accueil à la salle communale, le petit-déjeuner et la distribution des road-books, le groupe s'est élancé à allure réduite vers Thuin où les participants ont été accueillis par le corps des sapeurs-pompiers.
Démonstration d'un refus de priorité de droite, avec un réalisme saisissant - deux sapeurs jouaient le rôle de blessés - et c'était l'épreuve de la désincarcération.
11 h 45 : il était temps de rejoindre Clermont pour le repas de midi.
L'après-midi, nouvelle promenade avec un arrêt sur la place de Strée, histoire de faire voir les véhicules. Mais tout a une fin. Il fallait se quitter, non sans avoir reçu les remerciements de l'organisateur, quelques cadeaux et la promesse de se revoir l'an prochain.En direct de la place
- On a recensé 110 voitures anciennes de plus de 25 ans. - La plus ancienne était une De Dion Bouton de 1913, appartenant à Jacques Guelton, de Wanfercée-Baulet.
- Elles étaient venues des quatre coins du pays (Ath, Beersel, Woluwe, Schaerbeek, Lommel, Lillois, Villers-la-Ville...) mais également de France et du Luxembourg.
- Marcel De Reu, ancien président de Peugeot Aventure, fut fêté pour ses 80 ans ainsi que son successeur, Alain Piefort.
- Un bravo spécial à Philippe, le speaker de service, qui n'a pas manqué de commenter l'âge et les performances des plus vieilles voitures.
Ch.C.
Buvette du Fc Clermont
Les travaux de la nouvelle buvette du foot ont commencé ''enfin'' diront certains!!!!
L’actuelle buvette de Clermont date de 1967 et va connaître un « relooking » assez important. Le choix de bâtir au-dessus des vestiaires permet une moindre occupation du sol et réduit donc l’espace à chauffer, tout en offrant une vue panoramique sur les deux terrains.
L’actuelle bâtiment se verra donc agrandi et connaîtra de nettes améliorations : isolation thermique extérieure, remise en état complète de l’intérieur, ajout de toilettes et douches plus performantes.
A l’étage, nouveaux locaux avec sanitaires, buvettes, bar, balcon avec accès extérieur. Un monte personne permettra l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite.
Le coût des travaux est estimé à environ 300.000 euros (chiffre de 2006 susceptible d’être revu à la hausse), dont 140.000 euros de subsides.
Voici deux maquettes réalisées par l’architecte en charge du projet, Christian Goblet : une vue du bâtiment et de la cafétéria.
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L'ADMINISTRATION COMMUNALE DE FLORENNES RECRUTE
SAPEURS-POMPIERS VOLONTAIRES (H/F) ET D’AMBULANCIERS VOLONTAIRES (H/F) pour son service d’incendie, casernement de Florennes et poste avancé de Clermont.
Les candidats doivent :
1. être ressortissants d’un pays membre de l’U.E.;
2. être domicilié dans la Commune où est situé le service d’incendie ou dans un rayon tel qu’il puisse rejoindre le casernement dans un laps de temps de 15 minutes ;
3. être âgés de 18 ans au moinsà la date limite fixée pour le dépôt des candidatures ;
4. être de taille égale ou supérieure à 1,60 m ;
5. être de bonne conduite, vie et mœurs ;
6. pour les candidats masculins, être en règle avec les lois sur la milice ;
7. Satisfaire à un examen médical approfondi éliminatoire qui précédera toujours les épreuves d’aptitude physique et de sélection, celles-ci n’étant accessibles qu’aux candidats reconnus médicalement aptes (il est conseillé aux candidats de venir à cet examen avec une RX thorax, une RX lombaire, un ECG effort et les résultats d’une prise de sang récente) ,
8. Les candidats doivent :
- Être de constitution robuste leur permettant d’effectuer des efforts physiques fatiguants et prolongés, d’affronter les intempéries, de marcher et courir sur tous les terrains, de ramper, de grimper, de sauter, de nager, de porter de lourdes charges (poids d’un homme, soit ± 70 kg) ; - Ne pas être sujet au vertige ; - Pouvoir résister au maximum à la fumée ; - Avoir une acuité visuelle, au besoin avec verres correcteurs, de 13/10 totalisée aux deux yeux, avec un minimum de 3/10 à l’œil le moins bon ; toutefois, l’acuité visuelle sans verres ne peut être inférieure à 5/10 totalisée aux deux yeux ;
-Avoir une acuité auditive à chaque oreille, sans port de prothèse, suffisante pour permettre d’entendre la voix normale de la conversation à une distance de 2,50 m, le dos tourné vers le médecin examinateur;
-N’être atteint d’aucune infirmité susceptible de nuire gravement à leur prestige dans l’exercice de leurs fonctions.
9. Satisfaire aux mêmes épreuves physiques et de sélection que celles exigées pour les professionnels (art. 9, points 10 et 11) du Règlement organique (chute faciale, flexion des bras, équilibre, grimper 4 mètres à la corde, monter à l’échelle aérienne 20 m, porter sur 50 m, saut en longueur, saut en profondeur, course 2500 m).
10. Obtenir le brevet d’Aide Médicale Urgente et ce, endéans les 2 années de l’engagement;
11. Être titulaire du permis de conduire de la catégorie B et s'engager à obtenir le permis de conduire de la catégorie C avant la fin du stage.
Pour être recevables, les candidatures, accompagnées d’un C.V et d’un extrait du casier judiciaire, doivent être envoyées pour le 29 mai 2009 au plus tard à l’adresse de Monsieur Stéphane LASSEAUX, Bourgmestre, Place de l’Hôtel de Ville, n°1 à 5620 – Florennes.
L’indemnisation des prestations se fait au barème en vigueur, selon les heures prestées (actuellement 13,44 € / h brut).
La désignation à titre effectif intervient sur base d’un rapport du Chef de corps, après un an de stage et de formation.
Toutes informations complémentaires peuvent être demandées au service du personnel : Monsieur Romuald ZIESSEL, Place de l’Hôtel de Ville, 1 à 5620 – Florennes – 071/68.11.19 – Fax : 071/68.11.11, pendant les heures habituelles de service ou par courriel : romuald.ziessel@florennes.be.
Par le Collège,
Le secrétaire Communal ff, Le Bourgmestre
Nouvelle parure pour l'église
Après quatorze mois de gestation, l'église Saint-Pierre aux Liens a retrouvé son ancienne parure. Des travaux importants qui ne devaient durer que quarante jours ouvrables avaient été entrepris mais les échafaudages sont restés en place. Pendant quatorze mois.
Il s'agissait du ravalement de la façade et de la tour du clocher grâce à un nouveau cimentage des endroits fissurés.
Les travaux ont coûté 73 248,24 € (hors TVA) sans subsides et sur fonds propres.
Cet édifice néogothique à trois nefs a été construit en 1859 sur l'emplacement de l'ancienne église, longtemps desservie par les religieux de l'abbaye d'Aulne.
On doit cette construction aux frères Genot, de Vitrival. Achevée, elle coûtera près de 50 000 francs soit 1250 €.
Petite anecdote : le 21 février 1943, les Allemands enlevèrent la plus grosse des deux cloches et la destinèrent à la refonte. Elle échappa au massacre et fut restituée le 24 octobre 1954. On peut y lire la dédicace suivante : « Je fus enlevée par l'occupant en 1943 et renais dans la paix en 1954. Marie est mon nom, dédiée à la Vierge Immaculée, en cette année mariale 1954. Mon parrain est Charles Bedoret ; ma marraine, Mme Adam, née Émilie Lepine ».
Le 27 octobre 2002, une violente tempête s'est abattue sur la région. La croix et le coq n'ont pas résisté à l'assaut du vent. L'oiseau s'est pour ainsi dire envolé et le socle sur lequel reposait la croix s'est fracturé, provoquant un descellement partiel de la croix.
Il faudra attendre trois ans pour voir de nouveau le coq tourner au gré du vent.
Ch.C.
Clermont : de la bière à la fontaine
Miracle à Clermont ?
La bière a remplacé l'eau au sortir de la fontaine du village... Une promesse du « mayeur » tenue ce week-end
La vieil le pompe dressée sur la place du Puits n'en revient pas. Après avoir été sauvée de la destruction par Mont Clair en 1975 et avoir repris vie sur la place du village, elle vient de vivre un événement tout à fait exceptionnel. Pensez donc : au lieu de verser l'eau, c'est de la bonne bière qui a coulé à travers son corps pour se déverser dans le bassin ad hoc.
C'est de par la volonté et l'astuce de Marcel Gohy, mayeur de la commune libre de Clermont su'l'Gau et de ses acolytes, Jean-Pierre Bricteux, el champèt et Jean-Marc Jacquiez, el cantonnier que ce mystère s'est produit. En effet, lors de son élection, le mayeur avait promis que tôt ou tard, il ferait couler un délicieux breuvage de la pompe. C'est donc en prélude à la ducasse que ces trois associés, avec leurs fonds propres, ont invité la population à venir déguster ce breuvage. Un apéro qui laissait présager une très bonne fête.Ch.C.
“ Roger Federer est plus fort que jamais ”
Mardi 7 juillet 2009
Didier Garbar
Occupé à jouer du taille-haie quand nous l’avons contacté, Didier Garbar était tout guilleret suite à l’énorme succès rencontré par les tournois de volley organisés ce dernier week-end à Clermont (Walcourt): “ Nous avons accueilli 600 joueurs; c’est incroyable! ”, s’exclame le joggeur clermontois qui, du coup, n’a pas suivi le nouvel exploit de Roger Federer en direct. “ Ce que le Suisse vient de réaliser est exceptionnel! Après avoir connu une petite baisse de régime, il est revenu plus fort que jamais, remportant son premier Roland Garros avant d’enchaîner par ce nouveau succès à Wimbledon. ”
Si notre interlocuteur a beaucoup de respect pour le nouveau recordman des victoires (15) en Grand Chelem, il apprécie également les grands coups d’un jeune Français: “ Je suis moins le tennis qu’auparavant, mais j’aime bien regarder Gaël Monfils; sa rage de vaincre fait plaisir à voir. ”
Pour ce qui est du plus grand sportif de tous les temps, l’organisateur du jogging (12,6 km) La Clermontoise (1er août) a sa petite idée: “ Pour moi, le “ king ”, c’est Eddy Merckx. Il s’agit évidemment d’une autre époque, avec beaucoup moins d’argent en jeu. Joël Robert, en motocross, est également un très grand monsieur. ”
Le 24 avril 2009
Cinquante années de théâtre
Le cercle théâtral « Les Amis du Goûter de Noël » fête ses cinquante années de planches. Avec une exposition en la salle communale.
Charles CLOCHERIEUX
Clermont, 1959-2009 : le cercle théâtral Les Amis du Goûter de Noël, ce sont cinq extraits d'opérettes célèbres, neuf spectacles chantés, douze cabarets, deux revues en 3 actes, vingt-quatre revues en 1 acte, quarante-huit pièces de théâtre, pour un total de 222 représentations. C'est aussi un bon millier de spectateurs fidèles qui se déplacent, chaque année, pour passer un bon moment de théâtre en leur compagnie.L'histoire
En 1959, Gustave Dorignaux rassemble autour de lui quelques amis afin d'animer le goûter de Noël offert aux pensionnés de Clermont. Passionné de musique, il entreprend de les former à la chanson et réussira à monter, avec eux, des extraits d'opérettes célèbres, telles que « L'Auberge du Cheval Blanc », « Andalousie », « Le Pays du Sourire », « Les Cloches de Corneville ».
Le cercle évoluera ensuite vers le théâtre avec des pièces en français, avant de se spécialiser dans le répertoire wallon. Il connaîtra un succès grandissant qui le conduira, en 1997, en finale de la Coupe du Roi Albert Ier.
Grâce à la bienveillante complaisance de leurs voisins des villages environnants, les membres de la troupe présentent, depuis vingt-quatre ans, une revue en 1 acte, intitulée « En chuvant l'Gau », qui relate, avec l'humour qui convient, les avatars de l'année. Madame Cabas y joue la meneuse de revue, à la verve contestataire et à l'humour grinçant. Huit jeunes de moins de vingt ans complètent la distribution.Anniversaire
Le spectacle qui sera donné en cette fin d'année 2009 évoquera donc les cinquante ans du cercle mais aussi les vingt-cinq ans de la revue ! On nous promet de mettre les petits plats dans les grands !
Dans l'immédiat, une grande exposition aura lieu, en la salle communale de Clermont, les samedi 25 et dimanche 26 avril. Elle rassemblera plus de 120 photos grand format, tous les albums de la société, des documents, des vidéos, des articles de presse, des objets, des souvenirs personnels.
Par cette exposition, les membres actuels veulent rendre hommage à tous ceux qui les ont précédés et qui ont fait le succès du cercle, depuis un demi-siècle. Ils les invitent à venir les rejoindre. Ce sera l'occasion de revoir quelques personnes telles qu'on les a connues, voici quelques années.
Et bienvenue également à tous ceux qui n'ont jamais goûté des planches mais qui viennent applaudir régulièrement les comédiens et à tous ceux qui ont envie de fouiller dans la boîte aux souvenirs.
À travers de nombreuses photos et documents d'archives, venez parcourir les souvenirs du cercle théâtral clermontois.
Exposition ouverte : samedi 25 avril, de 14 h à 20 h, et dimanche 26 avril, de 10 h 30 à 20 h.
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Pas d'éoliennes à Clermont-Walcourt !
La société Alternative Green projette la construction de 14 éoliennes à proximité de Clermont. Vive réaction de lecteurs.
Nous marquons notre vive opposition à la création d'un parc d'éoliennes sur le territoire de notre entité communale, proposé la société « Alternative green » de Louftemont (Léglise), tel que présenté le 19 mars en la salle communale de Clermont.
Les raisons de notre opposition reposent sur deux éléments, à savoir :
1° - La fiabilité de cette S.A. Alternative green. Cette S.A. a été créée par trois personnes : un couple, M Luc André Van Marcke et son épouse Mme Marleen Nathalie Coppens, ainsi que M. Frans Angèle De Vos, demeurant à Bruges.
Avec son capital de 62 000 €, la S.A. Alternative Green ne dispose même pas assez de capital que pour transporter une seule éolienne venant d'Allemagne par transport routier spécial.
Que dire de leur achat éventuel d'une seule éolienne dont - selon le fabricant - le prix se situe entre 2,5 millions d' uros et 3 millions d'€ ?
Ces sociétés n'ont aucune réalisation à nous présenter et leur proposition d'implantation sur notre territoire est une « tentative d'essai ». Nul chez eux semble pouvoir se prévaloir d'une longue expérience en la matière.
Sans aucune analyse de marché, sans le moindre diplôme, sans reconnaissance préalable de qualification, n'importe qui peut, avec un très faible capital se lancer dans l'aventure. Généralement, les banquiers suivent, compte tenu des juteux profits que génèrent des parcs d'éoliennes.
La seconde raison de notre opposition repose sur le mensonge médiatique envers les énergies renouvelables que sont les éoliennes. Nombre de communes s'accrochent à ce qu'elles considèrent comme prodiguant de juteux revenus communaux, sans aucune considération pour leur population.
Les communes qui adhèrent - par cupidité ou ignorance - à de tels projets mettent en péril pour des dizaines d'années la sérénité de leur propre population (et électeurs), cassent définitivement le cadre paysager rural qui nous est propre, révoltent des milliers de ménages, usurpent la confiance qui leur fut accordée lors des derniers votes communaux.
Les réunions d'information ne sont que des réunions de désinformation, car prétendre que des milliers de ménages d'une entité vont bénéficier de retombées vertes agréables ne nuisant pas à l'éternelle couche d'ozone, et prétendre que chaque éolienne fournit X milliers de KW dont chacun va profiter, c'est un mensonge par omission.
Regardez le parc de Tarcienne, combien ne sont-elles pas, languissantes, à l'arrêt ? Roland et Zanna COLLIGNON - KRUGLEJA
rue de Baileux, 57,
Fraire (Walcourt)
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Clermont : le vent tourne pour les éoliennes
Consultation houleuse jeudi à Clermont, autour du projet d'Alternative Green d'implanter 14 éoliennes entre la ferme de Viscourt et Donstiennes Luc Van M arcke, administrateur-délégué de la société, ne s'attendait pas à une telle opposition... Des contacts bien avancés avec la commune de Walcourt, un dossier présenté aux services de l'Urbanisme de Thuin lui laissait augurer d'un regard favorable sur son projet qu'il qualifie de citoyen. C'était sans compter sur la mobilisation des habitants de Clermont et Thuillies, présents en nombre à la salle communale de la place du Puits jeudi soir. Il faut dire que la séance avait été précédée de la diffusion en toutes-boîtes d'un tract appelant à la contestation. Et les arguments de ce feuillet semblent avoir fait mouche puisque dès la présentation du projet terminée, les questions et interpellations ont fusé. Le bref argumentaire du bourgmestre de Walcourt, affirmant son appui au développement éolien s'il est conçu pour minimiser les nuisances, n'a pas suffi à apaiser les craintes.Nathalie BRUYRVers l'Avenir Sambre-MeuseLes intérêts politico-financiers et la protection du patrimoine paysager ont dominé un débat des plus houleux, marqué notamment par une méconnaissance des procédures applicables pour mener à terme un tel projet (lire ci-contre). Sans doute l'intervention du bureau d'études chargé de l'étude d'incidences n'a-t-elle pas été assez claire pour un public empreint de scepticisme. La projection rapide du timing des opérations n'a eu comme écho qu'un doute sur l'indépendance de cette société, dont l'agrément dépend pourtant de son objectivité à traiter l'ensemble des impacts de la construction et du fonctionnement du parc éolien.Quel financement ?Nombre d'interventions ont également pris pour cible le financement du projet. Les assurances de retombées financières pour les communes concernées n'ont pas rassuré. « C'est nous qui aurons les nuisances, pas ceux de Walcourt ou de Biercée, c'est à nous que devraient revenir ces avantages ... » Au-delà, c'est aussi la question de la responsabilisation de chacun dans la production d'énergie qui est posée. « L'éolien est en train de devenir une priorité économique et non plus une priorité écologique... Ne vaudrait-il pas mieux investir les sommes prévues pour ce parc pour aider le citoyen dans ses efforts pour économiser l'énergie, isoler sa maison, placer des panneaux photovoltaïques ou d'autres installations individuelles... » sont quelques-uns des propos tenus lors de cette séance d'information.Impact paysager et co-visibilité Le second argument développé par les opposants est l'impact sur leur patrimoine paysager. Et là rédie sans doute le fond du problème. Sur cette vaste plaine venteuse entre Thuillies, Donstiennes, Clermont et Mertenne, pas moins de trois projets sont ou vont être proposés à l'approbation des autorités régionales. « Comment réaliser une étude d'incidence valable sur le projet d'Alternative Green sans tenir compte des deux autres projets ? » . La réponse vient du mayeur de Thuin : il n'y aura pas trois parcs car il faut une distance minimum de 6 km entre deux sites éoliens ; le premier qui obtient son permis éliminera dans les faits les autres. Au-delà de la plaine de Viscourt, c'est aussi la question de la co-visibilité qui est posée. Depuis Clermont, on aperçoit d'un côté la pointe des pâles de Tarcienne, de l'autre les mâts d'Erpion. Et le projet d'extension de ce dernier sur Barbençon accroît encore les réticences...Video telesambre sur http://telesambre.rtc.be/content/view/4842/365/(faire copier coller)
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vers l'avenir mars 2009
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Un nouveau projet éolien est sur les rails entre Thuin et Walcourt. Une première réunion d'information se tiendra le
19 mars à Clermont.
Nathalie BRUYR
Ce nouveau projet est initié par la société Alternative Green, basée à Léglise en province de Luxembourg. Il concerne l'implantation de 14 éoliennes, 7 dans l'entité de Thuin, 7 dans celle de Walcourt. Le parc sera situé dans un cercle concentré autour des lieux-dits Ferme de Viscourt et Petit Monarmont, entre Clermont et Mertene. «Le champ éolien couvre un peu plus, en terme d'espace, le territoire de Walcourt que celui de Thuin, raison pour laquelle la première réunion d'information du public aura lieu le 19 mars à la salle communale de Clermont, place du Puits», explique l'administrateur-délégué Luc van Marcke. «Il s'agit de notre plus gros projet, 14 éoliennes, sur un minimum d'espace, ce qui réduit considérablement l'impact paysager» argumente le responsable d'Alternative Green. L'expérience malheureuse d'un précédent projet, celui de la SPE, à cheval sur Thuin et Ham-sur-Heure, a sans doute influé sur la conception du projet : «plutôt qu'une ligne étendue de mâts, ici nous les concentrons dans un cercle, avec une distance minimale entre les mâts». Pour mettre tous les atouts de son côté, la société a aussi longuement planché sur les retombées économiques que peut engendrer un tel projet. «Cela a pris des mois de discussion mais nous sommes arrivés avec Walcourt à un excellent accord. À l'inverse des projets dits d'éolienne citoyenne, qui ne permettent qu'à quelques personnes d'investir et d'avoir un retour, ici, un accord avec la commune apportera un bénéfice à l'ensemble de la population. Ce sera unique en Belgique». Mardi après-midi, Luc van Marcke devait d'ailleurs poursuivre une négociation du même type avec la Ville de Thuin. Le bon vent wallon Alternative Green porte actuellement plusieurs projets éoliens en Wallonie. Huit sont ou vont être soumises à études d'incidences, dans les différentes provinces wallonnes. La société a déjà érigé 3 éoliennes dans le parc de Perwez (Brabant wallon), aux côtés des 5 mâts de la société Vents de Perwez, et de l'éolienne de la Provinciale Brabançonne d'Électricité installée depuis 2000 déjà. Un autre projet en cours de réalisation est celui de Vaux-sur-Sûre (Bastogne) où le permis a été octroyé pour 6 éoliennes. Basée à Léglise - «même si mon accent peut tromper, je suis un vrai wallon!» -, la société est «100 % wallonne, travaille avec du personnel wallon, réalise ses investissements et donc son retour sur investissement en Wallonie.On est, à part Air Energy, les seuls dans ce cas».Alternative Green travaille aussi en partenariat avec le bureau d'architecture Que Mas pour ériger 3 éoliennes sur la nouvelle estacade est du port d'Ostende. Mais la Wallonie reste le terrain privilégié de Luc van Marcke : «il y a plus d'espace disponible, du vent en suffisance, des conditions et un soutien politique plus intéressant. Ce serait navrant de ne pas le faire». |
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"La Passerelle" Mars 2009
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"Sud Presse "Janvier 2009
PHOTO J.-F. CORMAN
Chef de la zone de police de la Botte du Hainaut, Philippe Manon est aussi arbitre de football depuis une vingtaine d’années. C’est dans ce cadre-là que nous avons rencontré le Clermontois.
Rédaction en ligne
La question était tentante et c’est par celle-là que nous avons entamé notre longue interview: fonctionnaire de police réputé, Philippe Manon joue-t-il également au “policier” sur un terrain de football? “Pas du tout”, répond l’habitant de Clermont (Walcourt). “Par rapport à beaucoup d’autres arbitres, je suis loin d’être un distributeur de cartons. Je préfère utiliser mon autorité naturelle avant de sévir.”
Le ton est donné.
Au cours du long entretien qu’il nous a accordé, c’est un homme réellement passionné par l’arbitrage qui s’est dévoilé, non pas un maniaque de la sanction. “J’ai débuté l’arbitrage après une carrière de joueur à Clermont qui m’a emmené jusqu’en 2e provinciale”, explique-t-il. “À 36 ans, j’ai arbitré mon premier match en cadets, à Thy-le-Château. J’ai vite grimpé les échelons pour arbitrer jusqu’en première provinciale.
Pour le niveau national, j’étais barré par mon âge.”
Récemment, des ennuis physiques sont venus contrecarrer la carrière du Clermontois: “En 2005, je me suis blessé aux genoux lors d’un match à Saint-Germain, avec opération à la clé. À partir de là, je me suis contenté d’arbitrer les équipes de jeunes et les matches en P3-P4. Mais je m’en trouve très bien ainsi car l’enthousiasme est toujours là.”
Tellement là que notre homme “ râle ” sec en cette période de trêve prolongée...
En vingt ans de carrière, l’arbitre clermontois a bien entendu vécu pas mal de bons moments. Les mauvais sont plus rares: “Outre ma blessure, un autre mauvais moment aura été un match Rhisnes-Flostoy décisif pour la montée en P2”, avoue Philippe Manon. “Cette rencontre s’était terminée par une bagarre générale, avec débarquement d’ambulances et j’en passe.” (J.-F. C.)
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Venez rire avec eux en bon wallon d'ici
Après la revue, ils nous proposent « L'Ardènète... dîs ans après ».
n.c.
Samedi 6 janvier 2007
clermont dès ce samedi
Deux nouveaux rendez-vous des Amis du Goûter de Noël
Depuis pas mal d'années, les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral de Clermont, présente dès le mois de décembre ses soirées théâtrales. Malheureusement, suite à un tragique fait divers, le calendrier des représentations de fin 2006 a dû être postposé de quelques semaines.
bDepuis pas mal d'années, les Amis du Goûter de Noël, le cercle théâtral de Clermont, présente dès le mois de décembre ses soirées théâtrales. Malheureusement, suite à un tragique fait divers, le calendrier des représentations de fin 2006 a dû être postposé de quelques semaines.
C'est donc ce samedi 6 janvier que débute le cycle des représentations à la salle communale clermontoise. Une salle habituée à accueillir pour la circonstance des centaines de spectateurs de Clermont, mais aussi d'un périmètre plus éloigné.
Mme Cabas est de la revue
Une soirée théâtrale des AGN, c'est en lever de rideau une revue en un acte: «En chuvant l'Gau». Une revue qui en est à sa 22e édition et qui est l'occasion pour Mme Cabas, le personnage central, de mettre en évidence tous les travers de la vie du village durant les 12 mois écoulés.
Mme Cabas imaginée et interprétée par Albert Scohy règle ses comptes avec humour, mais aussi férocité, avec quelques-unes de ses cibles favorites. Comme les habitants de Strée, le village voisin, ou encore les autorités communales du grand Walcourt.
Que nous réserve Mme Cabas pour cette année? Nul ne le sait. Mais tout le monde voudrait déjà le savoir.
Autour de Mme Cabas, à la fois attendue et crainte et qu'incarne avec brio Albert Scohy, on retrouvera Morgane Briclet, Caroline Ferré, Justine Hanon, Alice et Jérôme Jacquiez, Joséphine, Clément et Henri Laloyaux et Louis Manon du côté des jeunes interprètes. Et, d'autre part, Marie-Thérèse Dropsy, Françoise Hecq, Josiane Regaert, Mary-Anne Gohy, Chantal Poiret, José Ducat, Eddy Parent, Marcel Gohy, Eddy Lorenzin et André Gohy.
« L'Ardènète »
Comme toujours, le plat de résistance sera composé d'une comédie en trois actes, «L'Ardènète... dîs ans après». Une comédie écrite par Albert Scohy, toujours lui, qui signe en outre la mise en scène.
Le chef d'orchestre de la troupe clermontoise n'en est pas à son coup d'essai puisqu'il a déjà signé quelques beaux succès de théâtre dont il a fait profiter le public clermontois.
On se retrouve dix ans plus tard pour rencontrer Elisa, la directrice de l'hôtel (Marie-Thérèse Dropsy), Blandine, la femme de chambre (Chantal Poiret), Aurore de Vallon Tourelle, ministre wallonne (Josiane Regaert), Charlote, chef de cabinet (Annie Nalinnes), Zénon Galant, agriculteur wallon (Marcel Gohy), Apoline, sa femme (Françoise Gohy), Véronique, leur fille (Mary-Anne Gohy), Djef van Craenebroeck, éleveur flamand (Jean-Pol Briclet), Liesbeth, sa femme (Françoise Hecq), Rik, leur fils (Benoît Malengreaux), Fernand Noël, Monsieur X (André Gohy) et Alexis de Lautrebois, président de la fédération de golf (Eddy Parent).
Quant à Albert Scohy, on le reconnaîtra sous les traits de Firmin, à la fois portier, sommelier et barman. Dans l'ombre, on trouvera Jean-Jacques Boeckx qui est aux commandes de la régie générale, Ariane Clocherieux qui s'occupe de la régie son et Mauricette Cuignet prête à intervenir pour combler les éventuels trous de mémoire.
À coup sûr, on va beaucoup rigoler durant chacune de ces soirées qui, d'année en année, rassemblent de plus en plus de spectateurs. Une soirée en bon wallon de chez nous à ne pas rater.
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